Cet été, des dizaines de lacs et piscines, municipales ou privées, risquent la fermeture faute de surveillants qualifiés. Dans les campings, si leur présence n’est pas une obligation, elle rassure les parents. Un sauveteur professionnel explique que si le métier n’attire plus, c’est à cause des horaires contraignants, des incivilités et de la rémunération : 1.300 euros net par mois en début de carrière. Pour pallier la pénurie, les piscines pourrons être supervisées par des surveillants de baignade. Les plages, elles, pourront compter cet été sur la présence de policiers. Normalement, ils savent nager en eaux troubles.
LG