Catégorie : Parcs de loisirs

La Compagnie des Alpes a franchi pour la première fois de son histoire le cap du milliard d’euros de chiffre d’affaires lors de l’exercice annuel décalé 2022-2023. C’est aussi la deuxième année de suite que l’activité parcs de loisirs est plus forte que celle des domaines skiables. La Compagnie des Alpes annonce d’ores et déjà que « la saison 2023-2024 verra l’attractivité des parcs encore renforcée », avec les 35 ans du Parc Astérix, la rénovation du parc aquatique de Walibi Belgium, qui en fera le plus grand parc aquatique de Belgique, et de nouvelles attractions dans les Walibi Rhône-Alpes et Bellewaerde qui « constitueront respectivement une première européenne et une première mondiale ». On a hâte.

LG

En lire davantage dans La Tribune

Netflix prévoit d’ouvrir de nouveaux centres à thèmes où les adeptes de la chaîne de streaming pourront s’immerger dans les univers de leurs films ou séries préférés, acheter des vêtements, déguster des plats à thème ou profiter de nouvelles attractions. Les deux premières Netflix House ouvriront aux États-Unis en 2025, avant d’étendre le concept dans le monde entier. Depuis des années, les sociétés de films – comme Disney ou Universal – ont développé des parcs à thème pour promouvoir leurs films et héros, mais aussi générer des revenus supplémentaires. Netflix assure que ses Netflix House seront davantage un outil de promotion de ses films qu’une source de revenus significative, du moins… pour le moment. A quand les premiers Netflixland où on pourra jouer à Squid Game ?

NB

En lire davantage sur le site de Bloomberg

Disney cherche à gagner plus d’argent avec sa division parcs dans un contexte de faiblesse de son activité télévision et streaming. Le conglomérat de divertissement augmente donc les prix d’entrée dans ses parcs à thème aux Etats-Unis. Au parc Disneyland de Californie, le prix du billet journalier le plus bas reste à 104 dollars (98 euros). Cependant, les jours de grande affluence les tarifs augmentent de plus de 8%, à 194 dollars (182 euros). Pour un billet de cinq jours, la hausse atteint 16%, à 480 dollars (450 euros). Par ailleurs, l’accès au « fast track » coûte désormais 30 dollars par personne, contre 25 auparavant. Disneyland a également augmenté le prix du parking et d’autres produits. Idem en Floride. Pour sa part, Disneyland Paris a déjà augmenté cet été le tarif de ses pass annuels. L’option la plus abordable, le Disneyland Pass Bronze, qui remplace le Pass Annuel Discovery, est passé de 229 à 289 euros par an, soit une hausse de 26%,. C’est l’oncle Picsou qui a repris les commandes de Disney ?

NB

En lire davantage dans le Wall Street Journal

Au cours des trois derniers trimestres, le résultat d’exploitation de la division Parcs de Disney a dépassé de plusieurs centaines de millions de dollars celui de la télévision. Cela pourrait signaler un changement dans l’équilibre entre les deux divisions. En ce sens, Disney a annoncé son intention de dépenser environ 60 milliards de dollars (56 milliards d’euros) pour le développement de ses parcs à thème, ses lignes de croisière et ses centres de villégiature au cours de la prochaine décennie. Disney dispose actuellement de plus de 400 hectares de terrain à travers le monde pouvant être aménagés en parcs. De plus, la société prévoit de déployer davantage de navires de croisière et d’établir un nouveau port d’attache à Singapour. La direction de Disney a déclaré qu’elle « accorderait la priorité aux dépenses consacrées à des projets susceptibles de générer de solides rendements, notamment pour ses parcs et croisières ». Pas bête. 

NB

En lire davantage sur le site du Wall Street Journal

Pour la saison 2023, le Puy du Fou a déjà accueilli 2,5 millions de visiteurs, un record depuis la création du site. Au total, 2,34 millions de personnes avaient visité le Puy du Fou en 2022, et 2.308.000 en 2019, avant la crise sanitaire. Critiqué par certains historiens, le parc affiche depuis plusieurs années son ambition à l’international, avec notamment l’ouverture en 2021 d’un site Espagne près de Tolède. Ce Puy du Fou porte bien mal son nom.

LG

En lire davantage sur le site du Figaro

Aux Etats-Unis, un petit parc d’attractions endormi dans la banlieue sud d’Atlanta a installé une nouvelle montagne russe pour se relancer. Grâce à quoi, Fun Spot America Atlanta s’est transformé en une destination culte pour les amateurs d’émotions fortes. L’attraction s’appelle Arie Force One. Et elle décoiffe. Vitesse maximale : 103 km/h ; hauteur : 50 mètres ; nombre de G : de -1 à +3,75 en vertical, et entre -1,25 et +1,25 en horizontal. Durée du parcours : 100 secondes. Arie Force One porte le nom du directeur général de Fun Spot America, John Arie Jr., qui a déclaré que sa montagne russe était « un hommage à mon père et à sa passion pour le vol ». Et pour voler, ça vole. Après une première chute dans le vide, la piste vous retourne et vous renvoie dans l’autre sens. Puis, vous faites quelques tonneaux avant de conclure sur des bosses qui vous éjectent de votre siège. « J’ai vu Jésus et je suis revenu », a déclaré un passager. C’est un signe.

NB

En lire davantage dans le New York Times

Avec toujours plus de visiteurs, le succès des parcs de loisirs français ne se dément pas et, malgré l’inflation, la saison 2023 s’annonce tout aussi florissante que 2022. « Lorsqu’on offre un produit de qualité, les clients sont prêts à faire les dépenses nécessaires. Tout ce qui est médiocre est rejeté », dit François Fassier, directeur de la branche Parcs de loisirs du groupe Compagnie des Alpes (Parc Astérix, Futuroscope, Walibi…). « C’est un loisir qui a beaucoup évolué ces dernières années, avec des investissements majeurs. On a gagné nos lettres de noblesse. À météo équivalente, on devrait faire un meilleur été que l’année passée dans tous les parcs », assure-t-il. Attention tout de même à la gestion des flux : le zoo de Beauval submergé à l’Ascension, a été obligé de demander à des visiteurs d’aller s’amuser ailleurs.

LG

En lire davantage dans Le Télégramme

Disney commencera cette semaine à licencier son personnel en trois vagues successives. Cela se traduira par environ 7.000 suppressions d’emplois au total, selon une note interne rédigée par le directeur général de Disney, Bob Iger. Annoncés en février, les licenciements toucheront les médias, ainsi que les parcs et les hôtels. « Nous avons pris la décision difficile de réduire notre effectif global d’environ 7.000 emplois dans le cadre d’un réalignement stratégique de l’entreprise, qui comprend d’importantes mesures de réduction des coûts (5,5 milliards de dollars) nécessaires pour créer une approche plus efficace, coordonnée et rationalisée de notre entreprise », écrit Bob Iger. « Pour nos employés qui ne sont pas touchés, je tiens à reconnaître qu’il y aura sans aucun doute des défis à relever alors que nous continuons à construire les structures et les fonctions qui nous permettront de réussir à l’avenir. » En résumé, ceux qui resteront devront travailler plus pour gagner moins.

NB

En lire davantage sur le site de CNBC

Aux Etats-Unis, il est de plus en plus difficile de profiter pleinement d’une visite dans le parc Walt Disney World, à cause de la foule ou d’un système de réservation pour accéder aux attractions de plus en plus rigide. Pour éviter ces désagréments, des « fixeurs Disney », des sortes de guides touristiques, offrent de planifier votre visite et d’utiliser leur connaissance des parcs pour optimiser votre séjour. Cette « expérience VIP » de Disney est proposée à 450 dollars (415 euros) de l’heure pour un groupe de 10 personnes, en plus du ticket d’entrée. Pour cette somme, le fixeur Disney vous transporte de la porte de votre hôtel à celle du parc et vous donne un accès quasi illimité à vos attractions préférées en contournant tous les obstacles. La magie Disney a son prix.

NB

En lire davantage dans le Wall Street Journal

Pour attirer des saisonniers, le parc d’attractions Nigloland, près de Troyes, a investi deux millions d’euros pour leur construire des logements. Douze studios neufs, et autant encore en construction. Pour les attirer et les faire revenir les années suivantes. Dans le secteur des parcs de loisirs, 70.000 emplois ne sont pas pourvus actuellement. Le directeur du parc, Rodolphe Gélis, explique que « si l’on veut faire grandir notre entreprise, il faut faire grandir le staff ». Pour y parvenir, « il faut qu’on soit plus attractif, qu’on puisse les loger dans les meilleures conditions possibles pour qu’ils aient aussi envie de revenir ».  En plus, il leur propose des indemnités kilométriques, une augmentation du salaire d’un euro de l’heure et une prime de non-absence injustifiée de 100 euros mensuels. Est-ce que ce sera suffisant ? Au moins, on a découvert l’existence de la prime de « non-absence injustifiée ». Les temps ont vraiment changé.

NB

En lire davantage sur le site de France Info