Catégorie : Actualités

De nombreuses célébrités ont appelé les Français à ne pas renoncer à se rendre au Maroc, dont l’animateur Arthur, né à Casablanca. « Le Maroc vit du tourisme, ce n’est pas la peine de les punir une seconde fois. Donc ce serait bien que les gens continuent et maintiennent cette relation avec le Maroc », a-t-il dit sur France 2. « Faire du tourisme dans un pays meurtri c’est aider ce pays », poursuit Jamel Debbouze, qui invite toutefois les voyageurs « à faire attention aux éventuelles répliques qui pourraient arriver dans les prochains jours ». Jamel Debbouze ferait un bon agent de voyages.

LG

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Marrakech s’est largement vidé, faisant ressurgir le marasme économique provoqué par le covid et des craintes pour le tourisme. « Des groupes entiers ont annulé, par peur de réplique, explique Dahman Ziani, gérant du hammam éponyme. « La médina c’est l’âme de Marrakech, notre fierté. Le tourisme c’est 99% de nos revenus. S’il meurt, tout s’arrête définitivement. » De son côté, le Seto, même si les infrastructures hôtelières et les aéroports restent ouverts après le séisme, a demandé à ses adhérents « d’adopter la plus grande souplesse commerciale pour les clients ne souhaitant pas partir compte tenu de la situation locale ». 

LG

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A cause des influenceurs des réseaux sociaux, les « Negen Straatjes », (neuf petites rues) d’Amsterdam sont envahies de touristes qui viennent faire des selfies en mangeant des frites achetées chez Fabel Friet, une friterie du coin vantée sur TikTok. Cette nouvelle forme de tourisme, inspiré par les réseaux sociaux, est une véritable pollution pour les habitants, les commerçants, les restaurateurs et les hôteliers du coin. Ils se plaignent que les « influenceurs » mettent davantage en avant « la nourriture instagrammable, les balades à vélo paresseuses et le lèche-vitrines dans le quartier rouge, que les musées et les expositions culturelles« . Il paraît que chez TikTok, on préfère employer le mot de « divertissement » à celui de « culture ».

NB

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Avec la chaleur et la sécheresse, le niveau du lac Titicaca en Amérique du Sud se rapproche de son plus bas historique d’il y a près de 30 ans. Depuis avril, le niveau de l’eau du lac a baissé de plus de cinquante centimètres pour atteindre 3.808,19 mètres au-dessus du niveau de la mer, selon les données du Service météorologique péruvien. Le chiffre le plus bas à ce jour a été mesuré en décembre 1996 à 3.808,10 mètres. Le manque d’eau dû aux faibles précipitations a déjà provoqué de graves pertes de récoltes dans la région. Comme celle de quinoa qui s’est effondrée de 90%. La pêche, la chasse et le tourisme sont malheureusement également touchés.

NB

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