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Le tourisme dans le monde vu par la presse, en un clin d'oeil

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Auteur/autrice : Oncle Dom

Zéro émission nette : l’alerte des compagnies aériennes

Posted on 4 avril 20254 avril 2025
By Oncle Dom

Les compagnies aériennes mondiales tirent la sonnette d’alarme : l’objectif de neutralité carbone d’ici 2050 est en péril. Willie Walsh, directeur général de Iata, accuse les autres acteurs du secteur – pétroliers, aéroports, constructeurs, contrôle aérien – de freiner les efforts, notamment sur le carburant d’aviation durable (SAF). Initialement portées par un « consensus fondamental », les ambitions climatiques du secteur se heurtent à une réalité économique : les compagnies aériennes affirment supporter seules le poids financier de la transition. Walsh évoque même une possible remise en question de l’objectif lors de la prochaine réunion de Iata en juin. Il critique particulièrement les compagnies pétrolières pour leur manque d’action sur le SAF, les retards dans les livraisons d’avions, ainsi que l’immobilisme dans la réforme de l’espace aérien. Les autres parties prenantes, elles, rejettent ces accusations, affirmant faire leur part. Résultat : sans mobilisation collective, la trajectoire vers le zéro carbone paraît de plus en plus compromise.

OD

En lire davantage sur le site de Reuters

Transport

J’aime / Je n’aime pas … par Emilie Dumont

Posted on 3 avril 20253 avril 2025
By Oncle Dom

Elle est toute fine, toute légère, toute discrète, toute souriante. Émilie Dumont est une de ces femmes du tourisme que l’on aime rencontrer. Les deux complices, Carlos Da Silva et Nicolas Brumelot, ne s’y sont pas trompés en confiant la direction générale de MisterFly à cette jeune femme aux yeux clairs…

J’aime👍

« J’aime nos équipes, leur implication, leurs idées. J’admire particulièrement la résilience des équipes du service client, qui sont souvent confrontées à la colère de clients ou doivent chercher des solutions à des problèmes qu’on ne maîtrise pas toujours. Il faut quand même une sacrée résilience.

J’en parlais récemment avec une personne du service client, et c’est vrai que c’est un sacré métier d’être agent de voyage, de devoir gérer, trouver des solutions, et parfois subir une colère que l’on comprend lorsqu’on se met à la place du voyageur, mais qui ne facilite pas toujours les choses. Je trouve que cette résilience est belle et inspirante.

Parmi mes coups de cœur récents, j’aime les managers créatifs, les gens responsables qui viennent te voir avec des solutions et des initiatives concrètes qu’ils mettent en œuvre. C’est agréable, ça fait du bien et c’est vraiment motivant.

J’aime, dans notre secteur, tous ces moments de partage et de joie. Je trouve qu’il existe un véritable sens de l’hospitalité et une volonté de créer des occasions agréables, des moments humains et chaleureux. C’est extrêmement appréciable.

Enfin, pour parler un peu de notre actualité, j’aime particulièrement notre dernière innovation, qui s’appelle « Freeze ». C’est un service que nous venons de lancer et qui permet aux voyageurs de geler le tarif de leurs billets d’avion jusqu’à un an à l’avance. »

Je n’aime pas👎

« Je vais commencer par l’humain et les comportements : je n’aime pas les donneurs de leçons, ces gens moralisateurs et épuisants qui passent leur temps à pointer ce qui ne va pas dans le jardin de leur voisin mais qui se soucient très peu de ce qui se passe dans le leur. Je deviens de moins en moins patiente avec ce type de profil.

Je n’aime pas non plus les grèves et les fermetures d’aéroports. Bien sûr, je comprends totalement le principe du droit à la grève, qui est essentiel, mais lorsqu’une grève est utilisée comme une forme de prise d’otage pour des personnes impuissantes qui subissent la situation, je trouve qu’il y a là un véritable manque d’empathie collective, ce qui est vraiment désolant.

Dans l’actualité, je n’aime pas les allers-retours incessants sur la TSBA ou les pratiques ambiguës vis-à-vis de la licence de certaines compagnies aériennes. Tout cela entraîne encore plus de travail inutile, sans aucune valeur ajoutée, juste des complications supplémentaires et une incompréhension de la part des clients. Parfois, même si je comprends bien la complexité des décisions à prendre dans le monde actuel, je me dis qu’on manque parfois cruellement de pragmatisme.

Enfin, ce que je n’aime pas du tout en ce moment dans les actualités et sur les grands sujets sociétaux, ce sont ces deux phénomènes que je trouve particulièrement irritants : le flight bashing et le greenwashing. »

OD

J'aime/Je n'aime pas

Parce que c’est mardi, les pensées peu profondes d’OD

Posted on 1 avril 20251 avril 2025
By Oncle Dom

Étonnant. Chaque fois, c’est toujours avec un grand étonnement – teinté d’une légère couche d’amusement et d’un soupçon d’agacement – que je découvre le talent dont font preuve ces compagnies aériennes dites « à bas coûts ». Car n’oublions jamais que le terme « bas coûts » signifie essentiellement moindres frais d’exploitation pour… la compagnie. Le passager, au bout du bout, finit toujours par payer quasi un tarif normal. Mais si on peut l’arnaquer en l’amusant, pourquoi se priver ? Je reste très admiratif du talent et de l’imagination dont font preuve les directeurs marketing pour prendre les passagers pour des jambons. Ainsi, c’est au tour de Ryanair de proposer à ses passagers un abonnement Prime, façon Amazon. Pour 79€ par an, le passager aura le choix – encore que je n’aie pas très bien compris – entre un tarif moins cher, une assurance (dont il faudra lire les conditions avec une loupe et un avocat) ou encore le droit de choisir son siège gratuitement ! Damned ! Selon cette prestigieuse compagnie, dirigée non moins prestigieusement par l’Irlandais O’Leary, « si vous aimez voyager régulièrement tout en économisant de l’argent, Ryanair Prime est un choix incontournable ». Le fin du fin : cette proposition est valable « sur toutes les compagnies du groupe Ryanair », dont j’ignorais totalement l’existence. Le groupe, pas la compagnie. Je ne suis pas encore complètement ermite. Mon petit-fils, étudiant à Toulouse, avait été tenté par une autre sorte d’abonnement vendu par Wizz Air, qui promettait de pouvoir consommer autant de vols que souhaité. Pas de bol : il y a tellement de contraintes que ça ne marche pas. Une belle promesse marketing, en somme. Dans la même veine, on a Transavia qui fait payer 30 euros si on dépasse de trois minutes l’heure d’embarquement. De quoi transformer un petit retard en grande colère. Mais la palme revient à cette compagnie qui fait payer les bagages cabine ! Cette jeune étudiante, qui embarquait avec une simple gourde en aluminium, s’est vue taxée pour « port d’un second bagage à main ». Authentique, par le Grand Caramba !

OD

Les pensées peu profondes d'OD

J’aime/Je n’aime pas… par Annick Pellerin

Posted on 27 mars 202527 mars 2025
By Oncle Dom

« Madame Air France ». C’est ainsi que nous l’avions affectueusement surnommée : une femme au regard clair, à l’allure déterminée, mais à la voix incroyablement douce. Directrice des ventes tourisme chez Air France, respectée par l’ensemble de la profession, elle a choisi de prendre une autre voie. Très investie dans les enjeux environnementaux, elle a toujours porté une attention particulière au partenariat entre Air France et l’association A Tree for You. Annick Pellerin est une grande dame, et nous sommes fiers d’avoir croisé son chemin.

Je n’aime pas

« Je n’aime pas que l’intelligence artificielle générative menace certains emplois.

Je n’aime pas qu’une simple recherche sur ChatGPT, Gemini ou d’autres outils consomme deux fois plus d’énergie qu’une requête Google.

Je n’aime pas non plus que de puissants industriels américains envisagent de construire des centrales nucléaires uniquement pour alimenter d’immenses centres de données.

Je n’aime pas que le pouvoir et l’argent soient encore, trop souvent, sources de destruction dans tant de domaines.

Je n’aime pas la direction que prend le monde…

Avons-nous vraiment tiré les leçons de notre histoire ?

Je n’aime pas l’hypocrisie, surtout en politique, ni les éternels râleurs qui ne font que critiquer.

Je rejette cette culture du politiquement correct dans le monde professionnel, le manque de civisme, la malhonnêteté intellectuelle, la fourberie et la cupidité. »

J’aime

« À l’inverse, j’aime quand l’IA permet d’accélérer la recherche, d’assister les humains, de faire gagner un temps précieux — à condition de l’utiliser avec conscience et dans le respect de notre planète.

J’aime quand les périodes anxiogènes deviennent des leviers de réflexion, d’union, et qu’elles rassemblent pour construire un avenir meilleur pour nos enfants.

J’aime la richesse de l’intergénérationnel : transmettre, apprendre des autres, briser les clivages entre jeunes et seniors, et créer de la valeur ensemble, pour le bien commun.

J’aime les personnes structurées mais pleines de fantaisie.

Celles qui osent, testent, sortent des sentiers battus, et nourrissent leur curiosité.

J’aime voyager, découvrir de nouvelles cultures, m’en imprégner — un grand bravo au passage aux professionnels du tourisme qui rendent tout cela possible.

J’aime la bienveillance, l’enthousiasme, l’élan de vie…

J’aime la vie, tout simplement, parce qu’elle est courte — et pleine de surprises. »

OD

J'aime/Je n'aime pas

Parce que c’est mardi, les pensées peu profondes d’OD

Posted on 25 mars 202525 mars 2025
By Oncle Dom

« Cris, tambours et marches de guerre, envahissent toute la terre ». Si ma mémoire – étonnante par intermittence – ne me trompe pas, c’est le début d’une chanson de Julien Clerc, dont la voix s’apparente parfois à celle d’une chèvre enrhumée, et qui doit dater des années 70. Digression me direz-vous ? Pas tant que ça. Bruits de tambours, donc ? Plus ça va, plus j’entends des annonces non seulement belliqueuses mais franchement angoissantes. Réarmement, ce mot circule du nord au sud, de l’est à l’ouest de la planète, comme un vieux tube qu’on aurait préféré oublier. Bombardements sur des civils, Ukrainiens qui n’ont rien demandé à personne, c’est devenu la routine du matin, à l’heure où, dans nos contrées paisibles, on trempe sa tartine dans un café tiède pendant que les gamins râlent parce qu’il faut aller à l’école.

Bon, je ne vais pas vous faire un topo géopolitique, tout le monde a compris l’ambiance. Et pourtant, dans notre secteur à nous, le tourisme, tout continue comme si de rien n’était. Univairmer se casse la figure. Ce qui, entre nous soit dit, n’est pas une grande surprise – à croire qu’ils vendaient des billets pour le Titanic version low-cost. Le trafic aérien, lui, poursuit son expansion malgré les avertissements de Jean-Marc Jancovici (qui, pour rappel, prédit la fin du monde une fois par trimestre, avec ou sans slides). Les réseaux de distribution ne se plaignent pas. Trump continue à se prendre pour le clown mondial – avec option nez rouge permanent – et rêve désormais de s’emparer non seulement du Canada, mais aussi du Groenland. Tabernacle ! Heureusement, Jean-François Rial veut planter des milliards d’arbres. C’est beau. C’est noble. C’est vert. Bon, on espère juste qu’il a pensé à prendre une pelle. Bref, alors que le chaos s’organise doucement façon Ikea (on ne comprend rien, mais on le fait quand même), le tourisme, lui, se porte comme un charme. Laurent Abitbol n’envisage-t-il pas un nouveau rachat ? Les mauvaises langues diront que c’est compulsif, moi je dis : il aime les défis, c’est tout. Et puis il y a les voyous du métier – oui, vous avez bien lu -, ceux qui n’ont pas d’états d’âme, mais un portefeuille bien garni. Il y en a un qui se reconnaîtra, j’en suis sûr. En revanche, les vrais fondateurs, les vrais pros, eux, tiennent la baraque. Et ça, ça mérite au moins un clin d’œil. Aujourd’hui pourtant, ce n’est pas drôle. De Gaulle avait écrit Mémoires d’espoir. J’aimerais y croire. Mais malgré un esprit plutôt optimiste (et parfois un peu naïf), je crois qu’un petit anxiolytique ne me ferait pas de mal.

OD

Les pensées peu profondes d'OD

Iata nous vend du CO2 allégé…

Posted on 21 mars 202521 mars 2025
By Oncle Dom

Ah ! le CO2, cette brume invisible qui plane sur nos consciences dès qu’on monte dans un avion. Pas de panique, Iata a trouvé la parade : CO2 Connect, une calculatrice carbone dernier cri qui, magie du marketing vert, réduit l’empreinte carbone affichée grâce au SAF (carburant d’aviation durable). Mieux encore, tous les passagers d’une compagnie profitent d’un rabais carbone collectif, et bientôt chaque vol aura son propre score vert. « Vous choisirez votre vol comme sur Tinder : celui-ci émet 15% de CO2 en moins… Swipe right ! » Frédéric Léger, responsable chez Iata, salue une avancée majeure pour les entreprises soucieuses de leur image RSE. Traduction : vous avez payé du carburant « vert » ? Voici le tampon écolo à afficher fièrement. Et ici, pas de « moyennes bidon » : on parle de données réelles transmises par les compagnies elles-mêmes (qu’on imagine 100% objectives, bien sûr). Avec l’arrivée de Corsair, Air Europa ou Air India dans la boucle, Iata perfectionne son outil. Le message est clair : on ne va pas moins voler, mais on va mieux le raconter. Le greenwashing prend l’avion en première classe, avec un calcul au gramme près pour apaiser nos scrupules. Bref, vous culpabilisez de prendre l’avion ? Respirez. Iata vous vend du CO2 allégé. Et demain, pourquoi pas des miles écolos ou un vol gratuit pour dix trajets « carbone optimisé » ?

OD

En lire davantage sur le site d’Iata

Transport

J’aime/Je n’aime pas… par Christine Crispin

Posted on 20 mars 2025
By Oncle Dom

Le regard vif, l’accent chantant du Sud et une présence qui irradie. Christine Crispin tient solidement la barre de Climats du Monde, tout en participant de plus en plus activement aux travaux des instances professionnelles. Une grande dame qui sourit lorsqu’on lui parle de la durée du travail à 35 heures par semaine. Pour elle, 35 heures, ce serait plutôt une grande journée !

Je n’aime pas👎

« L’absence de perception de la valeur ajoutée de l’agent de voyage. Certains agents hésitent à facturer leurs services dans un marché ultra-compétitif. Du coup, les clients peuvent ne pas réaliser la valeur du travail fourni, surtout si les services semblent être offerts.

L’uniformisation de l’offre, qui risque de détourner le client des agences de voyage. Il est incontestable que les bed-banks et les plateformes de voyage automatisées conduisent à une standardisation de l’offre, en mettant l’accent sur des options largement disponibles et souvent uniquement basées sur le prix. On peut comparer cela à la prolifération des boutiques de mode proposant les mêmes marques dans toutes les villes françaises. Tout comme les créateurs de mode proposent des produits uniques et personnalisés, les agences de voyage doivent se distinguer en offrant des expériences sur mesure et différenciées, sous peine de perdre leur clientèle. »

J’aime👍

« La résilience des agents de voyage. Ils ont su s’adapter à touts lese situations économiques, politiques ou climatiques, et même renforcer leur position auprès du public. En reprenant la comparaison avec la mode, de même que les boutiques de créateurs continuent d’offrir des produits exclusifs et personnalisés, les agences de voyage peuvent encore se démarquer en proposant des expériences sur mesure, uniques et authentiques. En mettant l’accent sur la personnalisation, l’originalité et le service client, elles peuvent séduire une clientèle à la recherche d’alternatives aux offres standardisées. Les agences de voyages et les tour-opérateurs spécialisés peuvent tirer leur épingle du jeu en concevant des itinéraires sur mesure, en facilitant l’accès à des destinations moins connues et en proposant des services répondant aux besoins spécifiques des voyageurs. Heureusement, il y aura toujours une demande pour des expériences de voyage uniques et personnalisées. Cela devrait également encourager une plus grande diversité dans le secteur du tourisme, tout comme les boutiques de créateurs enrichissent encore le paysage commercial de la mode. »

OD

J'aime/Je n'aime pas

Parce que c’est mardi, les pensées peu profondes d’OD

Posted on 18 mars 2025
By Oncle Dom

Il arrive, lorsque, par inadvertance, je consulte notre magnifique gazette quotidienne, qu’après avoir constaté la lamentabilité du Drôle d’époque du jour, je sois… étonné ! Tenez, cette information relatant le rififi (voir ici) qui oppose actuellement le patron d’Onu Tourisme à certains opposants. Bof, ai-je tendance à dire. Car, finalement, tout ceci n’est qu’incongruité. Transformer déjà cette Organisation mondiale du tourisme, laquelle n’a jamais servi à rien si ce n’est avoir eu, avant de le virer, un dirigeant français tellement incompétent que même quelques condisciples de l’Ena s’en étaient aperçus et le surnommaient La Buse. Digression amusante, mais pas vraiment utile, pas plus utile d’ailleurs que cet Onu Tourisme. Mon camarade Michel Durrieu aura beau défendre cet organisme, je persiste et signe : ça ne sert à rien, si ce n’est coûter de l’argent à la communauté mondiale. À preuve, plusieurs pays, non des moindres, ont quitté l’organisme, le jugeant « totalement inutile » ! Par le grand Caribou, le Canada, l’Irlande, la Norvège ou encore l’Australie font partie de ces pays. Pourtant, malgré son inutilité notoire, dans le contexte anxiogène du monde, on pourrait supposer qu’Onu Tourisme apporte une sorte d’apaisement vis-à-vis du tourisme. Je ne voudrais pas être négatif, mais quand on entend les déclarations de l’actuel Zulav qui dirige encore Onu Tourisme, on s’interroge : « Ce sont la paix et la sécurité qui nous permettent de donner corps à notre vision d’avenir. » La paix, l’avenir, je ne sais pas trop. En revanche, une chose est sûre : Zulav est drôle ! Allez zou, c’est tout pour cette semaine.

OD

Les pensées peu profondes d'OD

Lancement de la semaine des métiers du tourisme

Posted on 17 mars 202517 mars 2025
By Oncle Dom

Nathalie Delattre, ministre déléguée chargée du Tourisme, lance aujourd’hui la troisième édition de la Semaine des métiers du tourisme, du 17 au 23 mars, prolongée jusqu’au 30 mars à travers la France et jusqu’au 27 avril en Outre-Mer. Cet événement vise à promouvoir les carrières du secteur et les formations accessibles. Le secteur peine à recruter : 63.000 postes restaient vacants fin 2024, notamment dans l’hôtellerie-restauration. Nina Métayer, élue meilleure cheffe pâtissière du monde, est la marraine de cette édition. L’événement prend de l’ampleur avec 3.221 manifestations organisées en 2025, soit trois fois plus qu’il y a deux ans. Une carte interactive permet d’identifier les initiatives près de chez soi et de contacter les organisateurs directement. Nathalie Delattre effectuera également un tour de France pour promouvoir ces métiers du tourisme. C’est dire si l’enjeu est d’importance.

OD

Vie de la profession

Congrès 2025 des EdV : un événement prometteur à Taghazout

Posted on 14 mars 202514 mars 2025
By Oncle Dom

La parole à Valérie Boned, présidente des Entreprises du Voyage, qui nous partage les temps forts de son second congrès en tant que présidente du syndicat.

« Le congrès des Entreprises du Voyage se déroulera du 15 au 18 mai 2025 à Taghazout, une destination marocaine encore méconnue des professionnels mais offrant une infrastructure touristique complète. Accessible en trois heures depuis Paris via l’aéroport d’Agadir, ce choix répond à la volonté d’un événement à taille humaine, favorisant les échanges et le networking, dans la continuité du format adopté en 2024 à Val-d’Isère.

Le thème central s’inspire de la maxime : « Là où il y a une volonté, il y a un chemin », illustrant la force du collectif et la capacité du secteur à relever les défis en innovant. L’objectif est d’aborder des sujets concrets qui concernent directement les agences et les tour-opérateurs, avec un équilibre entre vision stratégique et problématiques quotidiennes.

Parmi les grandes thématiques, la croisière sera à l’honneur avec une réflexion sur son impact économique, au-delà des considérations environnementales. L’étude menée par la CLIA mettra en lumière son rôle dans le marché du voyage et les emplois qu’elle génère dans les ports d’escale comme Nice et Marseille. L’aérien sera également abordé sous l’angle de la valeur ajoutée des agences, notamment dans le voyage d’affaires.

On évoquera aussi la rémunération et le rôle des intermédiaires dans un secteur en mutation. Un autre sujet clé portera sur la distribution et la personnalisation de l’offre. L’enjeu est d’industrialiser la personnalisation des services tout en maintenant un modèle économique viable.

La transmission d’entreprises fera l’objet d’une plénière inédite, traitant de l’évaluation, des aspects fiscaux et sociaux, ainsi que des enjeux de transmission aux salariés ou à la famille. L’intelligence artificielle et la digitalisation seront également au programme, avec des ateliers animés par la commission digitale des EdV.

Côté géopolitique, Thierry Breton décryptera les grandes tendances internationales qui influent sur l’industrie du voyage. Le congrès accueillera également des figures inspirantes : Olivier Sadran (Newrest) partagera son expérience d’entrepreneur, Jean-François Rial présentera son livre et sa vision de la planète, tandis que Jean-Pierre Nadir abordera les enjeux de l’intelligence artificielle et de l’entrepreneuriat.

Dans un cadre propice aux discussions stratégiques et aux rencontres professionnelles, ce congrès s’annonce comme un moment fort pour le secteur. »

Inscriptions ouvertes sur le site des EdV

Vie de la profession

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