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Au cours de l’hiver prochain, skier dans les Alpes bavaroises et autrichiennes coûtera en moyenne environ 10% plus cher que l’an passé. Une augmentation relativement maîtrisée par rapport aux hausses délirantes des coûts de l’énergie. Pour y parvenir, les responsables des stations mettront en place des mesures comme la réduction de l’activité des canons à neige, l’arrêt des sièges chauffants sur les télésièges et l’extinction des projecteurs permettant le ski nocturne. A Garmisch-Partenkirchen, le prix d’un forfait de ski journée pour adulte passera de 50 à 55 euros par rapport à la saison dernière, et il y aura 2 euros supplémentaires à Noël et pendant les vacances de février. Les hausse de prix seront à peu près similaires dans toutes les stations de Bavière et du Tyrol.

NB

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Une Vallée des rois désertée, des petits trains touristiques à l’arrêt, des magasins de souvenirs sans client, tout comme l’immense temple de Louxor, les Pharaons ne reçoivent plus de visiteurs depuis plusieurs années. « Ça nous permet de prendre le temps, et d’avoir l’espace pour prendre des photos et des souvenirs qui resteront gravés dans notre mémoire, commente une touriste française. On a bien choisi notre période. » Mais le bonheur des uns ne fait pas nécessairement celui des autres. « Normalement, on vend cinq à six vases par jour, aujourd’hui : aucun », se désole Ahmad Khodary, un commerçant. Attentats, covid… alors que l’Egypte a compté dans les années fastes jusqu’à quatorze millions de touristes par an, aujourd’hui, c’est trois fois moins. Ils reviendront, c’est sûr, mais quand ?

LG

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Plus d’un tiers du secteur hôtelier britannique (35%) risque de faire faillite au début de l’année prochaine en raison de la flambée des coûts énergétiques, de l’augmentation du coût des marchandises et de la baisse des dépenses de consommation. C’est ce qui ressort d’une enquête menée par des professionnels du secteur. L’enquête a aussi révélé que 77% des exploitants constatent une diminution du nombre de personnes qui mangent et boivent hors de chez eux. 85% s’attendent à ce que cette situation s’aggrave. Avec une inflation à 10% on comprend que les Britanniques regardent de plus près à leurs dépenses. En 2023, les choses ne devraient pas s’améliorer puisque le ministre des Finances, Jeremy Hunt, a déclaré qu’il supprimerait les réductions d’impôts prévues par Liz Truss, et qu’il réduirait son vaste programme d’aide à l’énergie pour les ménages.

NB

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