Les autocaristes peinent à remplir les véhicules. « Avant le covid on complétait un car de cinquante-trois places sans problème », se souvient Valentin Dodin, gérant de Dodin Voyages. A la crainte d’une contamination au covid, toujours prégnante, s’ajoute l’inflation. « Un voyage que l’on proposait à 500 euros est aujourd’hui à 700 euros. » Pour essayer d’atténuer ce coût, Dodin voyages a mis en place des dispositifs afin de « faciliter les paiements » et essaye de « trouver des astuces d’hébergement pour que ce soit moins cher ». Mais c’est bien compliqué : « Au sortir du covid les repas coûtaient entre 15 et 20 euros. Aujourd’hui, ils ne sont pas à moins de 35 euros. » On pourrait supprimer l’apéro, mais gare aux litiges.
LG