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Bee Travel News

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Le tourisme dans le monde vu par la presse, en un clin d'oeil

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Jour : 9 janvier 2025

Voyages et intelligence artificielle : les limites à connaître

Posted on 9 janvier 20259 janvier 2025
By Laurent Guéna

Si l’intelligence artificielle (IA) s’impose comme un outil prometteur pour simplifier l’organisation de voyages, elle n’est pas sans faille. Les modèles IA comme ChatGPT, en version gratuite, s’appuient sur des bases de données qui ne sont pas toujours à jour. Par exemple, leur connaissance du monde s’arrête à septembre 2021. L’IA montre aussi ses limites pour les lieux méconnus ou isolés. Lorsque les données fiables manquent, elle peut générer des recommandations erronées, voire inventer des informations. Ross Borden, fondateur de GuideGeek, avertit : « Si vous cherchez le meilleur café dans une petite ville reculée, il est possible que l’IA invente une réponse, ce qui peut être problématique. » Des erreurs peuvent aussi survenir lorsque des villes sont connues sous plusieurs noms, comme Bangalore en Inde, également appelée Bengaluru. Pour l’instant, l’IA reste un excellent allié pour organiser ses voyages, à condition de l’utiliser en complément d’autres ressources comme les conseils d’un agent de voyages, lequel a aussi le droit de s’appuyer sur l’IA qui n’est pas (encore) une ennemie.

LG

En lire davantage sur le site de National Geographic

Distribution

MSC limite les forfaits de boissons à 15 boissons alcoolisées

Posted on 9 janvier 20259 janvier 2025
By Nicolas Barbéry

MSC Croisières apporte quelques modifications aux forfaits de boissons Easy, Easy Plus et Premium Extra : à l’avenir, il y aura un maximum de 15 boissons alcoolisées par jour. De plus, les forfaits Easy et Easy Plus ne sont plus proposés aux États-Unis, mais seulement en Europe. Par ailleurs, le prix du forfait boissons Easy ne sera plus fixe en cas de réservation à l’avance et pourra fluctuer (entre 17 et 24 euros par personne et par jour) en fonction de la demande. Ces nouvelles règles s’appliquent aux réservations effectuées depuis le 18 décembre 2024 pour les voyages à partir du 1er avril 2025. Les forfaits boissons réservés avant le 18 décembre 2024 resteront dans leur forme initiale réservée. Retenez toutefois que les consommations des passagers de l’espace Yacht Club ne seront pas limitées. Ils pourront toujours boire à volonté au bar du Yacht Club. Retenez aussi que si l’alcool doit être consommé avec modération, il peut l’être aussi avec n’importe qui d’autre.

NB

En lire davantage sur le site de Cruise tricks

Croisières

J’aime/Je n’aime pas… par Frédéric Despreaux

Posted on 9 janvier 20259 janvier 2025
By Oncle Dom

Il a le sourire des personnages qui aiment la vie, le sourire malicieux de ceux qui aiment les autres et la verve des bons communicants. Il aurait aimé devenir chroniqueur sportif. Sportif, il l’est resté, chroniqueur, il préside la communication et le marketing d’APG Group avec talent… En plus, c’est un inconditionnel du western… Que du bonheur !

J’aime👍

« J’aime la façon dont les gens s’aiment sans jamais vraiment pouvoir expliquer pourquoi. Il est facile de préciser pourquoi on n’aime pas quelqu’un, mais décrire ce qui nous fait aimer une personne est bien plus complexe. Je ne parle pas seulement d’amour romantique. Cela inclut aussi l’amitié, les relations professionnelles ou simplement le bien-être que l’on ressent en présence de certaines personnes. Parfois, c’est une voix, un coup de gueule, une silhouette ou une attitude qui nous touche, sans que l’on sache pourquoi. J’apprécie cette part d’incertitude. Elle permet de vivre de très bons moments sans avoir à tout analyser. En avançant dans la vie, on réalise parfois qu’on peut se rapprocher de gens auxquels on n’aurait jamais pensé, et c’est toujours une belle surprise.

Moi, je suis toujours ébloui par cette capacité à se sentir bien avec quelqu’un sans pouvoir vraiment expliquer ce qui se passe. Cette magie, ce mystère, c’est quelque chose que j’aime profondément.

Mon deuxième grand plaisir, solidement ancré dans la terre et dans la mer, c’est d’aller nager en Grèce. Je nage dans la mer Égée, dans la mer Ionienne, autour des nombreuses îles grecques. J’y vais depuis plus de douze ans, et chaque fois, l’émotion est la même : me lever le matin, à la fin de l’été — fin août, début septembre, quand il n’y a presque plus de touristes — et retrouver une eau à 26 ou 27 degrés. Sur une plage déserte, la mer est d’huile, j’enfile alors mes palmes d’entraînement, mes lunettes, mes bouchons d’oreilles (indispensables), puis je m’élance pour une heure de nage, en crawl ou en brasse, dans cette mer salée, iodée, sensuelle. Ces moments sont pour moi extrêmement précieux, et cette année, ils m’ont mené sur l’île d’Andros, au nord des Cyclades, à un peu plus d’une heure de ferry d’Athènes. Un matin, j’ai même nagé aux côtés d’une famille de cygnes blancs — le père, la mère et leur petit — en restant cependant à distance, car les cygnes peuvent avoir des réactions imprévisibles. Quand je nage, je me retrouve dans un état de méditation, d’intériorisation, et aussi de contemplation. Dans une société qui nous presse sans cesse, on oublie à quel point la contemplation peut être aussi bénéfique que l’action. Relire les grands auteurs qui en parlent (par exemple Rousseau) nous le rappelle. Pour moi, ces deux semaines annuelles sont des moments d’émotion forte et d’une qualité inestimable.

Enfin, j’éprouve une passion particulière pour le western, un genre que j’ai découvert grâce à ma mère qui m’emmenait tous les dimanches au Studio Bertrand, où l’on pouvait voir deux westerns pour le prix d’un. C’est ainsi que je me suis construit une culture du cinéma américain, notamment à travers les films de John Ford : Les Cheyennes (1964) et La Prisonnière du désert (1956) m’ont marqué, en partie grâce à l’hommage flamboyant rendu à Monument Valley. J’apprécie également Rio Bravo (1959) d’Howard Hawks, souvent cité comme le seul western où John Wayne ne monte pas à cheval. Enfin, des œuvres comme Le train sifflera trois fois (1952) et 3h10 pour Yuma (1957) avec le remarquable Glenn Ford, représentant la figure de l’homme seul face à la société, un thème qui n’est pas sans rappeler les tragédies grecques. »

Je n’aime pas👎

« Il n’y a pas beaucoup de choses que je n’aime pas, mais s’il y en a une que je déteste par-dessus tout, c’est l’avarice. Les avares, les « grippe-sous« , les « pinces« , comme on dit, c’est insupportable. Quand on a des revenus modestes, je comprends qu’on fasse attention. Mais quand des gens blindés, et on en connaît, refusent de payer un centime, là, c’est incompréhensible. Ils n’ont pas compris que les coffres-forts ne suivent pas les cercueils ! Ces calculs pour profiter sans payer, cette panique à l’idée d’ouvrir leur portefeuille, c’est d’une laideur crasse !

Autre chose qui m’exaspère, c’est cette ambiance d’influence omniprésente. On te dit où aller en vacances, quoi manger, quoi boire… C’est insupportable ! Où est passé le libre arbitre ? Ajoutons à cela le marché du bien-être, qui envahit tout avec sa bienveillance galvaudée. Trop de gens se disent experts, et ça dénature des notions qui étaient pourtant justes. C’est comme ces touristes sur des sites culturels, qui préfèrent se prendre en selfie !

Enfin, il y a le bashing contre le transport aérien. Oui, l’environnement est important, mais faire de l’avion le bouc émissaire, c’est ridicule. Surtout quand ces mêmes personnes prennent des vols low-cost à 50 euros pour partir de Barcelone. Ce que je trouve tout aussi agaçant, c’est le silence des compagnies aériennes. Elles devraient unir leurs forces — aéroports, agences, constructeurs — pour montrer tout ce que l’avion apporte, humainement, politiquement, économiquement. Beaucoup de choses se font pour réduire l’impact écologique, mais personne n’en parle. »

OD

J'aime/Je n'aime pas

La Martinique cherche à monter en gamme

Posted on 9 janvier 20259 janvier 2025
By Laurent Guéna

Après des années à miser sur le tourisme de masse issu de métropole, la Martinique a conscience de la nécessité de monter en gamme. Une obligation pour pouvoir se différencier de ses concurrents, la République dominicaine ou Sainte-Lucie, en promouvant, par exemple, les rhumeries comme l’Habitation Clément ou, loin des plages, la Montagne Pelée, mais aussi la biodiversité et la yole, toutes inscrites au patrimoine de l’Unesco. Cette « premiumisation » est également un moyen d’allonger la saison et d’attirer un public venu d’autres horizons, encouragé par des projets hôteliers. Un 5 étoiles devrait par exemple ouvrir en 2028 aux Trois-Îlets, sur l’ancien emplacement du Méridien. Dans cette volonté d’accueillir plus de visiteurs argentés, le Canada est un cas d’école. Grâce à une communication ciblée, ses ressortissants représentent dorénavant « 15% des clients, contre 5% il y a deux ans », se félicite Bruno Brival, directeur du Comité martiniquais du tourisme (CMT). Pour eux, pas de décalage horaire, ou presque. Résultat : « Ils viennent toute l’année, et en plus ils laissent des pourboires »… eux.

LG

En lire davantage dans Le Figaro

Destinations

Drôle d’époque

Posted on 9 janvier 20259 janvier 2025
By Nicolas Barbéry

Selon Visit Suède, il arrive régulièrement que des touristes se trompent de destination en raison de la ressemblance des noms de villes. Ainsi, un voyageur qui souhaitait se rendre à Kiruna, la ville la plus septentrionale de Suède, s’est retrouvé à Kiruna… en Ouganda. Et ce genre de confusion est d’autant plus courant que la Suède regorge de villes aux noms évocateurs : il y a un Paris dans le Värmland, un Madrid dans l’Östergötland et un autre Madrid dans la municipalité de Mellerud, au nord du pays. Récemment, un couple coréen qui voulait se rendre à Venise s’est retrouvé à Vännäs, une petite ville du nord de la Suède, tout près du cercle polaire arctique. Heureusement, ils ont pris leur méprise avec philosophie : « Nous avons apprécié chaque minute. Nous n’avions jamais vu autant de neige auparavant. Mieux que Venise ! Nous avons reçu un accueil incroyablement chaleureux. » Depuis, dans le nord, tout le monde fredonne avec entrain l’indémodable et bouleversante chanson de Sheila et Ringo, revisitée pour l’occasion : « Laisse les gondoles à Vännäs… »

NB

Drôle d'époque
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