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Le tourisme dans le monde vu par la presse, en un clin d'oeil

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Mois : janvier 2025

Achat de voyages : le prix prime sur la durabilité

Posted on 23 janvier 202523 janvier 2025
By Nicolas Barbéry

Alors que la prise de conscience environnementale grandit, les habitudes de consommation dans le secteur du voyage évoluent-elles réellement ? Dans le cadre du Fitur de Madrid, le World Travel & Tourism Council (WTTC) a présenté un rapport sur « l’écart critique entre le désir des voyageurs pour des options durables et leur comportement réel ». Cette étude repose sur une enquête menée auprès de plus de 10.000 touristes à travers le monde, classant les voyageurs en six segments de consommateurs, allant des « optimistes inquiets » soucieux de l’environnement aux « climatosceptiques » désengagés. Il ressort principalement de cette étude que le prix et la qualité d’un voyage restent les priorités dominantes des touristes, quel que soit le segment. Plus de 50% des sondés considèrent le prix comme le facteur déterminant dans leurs décisions d’achat, et environ 30% privilégient la qualité. En revanche, la durabilité n’est un critère décisif que pour une petite minorité, oscillant entre 7% et 11%, même parmi les groupes les plus préoccupés par l’environnement. Le développement durable, serait-il un problème de riches ?

NB

Pour en savoir davantage, c’est ici

Environnement

Carton plein pour l’offre TO d’Easyjet

Posted on 23 janvier 202523 janvier 2025
By Laurent Guéna

Easyjet a réduit ses pertes de moitié au premier trimestre (d’octobre à décembre). Ces résultats démontrent « un progrès positif vers notre objectif à moyen terme de réaliser plus d’un milliard de livres de bénéfices avant impôts », s’est félicité Kenton Jarvis, le directeur général du groupe. La période a surtout été marquée par la croissance du bénéfice d’Easyjet Holidays, l’offre de séjours du groupe, qui a atteint 43 millions de livres (50 millions d’euros), en hausse de 12 millions par rapport à l’an passé. « Pour cet été, nous avons constaté une demande continue pour les vols et les vacances d’Easyjet, avec un million de clients supplémentaires qui ont déjà réservé », indique le patron. On comprend mieux pourquoi Air France vient de lancer sa propre offre de forfaits appuyée par une campagne de publicité d’envergure.

LG

En lire davantage sur le site du Figaro

Production

J’aime/Je n’aime pas… par Myriam Tord

Posted on 23 janvier 202523 janvier 2025
By Oncle Dom

Quand on rencontre Myriam Tord, c’est un peu comme croiser un grand rayon de soleil. Myriam, en plus de son travail d’agent de voyage, participe à une association de solidarité entre agents de voyages, Helpdesk. Et, non contente d’être une grande professionnelle, elle prend plaisir à aider tous ceux qui l’appellent.

Je n’aime pas

« La politique. Pour moi, tout ce qui est politique, c’est une chose qui ne m’intéresse pas du tout, qui ne me plaît pas du tout. Pour moi, tout est faux et rien n’est fondé sur ce dont nos concitoyens ont besoin. (Je n’ai d’ailleurs pas une grande confiance dans les hommes politiques.) C’est complètement guidé par des lobbys, par des intérêts personnels, et pas du tout par l’intérêt du peuple finalement.

Un autre sujet que je n’aime pas vraiment, c’est l’importance que l’on accorde à l’intelligence artificielle. Parce que, finalement, c’est un outil comme un autre, qui existe depuis très longtemps. Nous utilisons l’IA dans notre quotidien.

L’importance que l’on donne à l’IA, c’est comme si c’était encore quelque chose d’exceptionnel… Pas sûr ! »

J’aime

« J’aime l’humain et les gens. C’est ce que j’aime le plus, je crois. J’aime les rencontres, les partages d’expériences, tout ce qui touche, de près ou de loin, aux rapports humains. Avec ses joies… et parfois ses peines.

Et après, pour rester dans le monde du tourisme quand même, j’ai une passion pour les grands espaces, pour la nature des grands espaces. C’est à chaque fois un véritable émerveillement. D’ailleurs, moi qui, par mon métier, voyage beaucoup, je suis encore émerveillée en découvrant une nouvelle destination. Mais surtout, même lorsque je connais déjà telle ou telle destination, si ce n’est pas la même saison, si ce n’est pas la même lumière, on est toujours surpris ! »

OD

J'aime/Je n'aime pas

Édimbourg va introduire une taxe de séjour

Posted on 23 janvier 202523 janvier 2025
By Nicolas Barbéry

À partir de juillet prochain, les séjours à Édimbourg seront soumis à une taxe de séjour de 5% pour les visiteurs. Les hôtels, les locations de courte durée et les campings de la ville commenceront à appliquer cette taxe sur toutes les nuitées dès le mois de mai, dans le cadre d’une introduction progressive du dispositif. Cette mesure, première du genre à être imposée à l’échelle d’une ville au Royaume-Uni, s’appliquera à toutes les réservations effectuées à partir du 1er mai pour des séjours à compter de juillet. Décrite comme une « taxe touristique », elle devrait générer jusqu’à 50 millions de livres sterling (environ 60 millions d’euros) par an. Ces fonds permettront à la municipalité de répondre aux défis posés par le tourisme de masse en investissant dans le logement social, les parcs publics, les infrastructures touristiques ainsi que dans des événements artistiques et culturels. Cette initiative est la première à couvrir tous les types d’hébergement, allant des campings et auberges de jeunesse aux propriétés Airbnb, appart’hôtels et hôtels traditionnels. Plus de 4 000 prestataires seront tenus de collecter cette taxe pour le compte de la ville. Une récente enquête a révélé que près de la moitié des 32 conseils municipaux d’Écosse envisagent à leur tour d’instaurer une taxe touristique similaire. L’Écosse semble ainsi avoir choisi la voie de la taxation pour lutter contre le surtourisme.

NB

En lire davantage dans le Guardian

Destinations

Drôle d’époque

Posted on 23 janvier 202523 janvier 2025
By Laurent Guéna

Des employés de P&O Cruises Australia, coiffés de cônes blancs pour une fête en décembre 2024 à bord d’un bateau, étaient déguisés en « cornets à glace » et non en membres du Ku Klux Klan. Le croisiériste a dû s’expliquer après que des photos et vidéos diffusées dans des médias australiens montrent du personnel d’équipage totalement revêtu de blanc, avec des chapeaux-cagoules pointus ne laissant apparaître que leurs yeux. « Plusieurs membres d’équipage se sont déguisés en cornets à glace pour un événement familial de Noël, sans comprendre que leurs costumes pouvaient être mal interprétés, a déclaré le groupe dans un communiqué. Ils n’ont été vus en public qu’un court instant avant que le management ne réagisse rapidement et leur fasse enlever ces costumes. » Ils ont été « horrifiés et extrêmement désolés quand ils ont réalisé l’impact que leurs tenues pouvaient avoir, assure P&O. Ils vivent et travaillent sur le bateau de croisière et doivent faire avec ce qu’ils ont pour se déguiser. » Une explication qui n’a visiblement pas laissé tout le monde de glace.

LG

Drôle d'époque

Les touristes étrangers dépensent bien moins en France qu’en Espagne

Posted on 22 janvier 202522 janvier 2025
By Laurent Guéna

Alors que le tourisme mondial a retrouvé en 2024 son niveau pré-covid avec 1,4 milliard de touristes ayant effectué un voyage à l’étranger, selon l’ONU Tourisme, la France et l’Espagne ont annoncé successivement des records de fréquentation. La France a accueilli 2 millions de visiteurs de plus par rapport à 2023. Elle a récolté des recettes de 71 milliards d’euros. Avec 94 millions de visiteurs étrangers, l’Espagne a engrangé 126 milliards d’euros. Cet excellent résultat « vient en partie du fait que les visiteurs restent plus longtemps. Plus que le nombre de touristes, c’est la dépense générée qui est importante. Nous devons donc travailler dans le but d’augmenter le panier moyen par visiteur et faire rester nos visiteurs plus longtemps », estime la ministre du Tourisme, Nathalie Delattre. Pour y parvenir, la ministre en poste depuis fin décembre a un plan : « Il faut construire de nouveaux hôtels, en particulier haut de gamme. Il y a 31 palaces en France, et 18 candidats à la distinction cette année. C’est une bonne nouvelle. Mais nous devons travailler sur toutes les gammes et dans l’ensemble, nous avons un parc vieillissant d’hôtels et de restaurants. » Y’a plus qu’à !

LG

En lire davantage dans Le Figaro

France

L’IA a déjà transformé la recherche de voyages

Posted on 22 janvier 202522 janvier 2025
By Nicolas Barbéry

Thomas Reiner, associé d’Altimeter Capital, estime que les agences de voyages en ligne (OTA) et les métamoteurs de recherche sont déjà en difficulté face à l’essor de la recherche générée par l’intelligence artificielle. « Nous allons assister à une rupture complète du paradigme actuel en matière de découverte de voyages », a-t-il déclaré, ajoutant que les hôtels, les compagnies aériennes, les croisiéristes et les agences de location de voitures pourront capter davantage de réservations directes à mesure que la recherche de voyages évoluera. Cela signifie que les OTA et autres intermédiaires risquent de perdre d’importantes commissions. Il poursuit en soulignant : « C’est le meilleur scénario possible pour les OTA. Mais pour les sociétés de méta-recherche, comme Trivago, leur avenir est incertain. Je pense qu’ils ne garderont en mémoire que le souvenir des bons moments. » Selon lui, l’avenir appartient aux assistants personnels pilotés par l’IA, capables de gérer toutes les étapes d’un voyage. « Tout le monde aura un assistant personnel dans sa poche, capable de tout faire : réserver un hôtel, un vol, appeler un Uber ou un taxi Tesla. Cet assistant connaîtra vos préférences et rendra tout plus simple. » Il conclut : « Nous avançons rapidement vers un monde où les choses seront plus faciles pour les utilisateurs, sans avoir à passer des heures à chercher des informations. » Peut-être. Mais ce monde devient également de plus en plus incertain avec toutes ces données personnelles que nous confions tous et continuellement à des inconnus.

NB

En lire davantage sur le site de Skift

Technologie

Assemblée générale du BAR : des questions… en attendant les réponses !

Posted on 22 janvier 202522 janvier 2025
By Oncle Dom

Une assemblée générale du BAR, exceptionnelle aux dires des participants, s’est tenue hier à Paris. Il y avait du beau monde, notamment Willie Walsh, président de Iata ou encore Damien Cazé, patron de la DGAC. Dans son discours, Jean-Pierre Sauvage, président de l’association, a fait un bilan clair du transport aérien mondial, tout en envoyant quelques messages clairs aux autorités de tutelle. Pour résumer, le transport aérien mondial a retrouvé en 2024 un niveau supérieur à celui de 2019, avec 4,9 milliards de passagers et une hausse du fret de 5,8%. En France, si le trafic domestique peine à rattraper son niveau pré-covid, le trafic international le dépasse, soulignant l’importance économique du secteur (1,3 million d’emplois et 4,8% du PIB). Cependant, la croissance en 2025 devrait rester faible (inférieur à 1%), et un récent rapport de Mario Draghi alerte sur la compétitivité du pays. Dans ce contexte, la décarbonation est un enjeu majeur. L’objectif zéro carbone pour 2050 s’appuie sur plusieurs leviers : renouvellement des flottes (avec des avions moins gourmands en carburant), développement du carburant d’aviation durable (SAF) et amélioration de la gestion opérationnelle (ciel unique européen et réduction des retards). Les aéroports, soumis à une forte proximité urbaine, sont également invités à limiter leurs émissions et nuisances sonores, tout en participant à des études d’impact équilibrées (EIAE). Le secteur doit, en outre, faire face à une fiscalité croissante (taxes TEITLD, TSBA) justifiée au nom de l’environnement, mais perçue comme injuste et pénalisante pour la compétitivité. Malgré ces défis, les professionnels du transport aérien affichent leur confiance quant à la résilience et l’adaptation de l’industrie, espérant que 2025 soit l’année d’un nouvel essor, conciliant performance économique et objectifs environnementaux.

OD

Transport

Pour le patron de Iata, la France, grand pays de l’aviation, est « schizophrène »

Posted on 22 janvier 202522 janvier 2025
By Laurent Guéna

« Si vous êtes sincères dans votre envie d’affronter les problèmes environnementaux, les taxes ne sont pas la solution », a lancé Willie Walsh, le directeur général de Iata lors de l’assemblée générale annuelle de la Fnam La France est selon lui « schizophrène » entre ses grands acteurs de l’aviation mondiale, comme Airbus ou Safran, et sa volonté de détruire ce même secteur en alourdissant la fiscalité du transport aérien en France. Entre les hausses de redevances de navigation aérienne, le coût de la transition énergétique induit par le paquet européen « Fit for 55 » et l’augmentation de taxes, notamment la taxe de solidarité sur les billets d’avion, le surcoût sur l’année en cours est estimé à 1,2 milliard d’euros. « Comment peut-on vendre ses avions au reste du monde en disant qu’on va forcer tout le monde à utiliser le train ? », a lancé l’ancien patron de British Airways et de sa maison mère IAG. Après tout, les constructeurs automobiles, tant bien que mal, arrivent bien encore à vendre des voitures malgré les publicités assorties de ce fameux conseil « Pour les trajets courts, privilégiez la marche ou le vélo » ou « Au quotidien, prenez les transports en commun ». Cela dit, on n’a pas encore trouvé d’alternatives à l’avion pour se rendre en Australie.

LG

En lire davantage sur le site de la Voix du Nord

Transport

Drôle d’époque

Posted on 22 janvier 202522 janvier 2025
By Nicolas Barbéry

En tant que principal sponsor des Jeux olympiques de Paris, LVMH était partout. Le champagne Moët & Chandon coulait à flot dans les loges VIP, les athlètes français défilaient en Berluti, et les bagages Louis Vuitton trônaient fièrement lors de la cérémonie d’ouverture. Mais la plus belle vitrine du groupe de luxe restait sans conteste les médailles olympiques, imaginées par Chaumet et fabriquées par la Monnaie de Paris. Seulement voilà, à peine quelques mois après la fin des Jeux, plus d’une centaine d’athlètes ont eu la désagréable surprise de voir leurs médailles ternir, voire s’écailler. Du prestige à la pacotille, il n’y a parfois qu’un pas… Désormais, ils exigent leur remplacement, espérant enfin un souvenir à la hauteur de leur performance. Au lendemain des Jeux, Emmanuel Macron avait lancé fièrement : « Des Jeux comme ça, on verra qui les refera ! » Finalement, ce ne sont pas les Jeux qu’il faudra refaire… mais bien les médailles !

NB

Drôle d'époque

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