Une polémique enfle à l’aéroport de Nantes depuis l’installation en novembre dernier de deux majestueuses sculptures d’ours en bronze sur le parvis. Si ces œuvres de l’artiste animalier Michel Bassompierre font partie d’une exposition plus large et remportent un franc succès auprès du public, elles ne sont pas du tout du goût des écologistes locaux qui crient au greenwashing.
Catégorie : Les dessins de Jean Duverdier
Parce que c’est vendredi, le bon trait de plume de Jean Duverdier
Parce que c’est vendredi, le bon trait de plume de Jean Duverdier
Parce que c’est vendredi, le bon trait de plume de Jean Duverdier
Paris retrouve Notre Dame !
Parce que c’est vendredi, le bon trait de plume de Jean Duverdier
Un café va ouvrir à l’église Saint-Paul, à Strasbourg, jusqu’au 25 décembre 2024. Le but de l’opération est de récolter suffisamment d’argent pour rénover l’édifice.
Parce que c’est vendredi, le bon trait de plume de Jean Duverdier
Tenerife envisage des sanctions pour les randonneurs mal équipés qui se retrouvaient bloqués sur le volcan Teide. En cas de sauvetage, des frais de 1.200 euros leurs seront facturés, plus une amende pouvant aller jusqu’à 600 euros pour ceux qui randonnent en tongs ou en short.
Parce que c’est vendredi, le bon trait de plume de Jean Duverdier
Une banane achetée pour 35 cents et collée au mur d’une galerie avec du ruban adhésif par l’artiste italien Maurizio Cattelan s’est vendue pour plusieurs millions de dollars aux enchères, ce qui en fait sûrement le fruit comestible le plus cher de la planète.
Parce que c’est vendredi, le bon trait de plume (de palombe) de Jean Duverdier
Des régions touristiques comme le Pays basque ont adopté une loi visant à réduire les locations meublées. Heureusement pour les visiteurs, il reste de la place dans les palombières…
Parce que c’est vendredi, le bon trait de plume de Jean Duverdier
Depuis son zoo thaïlandais, le bébé hippopotame pygmée, star des réseaux sociaux, avait prévu la victoire de Donald Trump.
Parce que c’est vendredi, le bon trait de plume de Jean Duverdier
En Nouvelle-Zélande, l’aéroport international de Dunedin, une ville de l’île du Sud, a instauré une limite de trois minutes pour les embrassades, dans le cadre d’un effort plus large visant à améliorer la sécurité et à maintenir la fluidité du trafic dans sa zone de dépose. Un panneau installé dans la zone de dépose-minute de l’aéroport prévient : « Durée maximale des câlins : 3 minutes. Pour des adieux plus chaleureux, veuillez utiliser le parking. »