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Le tourisme dans le monde vu par la presse, en un clin d'oeil

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Catégorie : Environnement

Achat de voyages : le prix prime sur la durabilité

Posted on 23 janvier 202523 janvier 2025
By Nicolas Barbéry

Alors que la prise de conscience environnementale grandit, les habitudes de consommation dans le secteur du voyage évoluent-elles réellement ? Dans le cadre du Fitur de Madrid, le World Travel & Tourism Council (WTTC) a présenté un rapport sur « l’écart critique entre le désir des voyageurs pour des options durables et leur comportement réel ». Cette étude repose sur une enquête menée auprès de plus de 10.000 touristes à travers le monde, classant les voyageurs en six segments de consommateurs, allant des « optimistes inquiets » soucieux de l’environnement aux « climatosceptiques » désengagés. Il ressort principalement de cette étude que le prix et la qualité d’un voyage restent les priorités dominantes des touristes, quel que soit le segment. Plus de 50% des sondés considèrent le prix comme le facteur déterminant dans leurs décisions d’achat, et environ 30% privilégient la qualité. En revanche, la durabilité n’est un critère décisif que pour une petite minorité, oscillant entre 7% et 11%, même parmi les groupes les plus préoccupés par l’environnement. Le développement durable, serait-il un problème de riches ?

NB

Pour en savoir davantage, c’est ici

Environnement

Émissions de CO2 : Radisson passe à l’action

Posted on 13 janvier 202513 janvier 2025
By Nicolas Barbéry

L’année 2024 a été la plus chaude jamais enregistrée, ont successivement confirmé les Nations Unies, la Commission européenne et la Nasa. Malgré les efforts et engagements croissants du secteur du tourisme, l’Onu Tourisme prévoit une augmentation de 25% des émissions de CO2 liées à notre industrie d’ici 2030. Un constat alarmant, d’autant que, selon une étude récente du World Travel and Tourism Council, le tourisme représente entre 8 et 9 % des émissions mondiales annuelles. « Ce constat est préoccupant, mais il doit surtout nous inciter à agir », affirme Inge Huijbrechts, responsable du développement durable chez Radisson Hotel Group. Le groupe, qui exploite plus de 1.500 hôtels dans plus de 90 pays, a annoncé son ambition de réduire ses émissions de 90% d’ici 2030. Plutôt que de recourir à la compensation carbone – souvent critiquée pour son manque de transparence – Radisson privilégie l’investissement dans les technologies et les projets de suppression des émissions. Une stratégie qui commence déjà à porter ses fruits. « Aujourd’hui, environ 80 hôtels du groupe fonctionnent à 100% avec de l’énergie renouvelable, et l’intensité des émissions de l’ensemble de notre parc hôtelier a diminué depuis 2019 », précise Inge Huijbrechts. Le défi reste immense, mais comme le dit l’adage, Rome ne s’est pas fait en un jour.

NB

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Environnement

Bali victime de la « pire » pollution plastique connue sur ses plages

Posted on 7 janvier 20257 janvier 2025
By Laurent Guéna

Des centaines de bénévoles ont participé le week-end dernier à un grand nettoyage de plages à Bali. L’ONG environnementale Sungai Watch a qualifié ces échouages de déchets de « pire » pollution plastique connue sur le littoral balinais. A Kedonganan, dans le sud de l’île, des gobelets en plastique, des pailles, des couverts et des sachets de café vides sont régulièrement éparpillés sur le sable, mêlés à des débris végétaux. Environ 600 bénévoles, notamment des habitants de la zone, des travailleurs de l’hôtellerie et des touristes, ont bravé une matinée pluvieuse pour ramasser les déchets à la main, remplissant des centaines de grands sacs. L’Indonésie est l’un des plus grands contributeurs mondiaux de pollution plastique et de débris marins, en particulier lorsque les pluies de la mousson et les vents charrient des montagnes de déchets depuis les régions urbaines et les rivières jusqu’à l’océan.

LG

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Environnement

Plus on est riche, plus on voyage, plus on émet de CO2

Posted on 18 décembre 202418 décembre 2024
By Nicolas Barbéry

Selon une étude récente de l’Université australienne du Queensland, les émissions de CO2 du tourisme ont presque doublé entre 2009 et 2019. Les résultats montrent que les émissions mondiales du tourisme ont augmenté de 3,5% par an entre 2009 et 2019, contre 1,5% pour l’économie mondiale. Les émissions de CO2 de l’industrie du tourisme sont passées de 3,7 à 5,2 milliards de tonnes au cours de cette période. En 2019, le tourisme a contribué à 8,8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, les dépenses consacrées aux voyages touristiques étant passées de 3.500 milliards de dollars à 6.000 milliards de dollars. L’augmentation du tourisme intérieur dans trois pays – les États-Unis, la Chine et l’Inde – est le principal contributeur à l’augmentation absolue des émissions durant cette période. En 2020, grâce à la pandémie, les restrictions sur les voyages internationaux et la réduction du tourisme intérieur ont entraîné une baisse des émissions touristiques mondiales à 2,2 milliards de tonnes d’équivalent CO2 en un an. Une autre étude publiée dans Nature Communications, tout aussi frappante, nous apprend que les riches du monde entier émettent 100 fois plus de CO2 que les pauvres, simplement parce que les riches voyagent, et les pauvres, non. Les auteurs du rapport attribuent cette « immense inégalité » principalement aux différents niveaux de prospérité économique : « Les habitants des pays riches sont plus susceptibles de voyager à l’étranger et de se livrer à des activités à forte intensité de carbone, comme les vols long-courriers. Dans les pays plus pauvres, les ressources financières limitées signifient que les voyages, en particulier le tourisme de longue distance, sont hors de portée de la plupart des gens, ce qui se traduit par des émissions par habitant négligeables. » En résumé : plus on est riche, plus on voyage, plus on émet de CO2. Il fallait au moins deux bonnes études pour en être sûr !

NB

En lire davantage sur le site de l’université de Queensland

Environnement

Les émissions de gaz à effet de serre liées au tourisme ne cessent de progresser

Posted on 11 décembre 202411 décembre 2024
By Laurent Guéna

En 2019, le tourisme a contribué à hauteur de 8,8 % aux émissions mondiales de gaz à effet de serre, avec une augmentation de 3,5 % par an entre 2009 et 2019, soit une progression deux fois plus rapide que les émissions de l’économie mondiale (+1,5 %), révèle une étude publiée dans Nature Communications. L’empreinte carbone touristique, évaluée à 5,2 gigatonnes (Gt) de CO2, provient majoritairement de l’aviation (52 % des émissions directes), suivie du transport routier (18 %). Les chercheurs avertissent que, sans changements drastiques, les émissions du tourisme pourraient continuer à croître de 3 à 4 % par an. L’aviation est qualifiée de « talon d’Achille » malgré les efforts de l’industrie. Et, pourtant, selon les projections, on ne va jamais autant prendre l’avion que dans les années à venir.

LG

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Environnement

Le WTTC appelle à protéger le tourisme côtier et marin du changement climatique

Posted on 22 novembre 202422 novembre 2024
By Nicolas Barbéry

Lors de la Journée d’action pour les océans de la Cop29 à Bakou, le World travel and tourism council (WTTC) a appelé à « un investissement climatique urgent pour protéger le tourisme côtier et marin « . Le WTTC estime que pour y parvenir, il faudrait « des investissements annuels de 30 milliards de dollars pour la réduction directe des émissions, avec des besoins totaux atteignant jusqu’à 65 milliards de dollars si l’on inclut les efforts d’adaptation au climat ». Rappelons qu’en 2023, toujours selon le WTTC, le tourisme côtier et marin aurait généré directement 1.500 milliards de dollars de recettes et soutenu 52 millions d’emplois dans le monde. Il aurait également représenté environ 50% des dépenses totales des touristes dans le monde. Julia Simpson, présidente du WTTC, « compte tenu de la valeur économique et sociale du tourisme côtier », appelle « les gouvernements, les organisations de développement et les entreprises de voyage et de tourisme à agir maintenant pour préserver ces ressources naturelles vitales. » Il n’y a plus qu’à se retrousser les manches.

NB

En lire davantage sur le site du WTTC

Environnement

La Suisse travaille déjà sur « l’après-ski »

Posted on 14 novembre 202414 novembre 2024
By Laurent Guéna

L’association des remontées mécaniques suisses s’attend à une nette diminution du manteau neigeux d’ici 2050 et se met en quête de solutions face au réchauffement climatique, qui menace la pérennité des stations de ski les moins élevées. Cette organisation professionnelle a publié mercredi une fiche d’information qui fait le point sur les scénarios climatiques. La conclusion est sans appel : à l’avenir, il faudra faire « 300 mètres plus haut ce qui fonctionne aujourd’hui ». A court terme, les stations de basse et moyenne altitude s’adaptent déjà en élargissent leur offre « en dehors des pistes », avec des activités comme « le golf d’hiver » ou « le snowkite » ou encore en « renforçant leur offre en été ». Mais l’association lance également un projet avec d’autres acteurs du secteur, qui « doit fournir une boussole pour les sports de neige ». Pour info, en France, le déficit de neige était remarquable en début de semaine. Mais le temps change vite en montagne.

LG

En lire davantage sur le site d’Arc Info

Environnement

António Guterres appelle à taxer les transports aériens et maritimes

Posted on 13 novembre 202413 novembre 2024
By Nicolas Barbéry

Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a appelé les pays riches à faire preuve de « justice climatique » face aux fréquentes catastrophes météorologiques. « Les riches sont à l’origine du problème, les pauvres paient le prix le plus élevé », a déclaré António Guterres lors de la Conférence mondiale sur le changement climatique à Bakou. Comme à son habitude, il en a profité pour prodiguer ses recommandations : « Les chefs de gouvernement doivent imposer des taxes sur l’aviation et le transport maritime, ainsi que sur la promotion des énergies fossiles. » Ces revenus devraient contribuer à accroître le financement climatique dans les pays en développement. Cependant, il y avait peu de monde pour écouter son discours : de nombreux chefs d’État se sont fait représenter. Et ces représentants ne se sont pas bousculés pour écouter le secrétaire général. Il y a du scepticisme dans l’air. Comme pour le futur président des Etats-Unis, Donald Trump, qui a même qualifié le changement climatique « d’escroquerie » et a déjà annoncé l’expansion de la production pétrolière et gazière aux États-Unis avec le slogan « Drill baby, drill ». Quant à Ilham Aliyev, le président de l’Azerbaïdjan, pays hôte de la Cop29, il a rappelé que « les réserves de pétrole et de gaz de l’Azerbaïdjan sont un don de Dieu. Aucun pays ne devrait être accusé de les posséder et de les mettre sur le marché. Parce que le marché en a besoin, les gens en ont besoin. » António Guterres crie, la caravane passe.

NB

En lire davantage sur le site de Die Welt

Environnement

Le tourisme au cœur de la Cop29

Posted on 12 novembre 202412 novembre 2024
By Nicolas Barbéry

Le tourisme s’invite à la conférence sur le climat (Cop29), qui s’est ouverte hier en Azerbaïdjan, à Bakou. La place du tourisme dans l’action climatique mondiale sera en effet au cœur des débats le 20 novembre, avec pour la première fois une réunion des ministres du Tourisme du monde entier. Elle sera suivie de tables rondes thématiques sur la décarbonation, la régénération, le financement et les solutions innovantes. Ce jour-là, Antonio Guterres, secrétaire général de l’Onu, et Zurab Pololikashvili, secrétaire général de l’OMT, devraient lancer la Déclaration de Bakou sur l’action climatique dans le tourisme. Il s’agit d’un « appel à l’action pour explorer l’inclusion des contributions des administrations nationales du tourisme, le cas échéant, à l’élaboration et à la réalisation de la prochaine série de contributions déterminées au niveau national (CDN) à l’Accord de Paris et pour renforcer l’intégration de l’action climatique dans les politiques touristiques ». En clair, le tourisme doit devenir propre et durable. Les représentants des gouvernements devront non seulement approuver cette Déclaration mais aussi présenter leurs plans pour relier les efforts faits par le secteur du tourisme aux objectifs climatiques nationaux et mondiaux fixés par l’Onu… Prudence, les cerveaux des ministres du Tourisme vont surchauffer !

NB

En lire davantage sur le site de l’OMT

Environnement

GreenGo veut déployer des voyages responsables « clés en main »

Posted on 24 octobre 202424 octobre 2024
By Laurent Guéna

GreenGo, plateforme de réservation d’hébergements éco-responsables en France, souhaite développer un nouveau moteur de recherche qui organise des voyages clé en main, dans une optique de minimiser les émissions de gaz à effet de serre du secteur. Pour y parvenir, GreenGo vient de lever 2,5 millions d’euros. Baptisé GreenGo Explore, déjà déployé en phase de test, permet en quelques clics de trouver des vacances comprenant transport, logement et activités sur place, avec un impact environnemental le moins élevé possible. « Nous nous sommes d’abord développés comme une plateforme de réservation de logements, car c’est ce qui fait rêver le plus, et qui était le plus à même de nous faire connaître. Mais notre ambition était dès le départ d’aller beaucoup plus loin », raconte Guillaume Jouffre, cofondateur de la start-up. GreenGo Explore donne la possibilité aux utilisateurs de décrire simplement leurs envies de voyages, le temps de trajet maximal souhaité et le moyen de locomotion. Puis, le moteur de recherche fait plusieurs propositions clé en main, les plus respectueuses possibles de l’environnement. Sur son site, la plateforme annonce d’emblée la couleur : « Avouons-le : l’avion, c’est pas folichon ». Certes, mais c’est bien pratique quand même.

LG

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