Jour : 18 septembre 2025

Arnaque géante aux voyages

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By Laurent Guéna

Ce devait être le voyage d’une vie : les grandes étendues arctiques, les traîneaux à huskies, le Père Noël, le soleil de minuit, les aurores boréales… pour 3.500 € négociés par la société Nounous Privilèges. Mais tout a été annulé à quelques jours du départ, sans aucun remboursement. « Autour de moi à ce moment-là, je me suis rendu compte que tout le monde avait un problème de remboursement, d’annulation ou de numéro de réservation », témoigne la victime. Au moins 300 plaintes ont été déposées, pour un préjudice estimé à 1.5 million d’euros. Fondée en 2019 à Carry-le-Rouet par deux assistantes maternelles, la société avait d’abord fonctionné comme un « comité d’avantages » réservé à la profession, avant de se rebaptiser NPFP (Nounous & Family Privilèges) et d’ouvrir ses séjours à tous les publics. « Le site a fermé, on nous a annoncé que tout le monde allait être remboursé, ce qui n’a bien sûr jamais été le cas. » L’affaire est à suivre ce soir dans l’émission Arnaques présentée par Julien Courbet sur M6. Ça va faire du bruit dans le Landerneau.

LG

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Juridique

Venise expulse deux touristes pour avoir nagé dans le Grand Canal

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By Nicolas Barbéry

Venise durcit de plus en plus sa politique touristique face à la recrudescence des comportements indisciplinés dans la Cité des Doges. Les autorités locales ont déjà émis 1.136 arrêtés d’expulsion depuis début 2025. Deux touristes étrangers venus de Grande-Bretagne ont été expulsés du centre historique de Venise pendant 48 heures et condamnés à une amende de 450 € après avoir plongé dans le Grand Canal, en vertu de la réglementation en vigueur. Ces dernières années, Venise a renforcé ses contrôles, face à une recrudescence des « comportements contraires aux bonnes mœurs » de la part des touristes. Le message est clair : Venise n’est pas un terrain de jeu pour les visiteurs malintentionnés. Pour info, sont considérés comme comportements inciviques les actes suivants : consommer de la nourriture ou des boissons sur la Piazza San Marco, sauf dans un bar ou un restaurant ; s’asseoir sur des talus, des monuments ou des ponts ; avoir un vélo ou un scooter (même poussé à la main) ; réserver des visites avec des guides touristiques non autorisés ; pique-niquer en dehors des jardins publics autorisés ; se promener en maillot de bain ou torse nu ; se baigner dans les canaux ; jeter des détritus ou faire des graffitis ; nourrir les mouettes ou les pigeons. Les incivilités des touristes semblent sans limites.

NB

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Surtourisme

J’aime / Je n’aime pas… Christian Orofino

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By Oncle Dom

La moustache conquérante, l’œil malin, le teint hâlé digne du marin qu’il n’est pas, c’est Christian Orofino, dit Fino. Personnage haut en couleur du tourisme français, Christian Orofino a effectué une grande partie de sa carrière dans le Groupe Air France, avant de rejoindre Madame Pauli et de diriger Austro Pauli qui deviendra Visit France et Visit Europe. Fino, sans langue de bois, n’hésite jamais à s’exprimer !

J’aime !👍

« J’aime les îles, toutes les îles. Quand on y débarque c’est un sentiment de plénitude qui vous envahit. Sans être visible, on sent que la mer est présente partout et toute proche. Le bout de la terre est à portée de regard, ainsi les hommes qui y vivent s’approprient ce territoire accessible et le défendent passionnément par leurs traditions. Cette géographie leur forge une plus forte identité. « Belle-Île-en-Mer, Marie-Galante… vous c’est l’océan qui vous sépare et vous laisse à part« , chante Laurent Voulzy. »

Je n’aime pas !👎

« Je n’aime pas la notion de retraite. Elle incite les femmes et les hommes à devenir paresseux et intolérants et à penser que plus rien ne peut leur advenir. On ne peut pas mettre arbitrairement une borne définitive à notre existence. Je crois, il n’y a pas de retraite : il n’y a que la vie et la mort, et entre les deux on progresse ! »

OD

J'aime/Je n'aime pas

Jet tours mise sur ses Clubs haut de gamme pour l’hiver

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By AS

Jet tours place la nouveauté au cœur de sa conférence de presse en annonçant le lancement des Clubs Jet tours, une gamme d’établissements 5 étoiles pensée pour conjuguer confort, authenticité et immersion locale. Ces clubs se distinguent par un accès direct à la plage ou un emplacement d’exception, une formule tout inclus qualitative et généreuse, et un ancrage respectueux de l’identité culturelle et de la biodiversité. L’expérience se décline autour de six piliers : le décor rêvé, le souffle retrouvé, la magie du moment, la tribu réunie, la vraie découverte et l’accompagnement. Au programme : coaching bien-être, séances de yoga au lever du soleil, spectacles, ateliers culturels, clubs enfants dès 6 mois et animations adaptées à chaque âge. En parallèle, Jet tours renforce sa collection Signature, avec plus de 50 produits haut de gamme et 30 nouveautés cet hiver. Des destinations phares – Martinique, Panama, Maldives, La Réunion, Seychelles, Sénégal – bénéficient de privilèges exclusifs comme des surclassements, des réductions spa, des repas gastronomiques ou encore des excursions offertes. Le voyagiste enrichit aussi sa gamme de circuits : voyages en petit groupe, circuits thématiques et itinéraires exclusifs en Afrique du Sud, en Égypte ou en Ouzbékistan. Tous reposent sur un socle commun de qualité : départs garantis, hébergements sélectionnés, guides francophones et partenaires locaux rigoureusement choisis. Enfin, Jet tours met en avant sa force commerciale avec un réseau d’ambassadeurs élargi, un service client disponible 7j/7 et une proximité renforcée avec les agences de voyages. Un avantage client exclusif complète l’offre : une e-SIM offerte à chaque voyageur pour rester connecté en toute sérénité.

AS

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Production

Drôle d’époque

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By Nicolas Barbéry

Hier soir, au château de Windsor, le dîner d’État offert par le roi Charles à l’occasion de la visite de deux jours du président Trump au Royaume-Uni fut aussi somptueux que pompeux. Une table de 48 mètres de long accueillait 160 invités, servis par une centaine de gens. Le menu s’ouvrait sur une panna cotta au cresson du Hampshire, accompagnée d’un sablé au parmesan et d’une salade d’œufs de caille. Le plat principal proposait une ballotine de poulet du Norfolk, enroulée de fines lamelles de courgette et nappée d’un jus infusé au thym et à la sarriette. En dessert, les convives se régalaient d’une bombe glacée à la vanille, servie avec un sorbet à la framboise du Kent et des prunes Victoria délicatement pochées. Côté cave, le choix était symbolique : un porto millésimé 1945, en clin d’œil au 45e président américain, et un cognac Grande Champagne 1912, pour rappeler l’année de naissance de la mère de Donald Trump. On aurait pu ajouter un Château Lafite Rothschild 1946, en hommage à la toute première dent de lait du président américain.

NB

Drôle d'époque