Catégorie : Actualités

La Communauté valencienne, en collaboration avec l’Institut technologique hôtelier (ITH), a lancé le projet ITH TechYRoom 1.0, qui consiste à concevoir à Benidorm (Alicante la première chambre d’hôtel dotée d’intelligence artificielle ). Il s’agit d’intégrer grâce à l’IA l’optimisation des espaces et de la technologie. La formation est également au programme. La ministre de l’Innovation et du Tourisme de la Communauté valencienne, Nuria Montes, a souligné que ce projet représentait « une fenêtre ouverte sur les hôtels du futur où seront améliorés non seulement le service aux clients, mais aussi la durabilité et l’attention portée aux conditions de travail du personnel« . Elle a conclu : « Il s’agit d’un exemple inspirant d’innovation dans l’industrie hôtelière qui pose les bases d’un brillant avenir dans le secteur de l’hôtellerie. » On a hâte de voir ça.

NB

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Les Collectionneurs, réseau d’hôtels et restaurants indépendants présidé par le chef Alain Ducasse (à droite), se rebaptise Teritoria et adopte une nouvelle stratégie axée sur le tourisme vert. Le groupe, qui prend le statut d’entreprise à mission, va demander à ses 430 adhérents de s’engager dans une démarche de réduction des émissions de gaz à effet de serre et d’amélioration des conditions de travail, quitte à se séparer de ceux qui ne joueront pas le jeu. Concrètement, les adhérents devront réaliser tous les deux ans un bilan carbone avec l’outil Clorofil, mis au point en interne par le groupe Majorian qui coiffe le réseau. Autre pilier de la stratégie, les adhérents devront plancher sur les conditions de travail de leurs salariés en passant par un autre outil de Majorian, le label Peace&Work, qui propose « d’évaluer les pratiques managériales« . Avec cette nouvelle stratégie, le groupe espère faire mouche auprès des voyageurs sensibles. Pour l’environnement, Alain Ducasse, il se décarcasse.

LG

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Une proposition de loi « visant à remédier aux déséquilibres du marché locatif en zones tendues » arrive aujourd’hui devant la commission des Affaires économiques. Dans le viseur, les plateformes comme Airbnb accusées d’entraver le logement traditionnel dans les grandes métropoles, sur le littoral ou dans les stations de montagne. Le point le plus sensible – et sans doute appelé à être le plus discuté du texte – concerne la réforme du régime fiscal avantageux dont bénéficient les meublés de tourisme. L’idée des rapporteurs serait d’aligner le taux de l’abattement fiscale à 40% pour tous types de logements – allant ainsi au-delà de leur préconisation dans le texte initial. Les sénateurs sont déjà allés plus loin. Ils ont adopté, contre l’avis du gouvernement, un amendement au projet de loi de finances pour 2024 ramenant l’abattement Airbnb à 30% (hors zones rurales), dans la limite de 15.000 euros de revenus. Au passage, ils ont souhaité que les meublés touristiques soient soumis à la TVA, comme le sont les chambres d’hôtel. De quoi faire réfléchir quelques propriétaires.

LG

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