Catégorie : Location de voitures

Cet été encore, la France restera la destination la plus chère d’Europe pour louer une voiture, selon le comparateur Carigami. Si les tarifs reculent (319 € la semaine en moyenne contre 331 € en 2023 et 524 € en 2022), ils restent bien au-dessus des niveaux observés au Portugal (172 €), en Espagne (195 €) ou en Grèce (224 €). Nice devient la ville la plus onéreuse (378 €), devant Biarritz (365 €) et Bordeaux (346 €), malgré une baisse marquée des prix sur la côte Atlantique. Lille, Brest et Mulhouse restent les villes les plus abordables. En Corse, la flambée semble terminée : Ajaccio et Bastia passent sous la moyenne nationale. Pour contourner les tarifs élevés, des alternatives se développent : les enseignes comme Leclerc, Carrefour ou Intermarché, ou les plateformes entre particuliers (Turo, Getaround) offrent des options souvent 20 à 30 % moins chères. Avec une demande déjà en hausse (+8 % en un an), les experts recommandent de réserver sans tarder. Heureusement, le prix du sans-plomb est encore loin des deux euros que ces mêmes experts nous promettent depuis 15 ans.

LG

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D’après une étude d’Amex GBT, « le secteur mondial de la location de voitures semble se stabiliser après plus de trois années de volatilité qui ont vu de fortes augmentations de prix et d’importants problèmes de chaîne d’approvisionnement ». En conséquence, la hausse des prix des voitures devrait se modérer au cours des 12 prochains mois dans la plupart des régions, prédit le rapport. Aux États-Unis, les tarifs de location de voitures devraient augmenter de 2,5% d’ici mars 2025. De 3,4% au Canada, de 1% au Brésil et de 10% au Chili. En Europe, ils devraient également augmenter dans de nombreuses destinations d’affaires clés, en Allemagne (5%) et au Royaume-Uni (6%). En France, la hausse devrait se situer entre 3 et 4% pour les petits véhicules, avec une baisse pouvant atteindre 15% pour les catégories haut de gamme en raison d’une demande moindre. Avec l’augmentation annuelle de 2,8% de la production automobile mondiale, il n’y a plus de problèmes de stocks de voitures. Leurs prix baissants, la pression sur les coûts pour les sociétés de location de voitures se fait moins forte. CQFD.

NB

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Arrivé aux commandes de Hertz il y a tout juste deux ans, Stephen Scherr a présenté sa démission. Il avait pour ambition de faire des étincelles en misant quasi-exclusivement sur l’acquisition de véhicules 100% électriques. Le loueur a ainsi rapidement annoncé sa volonté de s’équiper de 100.000 Tesla mais aussi d’une importante flotte de modèles issus du catalogue Polestar. Autant de véhicules qui n’ont pas rencontré le succès escompté auprès de la clientèle et qui coûtent cher à entretenir et réparer. Ce qui conduit Hertz à s’en séparer prématurément et à perdre de l’argent… ce qui est rarement du goût des fonds d’investissement. 

LG

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