La pénurie de travailleurs qualifiés dans le tourisme après la pandémie se poursuit. Sybille Reiß, directrice des ressources humaines de TUI, explique comment l’entreprise tente d’y faire face. « Le lieu de travail de TUI peut être en Crète, dans l’un de nos avions, mais aussi dans l’une de nos agences de voyages ou dans l’un des sièges sociaux d’un voyagiste. En plus de cette diversité, nous bénéficions de notre marque forte. Mais c’est compliqué : nous recevons trois candidatures pour certaines offres d’emploi, et des milliers pour d’autres. » L’objectif est donc de rendre l’entreprise globalement attrayante : « Nous proposons plus de flexibilité en termes de lieu de travail et d’horaires, avec une culture des résultats au lieu d’une présence fixe. » Elle ajoute : « Le tourisme offre des perspectives passionnantes pour façonner la transformation durable des voyages. » Un argument qui doit faire mouche chez ceux qui sont en quête de sens.
NB