Catégorie : Parcs de loisirs

Disney commencera cette semaine à licencier son personnel en trois vagues successives. Cela se traduira par environ 7.000 suppressions d’emplois au total, selon une note interne rédigée par le directeur général de Disney, Bob Iger. Annoncés en février, les licenciements toucheront les médias, ainsi que les parcs et les hôtels. « Nous avons pris la décision difficile de réduire notre effectif global d’environ 7.000 emplois dans le cadre d’un réalignement stratégique de l’entreprise, qui comprend d’importantes mesures de réduction des coûts (5,5 milliards de dollars) nécessaires pour créer une approche plus efficace, coordonnée et rationalisée de notre entreprise », écrit Bob Iger. « Pour nos employés qui ne sont pas touchés, je tiens à reconnaître qu’il y aura sans aucun doute des défis à relever alors que nous continuons à construire les structures et les fonctions qui nous permettront de réussir à l’avenir. » En résumé, ceux qui resteront devront travailler plus pour gagner moins.

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Aux Etats-Unis, il est de plus en plus difficile de profiter pleinement d’une visite dans le parc Walt Disney World, à cause de la foule ou d’un système de réservation pour accéder aux attractions de plus en plus rigide. Pour éviter ces désagréments, des « fixeurs Disney », des sortes de guides touristiques, offrent de planifier votre visite et d’utiliser leur connaissance des parcs pour optimiser votre séjour. Cette « expérience VIP » de Disney est proposée à 450 dollars (415 euros) de l’heure pour un groupe de 10 personnes, en plus du ticket d’entrée. Pour cette somme, le fixeur Disney vous transporte de la porte de votre hôtel à celle du parc et vous donne un accès quasi illimité à vos attractions préférées en contournant tous les obstacles. La magie Disney a son prix.

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Pour attirer des saisonniers, le parc d’attractions Nigloland, près de Troyes, a investi deux millions d’euros pour leur construire des logements. Douze studios neufs, et autant encore en construction. Pour les attirer et les faire revenir les années suivantes. Dans le secteur des parcs de loisirs, 70.000 emplois ne sont pas pourvus actuellement. Le directeur du parc, Rodolphe Gélis, explique que « si l’on veut faire grandir notre entreprise, il faut faire grandir le staff ». Pour y parvenir, « il faut qu’on soit plus attractif, qu’on puisse les loger dans les meilleures conditions possibles pour qu’ils aient aussi envie de revenir ».  En plus, il leur propose des indemnités kilométriques, une augmentation du salaire d’un euro de l’heure et une prime de non-absence injustifiée de 100 euros mensuels. Est-ce que ce sera suffisant ? Au moins, on a découvert l’existence de la prime de « non-absence injustifiée ». Les temps ont vraiment changé.

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Un parc d’attraction dédié aux studios Ghibli et à l’univers du créateur Hayao Miyazaki ouvrira ses portes le 1er novembre au Japon à 300 kilomètres de Tokyo. Il s’étendra sur sept hectares au sein du parc ayant accueilli l’Exposition universelle de 2005. Le lieu sera composé de cinq zones. L’une d’elles, baptisée « Colline de la Jeunesse », reprendra des éléments des univers des films Le Château dans le ciel, Le Royaume des Chats ou Le Château ambulant. La « Forêt de Dondoko » invitera les visiteurs dans la campagne bucolique de Mon voisin Totoro, avec des sentiers de promenade et une aire de jeux. Ce parc, dont la construction a duré plus de cinq ans et coûté 34 milliards de yens (240 millions d’euros), prévoit d’y accueillir 1,8 million de visiteurs par an quand les cinq zones seront ouvertes l’an prochain. Le Japon possède déjà plusieurs grands parcs d’attractions, dont deux parcs Disney à Tokyo et un Universal Studios à Osaka. Ils vont être verts.

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