Selon Manon Martel, présidente de l’Association canadienne des agences de voyages (ACTA), la pandémie aura permis à l’industrie des agences de voyages, reçoivent désormais beaucoup de demandes, de reprendre du galon : « La reprise compliquée du tourisme a valorisé leurs services. » Elle en est persuadée : « on n’est pas près de disparaître, je peux vous l’assurer. On est une industrie très résiliente. » Par ailleurs, « les gens ont réalisé durant la pandémie que, s’ils avaient un voyage de rêve à faire avec leur famille, ils ne devaient plus attendre ». Et surtout, en cas de difficultés, martèle-t-elle, ils savent « qu’ils auront toujours un être humain au bout de la ligne et non pas une machine ou un clavardage ». En bon français, un bot.
LG