Les hôteliers français peuvent souffler : « La première semaine de la Toussaint est morose » mais, « petit à petit, les réservations reprennent » à mesure que la situation s’améliore au niveau de l’approvisionnement de carburants, a assuré Laurent Duc, président de l’Umih. Ilplace « de grands espoirs » sur la 2e semaine avec le pont du 1er novembre. L’hôtellerie, qui « vient de passer deux années terribles » en raison de la crise sanitaire, qui « souffre du télétravail » et qui fait face à la « concurrence effrénée de meublés touristiques », subit « de plein fouet » les conséquences du mouvement social dans les raffineries, a-t-il ajouté.
LG