Catégorie : Croisières

Cruisebound est une nouvelle OTA américaine destinée exclusivement à la vente de croisières. Un certain nombre d’investisseurs de premier plan ont fourni un soutien financier solide à son démarrage, notamment Jeff Boyd, ancien PDG de Booking, et Steve Kaufer, fondateur et PDG de Tripadvisor. Cruisebound a levé 10 millions de dollars en septembre dernier. Selon la société, le financement total s’élève actuellement à 12,7 millions de dollars. Le PDG de Cruisebound est Pierre-Olivier Lepage, ex-patron de la filiale Booking Rocket Travel. Actuellement, 14 compagnies sont présentes sur le site : Carnival, MSC, Royal Caribbean, Norwegian Cruise Line, Celebrity, Princess, Holland America Line, Costa, Oceania, Seabourn, Cunard Line, Regent Seven Seas Cruises, Disney Cruise Line et Azamara. Avec tout ce beau monde, Cruisebound va faire des vagues.

NB

En lire davantage sur le site de Travel Weekly

Orient Express, filiale du groupe hôtelier Accor, va passer commande auprès des Chantiers de l’Atlantique de deux voiliers pouvant transporter jusqu’à 120 croisiéristes fortunés. « On a entièrement retravaillé » et adapté à « l’ultra luxe » le concept de Silenseas, un gros voilier de croisière conçu par les Chantiers de l’Atlantique à Saint-Nazaire, souligne Guillaume de Saint Lager, président de la filiale. « Dans l’univers de la croisière, ça sera le bateau le plus vert », assure-t-il. Par ailleurs, la société veut faire à nouveau circuler le mythique train Orient Express sur les rails européens début 2025. Elle veut en « réinventer le mythe » avec des voitures d’époque. A voile et à vapeur, Orient Express joue à fond le luxe écolo.

LG

En lire davantage sur le site de Bloomberg

Corsica Linea a inauguré à Ajaccio son premier navire en partie propulsé au gaz naturel liquéfié (GNL). Baptisé A Galeotta – en référence au navire amiral de la flotte de Pascal Paoli -, ce neuvième navire de la compagnie, qui peut accueillir 150 voitures, 170 camions et 930 passagers, effectuera la ligne Marseille-Bastia en semaine et Marseille-Ajaccio le week-end. Pour commencer, le A Galeotta sera propulsé pendant « un quart de la traversée » au GNL près des côtes corses et marseillaises et, pendant les trois quarts restants, au fioul léger. Quand on veut…

LG

En lire davantage dans Corse Matin

Actreur incontournable du transport transmanche, Brittany Ferries voit son cinquantième anniversaire assombri par les retombées du Brexit. Si la compagnie transporte toujours des choux-fleurs – c’est pour cela qu’elle avait été créée par des agriculteurs bretons -, son modèle économique a radicalement changé. En 2019, dernière année avant la pandémie, Brittany Ferries avait ainsi fait voyager 2,4 millions de personnes (1,8 million en 2022), dont 80% de Britanniques. Après avoir échappé à la faillite, l’entreprise doit affronter les conséquences du Brexit, effectif depuis janvier 2021, risque de peser avec « environ 15% d’échanges économiques en moins ». Lundi, lors de la traversée anniversaire, les passagers français n’ont pas été autorisés à mettre le pied à terre à Plymouth : ces nigauds n’étaient pas pourvus de leurs passeports. 

LG

En lire davantage sur le site de Breizh Info

Le Venezuela a accueilli hier le premier bateau de croisière venu d’Europe depuis 15 ans, avec l’arrivée à l’île de Margarita du navire Amadea et de ses 500 passagers. Le contrôle des changes et une hyperinflation, les pénuries et les problèmes d’approvisionnement en eau et électricité, mais aussi la criminalité ont fait fuir les tour-opérateurs et visiteurs, et les bateaux de croisière s’étaient peu à peu détournés des escales vénézuéliennes. Pourles autorités touristiques, « c’est merveilleux, c’est une démonstration que le Venezuela peut à nouveau accueillir des touristes. » Le Quai d’Orsay invite toutefois les Français de passage au Venezuela « à faire preuve de vigilance maximale ».

LG

En lire davantage sur le site d’ABC Bourse

Les passagers d’une luxueuse croisière du Nouvel An autour de la Nouvelle-Zélande et de l’Australie ont été bloqués une semaine en pleine mer en raison d’une « excroissance marine » accrochée à la coque et qui aurait pu nuire à l’écosystème selon l’Australie. Des plongeurs ont dû enlever la « biofoul » – une accumulation de micro-organismes, de plantes, d’algues ou de petits animaux – du Viking Orion, un navire de 930 places, pendant qu’il était ancré dans les eaux internationales. Le navire avait quitté le 23 décembre Auckland en Nouvelle-Zélande, mais il n’a plus fait d’escales après son départ de Wellington, la capitale néo-zélandaise, le 26 décembre. La compagnie Viking a confirmé avoir dû retirer « une quantité limitée d’une excroissance marine ordinaire » de la coque et travaille « directement avec les passagers sur une compensation « . Ça va faire maxi-cher pour des micro-organismes.

LG

En lire davantage dans l’Indépendant

La Chine va construire son premier paquebot de croisière pour le marché chinois. Le constructeur naval chinois CSSC vient en effet de présenter les plans d’un premier bateau. Celui-ci devrait être livré d’ici la fin de 2023. Il naviguera sous la marque Adora Cruises, une co-entreprise créée par CSSC et le groupe américain Carnival. Le navire est une adaptation de ceux de Carnival conçue avec l’aide des chantiers Fincantieri. Le premier grand méga-navire de croisière construit en Chine aura une jauge brute de 135.000 tonneaux et comptera 2.125 cabines passagers. CSSC coopère également avec le plus grand chantier naval Fincantieri. Un deuxième bateau de croisière encore plus grand (142.000 tonneaux de jauge brute et 2.144 cabines) est en construction. En Chine, même dans la croisière, le transfert de technologies fait des vagues.

NB

En lire davantage sur le site FVW.de

En mars dernier, la compagnie de ferry britannique P&O avait licencié 800 salariés du jour au lendemain, provoquant un vaste scandale au Royaume-Uni. En conséquence de quoi, son patron, Peter Hebblethwaite, a été élu en ce début de semaine « pire patron du monde » lors d’un sondage à l’occasion du Congrès de la Confédération syndicale internationale (CSI) qui se tient à Melbourne. Il devance d’un cheveu Jeff Bezos, patron d’Amazon, et Alan Joyce, le PDG de Qantas. Trois autres candidats étaient en compétition pour ce titre très convoité de « pire patron de l’année » : Gina Rinehart du groupe minier Hancock Prospecting, Howard Schultz de Starbucks et Ahmed bin Saïd Al-Maktoum d’Emirates. Pour l’année prochaine, c’est sûrement Elon Musk qui tient la corde.

NB

En lire davantage sur le site de BFMTV