Dans Le Monde, ce matin, le Syndicat national des pilotes de lignes s’inquiète qu’à terme, on ne les remplace des logiciels d’intelligence artificielle. C’est le projet DragonFly d’Airbus qui inquiète tout particulièrement les pilotes. Celui-ci serait capable de gérer non seulement le décollage et l’atterrissage, mais aussi de prendre les commandes si les pilotes perdent connaissance. Il pourrait même déterminer, seul, une nouvelle route. Bah ! tant que l’IA n’aura pas l’intelligence de se mettre en grève, les pilotes auront toujours un coup d’avance…
NB