Catégorie : Drôle d’époque

Une étude récente démontre que les vedettes de la chanson qui accèdent à la célébrité meurent en moyenne quatre ans avant les chanteurs moins connus. Plus précisément, les stars de la musique atteignent généralement l’âge de 75 ans, tandis que les artistes moins
connus vivent en moyenne jusqu’à 79 ans. « L’attention médiatique constante, la perte de vie privée, la pression de la performance et la banalisation de la consommation d’alcool et de drogues sont susceptibles d’avoir un impact », estiment les auteurs de l’étude. Cela dit, tout est relatif : bon nombre de nos plus grandes vedettes sont bien heureusement encore de ce monde, de Mireille Mathieu (79 ans) à Hugues Aufray (96 ans), en passant par Sheila (80 ans), Herbert Léonard (80 ans) et Serge Lama (82 ans), sans oublier le meilleur de
tous : Wouter Otto Levenbach (81 ans), plus connu sous le nom de Dave. A propos, j’ai renoncé autrefois à faire carrière en tant que rock star sous le nom d’Elton Splate. C’est une double bonne nouvelle : d’abord pour mon espérance de vie, ensuite pour vos oreilles.
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Animaux empaillés, miroirs au plafond… Autant de repoussoirs sur les photos des annonces pour les candidats à la location de vacances, qui selon Booking.com, les trient plus vite qu’un profil Tinder, et dégainent un verdict en moins de 10 secondes. 68 % des propriétaires n’ont ainsi jamais osé louer leur logement, persuadés qu’il ferait fuir au premier regard. De leur côté, les vacanciers continuent de “matcher” pour une machine à café haut de gamme, un coin repas extérieur ou une lumière naturelle flatteuse — et fuient peluches exposées, fausses topiaires et pelouse synthétique. Et surtout, nous dit Booking, on évite les housses de siège de toilette en moumoute, pas vraiment vendeuses.

LG

Des scientifiques britanniques affirment avoir déterminé l’âge du baiser, qui remonterait à une période comprise entre 16 et 21 millions d’années. Ils en ont profité pour donner une nouvelle définition claire et limpide du baiser. Il s’agit d’une « interaction non agonistique impliquant un contact oral-oral intraspécifique dirigé, avec un léger mouvement des lèvres et des pièces buccales, sans transfert de nourriture ». C’est mieux. Les chercheurs ont aussi découvert que l’échange de baiser n’est pas propre à l’homme, et que même les poissons et les fourmis se bécotent. Pour la fourmi, j’ai un doute : elle n’est pas prêteuse, et quand la bise fut venue, elle n’a certainement pas voulu la partager.

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La Bretagne dégaine un slogan qui fait tousser les sommets alpins : “Raz le bol du ski ? Changez d’hiver en Finistère”. Une petite pique accompagnée de visuels de phares fouettés par la houle ou de randonnée le long du GR34. Résultat : LinkedIn se transforme en col des Aravis un jour de bise. Le Comité départemental du tourisme des Savoies y pointe un manque de fair-play oubliant, au passage, ses campagnes de dénigrement contre le littoral et les plages bondées pour attirer des estivants. Qu’importe les mauvaises langues : le fier Finistère trace sa voie, été comme hiver : pas de poudreuse, mais, n’en déplaise aux Savoyards, des vagues assez sérieuses pour remplacer n’importe quelle piste noire.

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Le chef étoilé bordelais Guillaume Sanchez a proposé une association culinaire surprenante sur TikTok : des huîtres au Redbull. Comme tout ce qui est navrant, la vidéo a déjà atteint près de 400.000 vues. Cela dit, si vous voulez regarder à votre tour ce spectacle désolant, mieux vaut avoir l’estomac bien accroché et rester debout. De toute façon, pour regarder Sanchez, il est impossible de s’asseoir.

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Inutile de faire de grands gestes ou de frapper dans ses mains pour éloigner les mouettes intempestives : rien n’est plus efficace que de crier, selon des chercheurs de l’université d’Exeter en Angleterre dont l’étude a été publiée mercredi. Ces scientifiques ont placé des chips à un endroit où les oiseaux étaient sûrs de les trouver. Quand une mouette s’est approchée, ils ont diffusé trois différents enregistrements. Dans le premier, une voix masculine a crié : « Non, ne t’approche pas, c’est ma nourriture ! » Dans le deuxième, la même voix a prononcé les mêmes mots, mais sans crier. Et le troisième était un chant de rouge-gorge. Près de la moitié des oiseaux exposés aux cris se sont envolés en moins d’une minute. Les mêmes mots dits en parlant ont poussé seulement 15% des mouettes à prendre leur envol. En revanche, 70% des mouettes exposées au chant du rouge-gorge sont restées près de la nourriture pendant toute la durée de l’expérience. Cette curieuse expérience visait à démontrer que la violence physique n’est pas nécessaire pour éloigner les volatiles dont les marins disent aussi que quand ils ont pied, il est temps de virer.

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En réservant un aller-retour entre Caen et Marseille sur le site de Volotea, une passagère a vu s’afficher à l’écran un message pour le moins inquiétant : « ils tombent« . Un bug surréaliste qui, quelques secondes plus tard, a disparu pour laisser place à « Caen« . Après vérification, la compagnie espagnole a confirmé qu’il s’agissait d’un problème de traduction automatique : Google traduction a interprété le nom de la ville normande comme la conjugaison du verbe espagnol « caer » (tomber). « C’est indépendant de Volotea », a précisé la compagnie. Moralité : à Caen, on atterrit, on ne tombe pas, et la traduction de Google, elle, ne vole pas très haut.

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L’excitation monte chez les fans de sumo au Japon. Tous attendent de savoir si la première femme Premier ministre du pays, Sanae Takaichi, osera défier des siècles de tradition en montant sur le ring pour remettre le trophée au vainqueur. En principe, les femmes n’ont pas le droit d’entrer sur le dohyo, considéré comme sacré. Une croyance du shintoïsme, religion indigène du Japon, les juge impures à cause du sang menstruel. Interrogé sur la possibilité que Takaichi demande une dérogation pour remettre le trophée du Premier ministre dimanche prochain, le secrétaire général du cabinet, Minoru Kihara, a botté en touche : « Le gouvernement n’a pas encore pris de décision à ce sujet. Nous envisagerons une réponse appropriée en fonction de la volonté de la Première ministre. » Cela dit, au Japon, qui ne sumo, consent.

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À Düsseldorf, le Kunstpalast fait salle comble avec un concept improbable : des visites guidées menées par un historien qui insulte ses visiteurs jugés bien trop peu cultivés pour le mériter. Sous les traits du personnage Joseph Langelinck, l’artiste Carl Brandi malmène le public : « Je ne les attaque pas personnellement, mais j’essaie de les faire se sentir aussi ignorants que possible », dit-il. Le Grumpy Guide attire une clientèle jeune et curieuse, lassée des visites convenues. On en sort complètement rincé, un peu vexé et prêt à revenir. Comme quoi, même la mauvaise humeur peut être un art.

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La police de Münster a reçu le signalement d’une voiture qui roulait à vive allure en zigzagant dangereusement sur la route. D’après un témoin, le conducteur et sa passagère faisaient l’amour au volant. La police a finalement intercepté le couple dans une station-service. En raison de sa conduite dangereuse, le conducteur est désormais poursuivi pour mise en danger de la circulation. Pour la bagatelle, le couple aurait mieux fait de rester à la maison. Franchement, n’est-ce pas moins dangereux, le sexe au logis ?

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