
En ce mardi morose, deux pensées aussi profondes (ça arrive) l’une que l’autre. En premier lieu, on en revient au surtourisme (chez la maire Hidalgo, c’est plutôt le surmulot) dans certaines îles grecques, lesquelles veulent désormais taxer les « touristes d’un jour », à l’image de Venise. Parmi ces îles, les plus connues : Santorin, Mykonos, et d’autres toutes aussi célèbres. La faute aux croisiéristes qui déversent chaque jour des milliers de visiteurs ? Par Zeus et tout l’Olympe, il me semble que d’une part les MSC, Costa et autres paquebots payent des droits de mouillage plutôt conséquents, et que ces fameux « résidents d’un jour » ne se privent pas de fréquenter les établissements desdites îles. Faut choisir : on ne peut pas avoir le beurre… vous connaissez la suite ! En même temps, quand y’a pas de taxe, y’a pas de plaisir. L’autre pensée, très profonde celle-là (et qui me pousse à une ire extrême), concerne cette compagnie aérienne chargée de transporter un chien depuis Buenos Aires jusqu’à Burgos… et qui a réussi à le perdre. L’animal, paraît-il, avait peur en avion et a préféré se faire la malle ! Résultat : le propriétaire sera indemnisé au tarif d’une valise perdue… alors que le billet du chien n’était pas donné. La Cour européenne de justice a, elle aussi, considéré le chien comme un simple bagage. Caramba ! Sam, mon voyou de chien, en est outré.
OD