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Le tourisme dans le monde vu par la presse, en un clin d'oeil

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Jour : 28 novembre 2024

TUI se branche directement sur les stocks de ses partenaires

Posted on 28 novembre 202428 novembre 2024
By Nicolas Barbéry

Sebastian Ebel, PDG de TUI, précise sa stratégie : « Nous voulons gagner de nouveaux clients et vendre plus de produits aux clients existants. » Pour y parvenir, il veut faire évoluer le modèle commercial classique qui combine l’achat d’hôtels et de vols. Il entend se connecter directement aux systèmes de gestion des hôtels et des compagnies aériennes pour obtenir « de nouvelles opportunités de vente avec de meilleures marges ». Il cite un exemple : « British Airways est la première compagnie aérienne à partir de laquelle nous pouvons proposer toutes les classes de réservation (y compris les classes particulièrement bon marché) et diverses options de modification de réservation. Ce sont des investissements stratégiques et ce n’est qu’un début. » Pour ces fournisseurs, c’est également une bonne chose car ils touchent « de nouveaux clients plus intéressants que ceux qui réservent à court terme sur les plateformes Internet. Car le client TUI réserve tôt et est fiable. » Quant à la distribution, il explique que si « tous les canaux de vente sont importants », l’agence de voyages « joue sans aucun doute un rôle de premier plan ». Parmi les avantages pour le TO : « Des réservations anticipées, de nombreuses ventes, des marges intéressantes et des clients fidèles. » Le patron de TUI précise que « les ventes faites par les agences de voyages compensent le paiement de commissions plus élevées par rapport aux autres canaux de vente ». Que demander de plus ?

NB

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Production

Congrès Selectour : de l’argent, encore de l’argent, toujours de l’argent !

Posted on 28 novembre 202428 novembre 2024
By Oncle Dom

Record battu pour ce nouveau congrès Selectour, qui a débuté ce matin à Doha. Son président, Laurent Abitbol, jubile : « 637 participants, plus de 300 licences… » En guise d’ouverture, il prononce un discours qui n’en est pas un, mais qui est un dialogue savamment orchestré avec l’éternel M. Loyal de la manifestation : l’excellent François-Xavier Izenic. Comment se porte le réseau ? « Tout va très bien et vous allez gagner beaucoup d’argent », annonce d’emblée Laurent Abitbol. Car, même « s’il est important de s’amuser aussi, le seul véritable objectif du réseau est gagner de l’argent. Et pour cela nous travaillons dur. De plus, grâce au GIR Asha (Selectour et Havas, ndlr), nous disposons d’une force de frappe conséquente. » Quant à NDC et Air France, Laurent Abitbol reste plus modéré, reconnaissant toutefois qu’Air France coopère totalement avec le réseau : « La surcharge a été reportée une nouvelle fois par Air France. C’est bien » Il lancera tout de même un petit tacle en reconnaissant être « un anti NDC primaire et détester que l’on change les choses qui fonctionnent très bien ». Henri Hourcade, DG adjoint chez Air France, esquisse un fin sourire ! Quand on lui demande s’il est sensible aux critiques, Laurent Abitbol est clair : « Les critiques professionnelles, non. En revanche, des critiques personnelles… un peu. » Aux commentaires émis lors du dernier congrès Tourcom par Richard Vainopoulos, son président, sur le montant (jugé trop faible) des versements des commissions Selectour aux adhérents, il répond : « Je ne connais quasiment pas Vainopoulos. Et je ne suis pas là pour dire des méchancetés ! » Par ailleurs, il admet que connaître beaucoup de monde dans le milieu politique, ça peut aider : « Si je dois rencontrer Jean-Luc Mélenchon, je le ferai ». Puis il conclut : « Nous sommes ici pour gagner de l’argent, toujours un peu plus. Et nous allons le faire ! » Comme il l’annonce à chaque congrès.

OD

Distribution

J’aime/J’aime pas… par Philippe Brieu

Posted on 28 novembre 202428 novembre 2024
By Oncle Dom

C’est un passionné, Philippe Brieu. Passionné de ces machines qui volent, toujours plus haut, toujours plus loin. Un grand professionnel dont la carrière dans le transport aérien a débuté en 1988. Pas de retraite pour cet homme plein d’humanité qui se consacre, en compagnie d’un autre passionné, Jean-Pierre Sauvage, à la bonne santé des compagnies aériennes étrangères basées en France, avec le BAR.

J’aime !

« J’aime aller à la rencontre des gens. Et quel meilleur vecteur pour y parvenir que l’avion, donc le voyage ?  Mon premier voyage, c’était avec une vieille 125 cm3 en Ecosse. J’aime profondément aller à la rencontre des autres, ceux que je ne pourrais pas croiser si je ne voyageais pas moi-même. Et, pour voyager efficacement, le meilleur moyen reste quand même l’avion. J’avoue que j’éprouve une réelle excitation lorsque je m’apprête à embarquer dans un appareil, particulièrement lorsque c’est un nouveau modèle. Vous savez, je pense que les pilotes ont le plus beau bureau du monde ! Le transport aérien, beaucoup décrié en ce moment, reste un vecteur incontournable pour que les familles se retrouvent et que les gens se rencontrent. Un monde qui ne permettrait pas aux humains de se côtoyer serait un monde complétement sclérosé. De plus, le transport aérien c’est aussi de la navigation, et comme dans la marine, l’entraide existe toujours. Le BAR (Board of Airlines Representatives, association des transporteurs aériens Ndlr) est une association gérée par des bénévoles qui ne gagnent rien, mais qui pensent ainsi rendre service à cette communauté. »

J’aime pas !

« Tous ceux qui empêchent les gens de voyager ! Tous ceux qui empêchent les humains d’être au contact les uns des autres. Je suis inquiet et j’en veux à toutes ces personnalités politiques qui mettent tellement de bâtons dans les roues dans le secteur du voyage. Quand je vois que pour des vols entre l’Europe et l’Asie, la plupart des compagnies sont obligées de jeter l’éponge à cause d’itinéraires de vols tellement alambiqués qu’ils coûtent parfois 2 ou 3 heures de plus en kérosène et en temps, c’est absurde. Quant aux émissions de CO2, le transport aérien est certes responsable, mais il faut remettre l’église au milieu du village. Au niveau mondial, cela représente 2,5% des émissions et les compagnies font des efforts en permanence afin de réduire ces émissions. Enfin, il y a toutes ces taxes qui alourdissent le prix du billet d’avion. Il faut être conscient que tous les passagers ne sont pas riches ! Il en existe une grande majorité, comme la diaspora mauricienne par exemple, qui a besoin de voyager ! Surtout que l’utilisation de toutes ces taxes ne règlent en rien le problème des émissions carbone. Quant au transport ferroviaire… Je finirais par une phase du Dr Albert Plesman, le fondateur de KLM qui disait : « L’océan des airs uni tous les peuples ! » J’y crois.

OD

J'aime/Je n'aime pas

En Laponie finlandaise, le Père Noël est privé de neige mais les touristes affluent

Posted on 28 novembre 202428 novembre 2024
By Laurent Guéna

Rovaniemi, village de l’Arctique que le marketing touristique finlandais vend depuis les années 1980 comme la « vraie patrie » du Père Noël, devrait être tout blanc en cette fin novembre. Au lieu de cela, le thermomètre affiche +2°C et la pluie tombe dru dans le ciel gris. Pourtant, malgré un ciel maussade, le bureau de poste du Père Noël est en pleine effervescence, les lutins à la tête rouge s’affairant à tamponner les cartes et à trier les piles de lettres. « Nous mettrions de la neige partout si nous le pouvions. Mais nous ne sommes que des lutins postaux », lance l’un d’eux. Et sans doute ne croit-il déjà plus au Père Noël.

LG

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Destinations

Drôle d’époque

Posted on 28 novembre 202428 novembre 2024
By Nicolas Barbéry

Pour faire face au manque de lait de vaches en Indonésie, une entreprise a mis sur le marché du lait de poisson. Dans la ville côtière d’Indramayu, les pêcheurs livrent deux fois par jour des poissons côtiers à une usine. Ils y sont désossés, décomposés, séchés et réduits en une poudre blanche riche en protéines. Cette poudre est ensuite mélangée à de l’arôme de fraise ou de chocolat et à du sucre, puis mise en boîte pour être vendue. Il suffit ensuite d’y rajouter un peu d’eau, et vous avez du bon lait de poisson. Mais le ministre de la Santé, Budi Gunadi Sadikin, est dubitatif. Il préfère le lait de vaches : « Nous pouvons élever des vaches, nous pouvons importer du lait d’Australie, nous pouvons même racheter une entreprise australienne de vaches ou de lait. » Il conclut : « Il existe de très nombreuses options à mettre en œuvre avant de traire le poisson ». Si on comprend bien, plutôt que les traites de poisson, il préfère payer des traites.

NB

Drôle d'époque
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