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Le tourisme dans le monde vu par la presse, en un clin d'oeil

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Jour : 6 mars 2025

Vers une baisse des indemnisations pour les passagers aériens en Europe

Posted on 6 mars 20256 mars 2025
By Laurent Guéna

Un projet de révision du règlement européen EU 261, qui encadre les droits des passagers en cas de retard ou d’annulation de vol, pourrait affaiblir les indemnisations actuelles. Portée par la présidence polonaise du Conseil de l’UE et soutenue par les compagnies aériennes, cette réforme vise notamment à repousser de trois à cinq heures le seuil de déclenchement des indemnisations. Aujourd’hui, les passagers peuvent prétendre à des compensations allant de 250 à 600 euros en fonction de la distance du vol et du retard subi. Avec la nouvelle proposition, les indemnisations ne s’appliqueraient qu’à partir de cinq heures de retard, avec des montants ajustés selon les distances. Un autre point clé du projet est l’établissement d’une liste de circonstances extraordinaires qui déterminerait plus précisément les cas ouvrant droit à une compensation. Les compagnies aériennes, qui déboursent chaque année plus de 3 milliards d’euros en indemnisations, soutiennent ardemment cette réforme, dénonçant au passage un système largement exploité par les agences de recouvrement spécialisées. Mais qui les a laissées prospérer en rechignant à indemniser ?

LG

En lire davantage sur le site du Monde

Transport

Le groupe Lufthansa souffre des mauvais résultats de sa compagnie phare

Posted on 6 mars 20256 mars 2025
By Nicolas Barbéry

2025 sera une année de transition pour Lufthansa. La compagnie principale a vu ses résultats plonger, entraînant une chute de 39% du bénéfice d’exploitation ajusté du groupe, à 1,65 milliard d’euros en 2024. Lufthansa Airlines, qui représente habituellement 35% du bénéfice, a accusé une perte de 94 millions d’euros, soit une baisse d’un milliard d’euros. Malgré un chiffre d’affaires record de 37,6 milliards d’euros (+6 %), porté par Austrian, Brussels Airlines, Swiss et ITA Airways, le groupe souffre. Les grèves, les annulations et la dégradation du service ont pesé sur le prix des billets et les coûts, tandis que la forte concurrence sur les lignes asiatiques a réduit les revenus. Pourtant, le trafic a progressé, avec 131 millions de passagers transportés (+7%). Swiss reste la filiale la plus rentable, avec plus de 800 millions d’euros de bénéfices. Lufthansa se veut optimiste pour 2025, s’appuyant sur une forte demande de voyages et une hausse des réservations en début d’année. Le PDG Carsten Spohr assure que « notre stratégie est la bonne ». Alors tout va bien.

NB

En lire davantage sur le site du Handelsblatt

Transport

J’aime / Je n’aime pas… par Philippe Bertholet

Posted on 6 mars 20256 mars 2025
By Oncle Dom

On le voit de loin, Philippe Bertholet, tant sa taille est aussi impressionnante que son gentil sourire. Il aura œuvré dans de nombreuses entreprises de tourisme avant de participer au développement de Relais d’Asie et Relais d’Afrique, qui devraient devenir Relais du Monde. Et puis, plus discrètement, Philippe est également un fin œnologue…

J’aime👍

« J’aime la professionnalisation des réseaux qui a eu lieu ces dernières années. Je trouve que le réseau français des agences de voyages s’est très bien structuré, considérablement professionnalisé, offrant aux agences un véritable choix entre différents modèles.

D’un côté, certains réseaux mettent en avant leurs marques fortes comme Selectour ou Havas, tandis que d’autres offrent des moyens tout en restant plus discrets, comme Prêts à Partir, Tourcom ou Cediv. Sans oublier les grandes enseignes qui se sont lancées dans la franchise, comme Carrefour et Promovacances.

Pour les agents de voyage, il existe aujourd’hui un réel choix qui permet à chaque agence de conserver son identité tout en profitant d’outils performants et de conseils avisés. Honnêtement, je trouve que le paysage du tourisme a pris la bonne direction pour valoriser et mettre en avant ce métier. Et moi qui commence à être un vieux de la vieille, c’est quelque chose que j’apprécie particulièrement. »

Je n’aime pas👎

« En tant qu’opérateur, et je ne parle pas ici des relais, mais bien d’un acteur qui promeut le tourisme authentique et responsable, il y a deux choses qui me dérangent. La première, c’est que ce concept est très mal maîtrisé par les agences de voyage. C’est vraiment dommage qu’elles ne s’en emparent pas pleinement. Mais en même temps, je comprends qu’elles soient noyées sous une avalanche de labels qui n’en sont pas vraiment.

On voit des grandes structures obtenir des certifications d’éco-responsabilité simplement parce qu’elles ont installé trois lampes LED dans leur hôtel. Pendant ce temps, elles emploient des travailleurs sous-payés originaires des pays du sud du continent indien pour faire tourner leurs établissements et importent par containers des aliments surgelés de l’autre bout du monde pour nourrir leurs clients. Mais grâce à de grands cabinets de conseil, elles obtiennent ces labels éco-responsables. En réalité, la population locale ne récupère que les déchets. Elle n’en profite pas, ou alors à travers quelques sous-emplois, pendant que ces hôtels affichent fièrement leurs certifications.

Et à côté de cela, il existe une multitude de petits acteurs qui, eux, font réellement attention à l’impact de leur activité. Ils s’intègrent dans les communautés locales, soutiennent les jeunes en finançant des écoles et en leur offrant de véritables emplois. Ces initiatives permettent à des familles entières de vivre dignement, sans avoir à mendier auprès des touristes. Ces hôtels favorisent les circuits courts, cultivent leurs propres produits ou encouragent leur personnel à le faire. J’ai connu des établissements qui, faute d’espace pour un potager, fournissaient de l’eau à leurs employés afin qu’ils puissent cultiver des légumes chez eux et les apporter chaque jour à l’hôtel. Certains vont même jusqu’à proposer des œufs frais provenant de leurs propres poulaillers.

Heureusement qu’il existe encore des hôtels engagés qui se construisent chaque jour avec une véritable démarche éco-responsable. Car l’éco-responsabilité, ce n’est pas juste protéger l’environnement, c’est aussi respecter et faire vivre les habitants du lieu.

Malheureusement, ces petites structures peinent à être visibles. Elles n’ont ni les moyens de marketing ni les grands cabinets de conseil pour obtenir des labels et attirer l’attention des agences de voyage ou des clients.

Aujourd’hui, il existe une double vitesse flagrante : d’un côté, les grands groupes qui peuvent tout rafler grâce à leurs ressources, et de l’autre, des opérateurs véritablement responsables qui font ce qu’ils peuvent pour survivre et transmettre leurs valeurs. Et ça, je n’aime pas. Hélas, cette situation ne risque pas de changer. Mais à ma petite échelle, j’essaye d’éveiller les agences de voyages et, bien entendu, le client final à cette grande différence d’éco-responsabilité. »

OD

J'aime/Je n'aime pas

Climat : Disney World face à des fermetures de plus en plus fréquentes

Posted on 6 mars 20256 mars 2025
By Nicolas Barbéry

Les fermetures sont rares chez Walt Disney World, mais elles ont tendance à se multiplier en raison des ouragans. Depuis 2016, le parc a fermé au moins 12 fois en raison de tempêtes, contre seulement trois fois entre 1971 et 2000. De 2000 à 2016, quatre fermetures ont eu lieu, dont deux liées à l’ouragan Frances. Les ouragans ont un impact financier majeur. En 2022, Ian a entraîné une fermeture de deux jours et une perte de 65 millions de dollars. En 2024, Milton a causé 120 millions de dollars de pertes. Selon un rapport de 2023, les futures tempêtes pourraient chacune générer jusqu’à 100 millions de dollars de pertes, comme l’ouragan Irma en 2017. Le risque d’ouragans en Floride s’intensifie. Le GIEC prévoit des tempêtes plus violentes, avec des vents plus puissants et des précipitations accrues, augmentant les menaces pour Disney World. Sale temps pour Mickey et Donald.

NB

En lire davantage sur le site de skift

Parcs de loisirs

Drôle d’Epoque

Posted on 6 mars 20256 mars 2025
By Laurent Guéna

Alors qu’un Airbus A320 volait paisiblement entre Düsseldorf et Madrid, une alerte inattendue a retenti dans le cockpit : le commandant de bord venait d’être mordu par une tarentule. Le pilote, informé de son allergie aux piqûres d’araignées, a immédiatement signalé l’incident à l’équipage qui lui a administré une dose d’Urbason, un corticostéroïde anti-inflammatoire couramment utilisé pour traiter les réactions allergiques sévères. Grâce à cette intervention, le commandant a pu maintenir le contrôle de l’appareil et assurer un atterrissage en toute sécurité à l’aéroport Adolfo Suárez Madrid-Barajas. Au moins ce vaillant pilote n’avait-il pas une araignée au plafond.

LG

Drôle d'époque
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