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Le tourisme dans le monde vu par la presse, en un clin d'oeil

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Auteur/autrice : Oncle Dom

J’aime/Je n’aime pas… par Hélène Abraham

Posted on 27 février 202527 février 2025
By Oncle Dom

Hélène Abraham fait partie de ces femmes, trop peu nombreuses, qui sont des figures dans le secteur du transport aérien français, tout en ayant débuté chez SAS. Puis, directrice générale de Transavia aux débuts de la compagnie low cost en France, elle participera ensuite largement à la création de Hop!, la filiale domestique d’Air France… Engagée indéfectiblement pour la défense de la biodiversité, elle participe avec constance, en tant que directrice générale, à l’avenir de l’association Aéro Biodiversité en compagnie de son éternel complice, Lionel Guérin…

J’aime👍

« J’aime la presse, qu’elle soit professionnelle ou généraliste. Je suis une lectrice de quotidiens et je commence souvent ma journée par ça.

J’aime la créativité et la passion des acteurs du tourisme et des loisirs, qu’ils soient en France ou à l’étranger.

J’aime la capacité de cette profession à rebondir face à toutes les crises, parce qu’après tout, on vit avec. Et sa capacité à en ressortir encore plus forte est impressionnante.

J’aime les hommes qui, professionnellement, savent s’entourer de femmes et leur faire confiance. Les nominations auprès de Philippe Pascal à Aéroport de Paris sont formidables.

J’aime l’engagement de nombreux hommes et femmes dans le monde associatif. Et tout ce que cela peut apporter comme valeur, comme aide, comme contribution. Comme Aéro Biodiversité, par exemple, qui permet une véritable prise de conscience. »

Je n’aime pas👎

« Je n’aime pas l’aveuglement de beaucoup d’hommes politiques vis-à-vis du déclin de la biodiversité dans le monde. Mais heureusement, de nombreux professionnels du monde aéronautique en France restent engagés depuis plusieurs années dans l’association Aéro Biodiversité, qui fête ses 10 ans d’existence cette année et qui n’existerait pas sans leur soutien actif.

Il est dommage que la Cop16 biodiversité peine à trouver des financements pour avancer sur ce qui fait l’avenir de nos générations futures.

Je n’aime pas la tendance actuelle à toujours plus d’individualisme au détriment d’une démarche collective et d’intérêt général.

Et puis, dernier point, je n’aime pas l’égoïsme et l’hypocrisie. » OD

J'aime/Je n'aime pas

Grèves jeudi et vendredi dans certains aéroports allemands

Posted on 26 février 202526 février 2025
By Oncle Dom

Lundi, les aéroports de Düsseldorf et de Cologne-Bonn ont connu de fortes perturbations en raison d’une grève d’avertissement de 24 heures menée par le syndicat allemand Verdi. À Cologne-Bonn, le mouvement a débuté dès dimanche soir et s’est traduit par l’annulation de plus d’une centaine de vols sur les 168 programmés. Du côté de Düsseldorf, la grève, commencée lundi à 15 heures, a entraîné l’annulation d’environ un tiers des 334 vols prévus. Ces grèves interviennent dans un contexte de négociations salariales difficiles dans le secteur public allemand. Verdi réclame une revalorisation des salaires à hauteur de 8%, assortie d’une hausse mensuelle minimum de 350 euros, ainsi que le versement de primes plus élevées pour des missions particulièrement éprouvantes et l’octroi de trois jours de congés supplémentaires. Jusqu’ici, aucun accord n’a pu être trouvé, mais un troisième cycle de discussions est prévu le 14 mars. Verdi a annoncé de nouvelles grèves pour demain et jeudi et vendredi.

OD

En lire davantage sur le site d’Air Journal

Transport

Parce que c’est mardi, les pensées peu profondes d’OD

Posted on 25 février 202525 février 2025
By Oncle Dom

Difficile, lorsque l’on est à la tête de l’un des plus gros voyagistes de France, pour ne pas dire d’Europe, de ne pas soutenir les voyages aériens, source, selon certains experts, d’émissions carboniques et, par conséquent, acteur majeur du réchauffement climatique. Pourtant, depuis des lustres, Jean-François Rial, président de Voyageurs du Monde, écologiste chevronné, est convaincu que « le chaos du réchauffement climatique n’est pas une fatalité ». Il vient de publier*, co-signé par Matthieu Belloir, un ouvrage aussi singulier (que notre éditeur à nous !), mais qui est loin d’être insignifiant. D’abord parce qu’il se lit très bien, fluide comme le soulignent les grands auteurs, et surtout parce que ce grand et doux rêveur de Rial présente des solutions… loin d’être idiotes. En clair, afin de veiller sur notre planète, il nous faut fabriquer du temps. Beaucoup de temps. Au moins dix ans, le temps de mettre en place de nouvelles techniques et de nouveaux produits peu carbonés. En attendant, il faut compenser, et quoi de mieux que de planter des arbres ? Beaucoup d’arbres. Des milliards d’arbres. C’est possible, expliquent les auteurs, il y a de la place. Ce n’est pas cher : environ 540 milliards de dollars, ce qui n’est qu’une misérable obole. Selon Rial, 0,25 % du PIB mondial. Même nous, tout seuls, avec notre petit budget qu’on n’a pas encore, on pourrait boiser tous seuls. D’autant que Donald, Kim et autres joyeux drilles s’en tapent férocement !

Le problème, c’est que la planète compte quelques centaines de pays et qu’il paraît très utopique de les réunir dans une sorte de Fédération universelle. J’ai eu beau lire le livre, je ne trouve pas le remède pour cette problématique…

Ainsi, non seulement la planète reprendrait des couleurs, mais le tourisme n’aurait pas honte de faire voyager les humains. Mais, si je peux me permettre, j’ai une suggestion pour mon pote Rial, lequel a au moins le courage de rester fidèle à ses convictions : il faut monter une véritable association contre la bêtise profonde.

À preuve, je viens de lire chez nos confrères de TourMag que le remarquable Jean Pinard, célèbre au sein de la galaxie du tourisme français, déclarait, péremptoire, et je cite : « Disons-le une fois pour toutes : le tourisme ne sera pas durable ! »

Cet homme est un grand visionnaire… Et lui, sa pensée est profonde.

OD

* Le chaos climatique n’est pas une fatalité, Éditions L’Archipel, 17,90 €. L’intégralité des droits est versée à l’association « A Tree for You »

Les pensées peu profondes d'OD, Non classé

Train ou avion : qui est le moins cher ?

Posted on 20 février 202520 février 2025
By Oncle Dom

Le débat entre train et avion est récurrent, notamment sur la question du prix. Si le train est plus écologique, l’avion, porté par les compagnies low cost, séduit par des tarifs très attractifs. Selon Greenpeace (2023), en France, un trajet en train coûte en moyenne 2,6 fois plus cher qu’un vol équivalent. Pour certaines destinations comme Londres ou Barcelone, l’écart peut être énorme. Pourtant, une analyse de l’UFC-Que Choisir (2021) montre que sur des trajets courts (moins de 2h30), le train peut être légèrement moins cher que l’avion. Sur les trajets longs, la différence s’atténue. Le train souffre d’une tarification opaque et fluctuante, et tandis que l’aviation bénéficie d’exonérations fiscales – pas de taxe sur le kérosène, pas de TVA sur les vols internationaux -, le rail doit payer d’importants droits de péage. Cependant, le prix bas de l’avion s’accompagne de contraintes : contrôles de sécurité, aéroports éloignés, coûts additionnels pour bagages et repas. Le train, lui, offre un accès direct aux centres-villes et un meilleur confort. Pourtant, les compagnies low cost ont imposé l’idée qu’un service minimal est acceptable tant que le prix est bas, un modèle que la SNCF peine à reproduire avec Ouigo. En fin de compte, le choix entre train et avion dépend des priorités : prix, rapidité, confort ou impact écologique ?

OD

En lire davantage sur le site de Ouest France

Transport

J’aime / Je n’aime pas … par Ghislaine Homond, présidente de Flash Voyages

Posted on 20 février 202520 février 2025
By Oncle Dom

Comment mieux donner une idée de la joie de vivre qu’en rencontrant Ghislaine Homond, Gigi comme on l’appelle. Avec son sourire à faire fondre Poutine lui-même, ce petit bout de femme a créé son agence en 1991, en pleine guerre du golfe. Et comme elle n’a peur de rien, elle est membre très active des Femmes du Tourisme, adhérente du réseau Cediv Travel et administratrice aux EDV Île-de-France…

J’aime👍

« Ce que j’aime en premier, c’est la sincérité et l’authenticité, qui sont forcément liées avec tout ce qui s’y rapporte comme la bienveillance et la spontanéité. Parce que, sans authenticité, je pars du principe que tout est faussé dès le départ. On commence sur de mauvaises bases relationnelles. Tout est faussé dès qu’on est faux, et à partir de ce moment-là, les cartes sont déjà tronquées, et cela ne finira forcément pas de la meilleure façon. À un moment donné, les masques tombent toujours, on le voit dans l’actualité chaque jour.

Tout le monde aura perdu du temps, et cela créera forcément de la colère et de la déception. C’est surtout ça que je n’aime pas, cela coûte trop en énergie. J’essaie de bien m’entourer et de vivre le plus possible avec des relations sincères, j’accepte d’être contredite même si des personnes disent des choses qui ne me plaisent pas. Être sincère et authentique et aimer la spontanéité, c’est accepter que l’autre n’ait pas la même opinion que vous. C’est la différence qui enrichit les relations humaines.

J’ai travaillé sur mes énergies et j’ai la chance de percevoir très rapidement le langage des âmes. »

Je n’aime pas👎

« Ce que je n’aime pas, c’est la fausseté, toutes ces personnes qui mettent des masques, qui jouent un jeu, ceux qui sont prêts à tout pour arriver à leur fin. J’associe cela au mensonge, à la tricherie, à la médiocrité. Je vomis la médiocrité. Cela ne veut pas dire que je déteste la simplicité, bien au contraire, ne pas confondre. La simplicité est quelque chose de loyal, la fausseté, c’est vraiment quelque chose qui me répugne au plus profond de mon être. Je fuis ce genre d’individu et si je suis obligée de les côtoyer, je me protège d’eux.  Heureusement que là aussi, je ressens très vite le danger. Mon intuition fait bien son job !

 C’est l’opposition entre authenticité et fausseté, entre ce que j’aime et ce que je déteste.

J’applique cette philosophie dans mes relations personnelles, c’est-à-dire familiales et amicales, et professionnelles.

A l’agence, avec les clients et mon personnel, il règne une atmosphère d’authenticité. Cela crée une ambiance particulière où les gens se sentent bien. Je mets l’Humain en premier plan, sinon je ne peux pas être heureuse.

Je ne suis pas là juste pour gagner de l’argent mais aussi pour transmettre du bonheur et de la joie de vivre.

Et puis ce que l’on pense de moi, les rumeurs, je m’en moque royalement, c’est leur problème pas le mien.

Chacun son chemin ! »

OD

J'aime/Je n'aime pas

Un spa de luxe en Turquie au cœur d’une controverse

Posted on 19 février 202519 février 2025
By Oncle Dom

Un spa sous la marque Curio by Hilton et propriété du groupe turc Dorak promet une expérience unique alliant bien-être et histoire. Présenté comme un lieu d’exception, le spa attire une clientèle en quête d’évasion. Cependant, une affaire juridique en cours jette une ombre sur l’établissement. Contactée par l’AFP, une porte-parole du groupe Dorak a confirmé l’existence d’une procédure sans en préciser la nature. Une employée du spa, elle aussi, a refusé de s’exprimer, alimentant les spéculations : litige administratif, différend commercial ou problème plus grave ? Dorak, acteur majeur du tourisme turc, s’est associé à Curio by Hilton, marque de luxe réputée. Ce partenariat devait assurer un cadre prestigieux, mais cette affaire pourrait nuire à son image. En attendant, le spa poursuit ses activités, misant sur son cadre et son expertise en bien-être. Reste à voir si cette situation impactera la viabilité du projet à long terme.

OD

En lire davantage dans Le Figaro

Hôtellerie Restauration

Parce que c’est mardi, les pensées peu profondes d’OD

Posted on 18 février 202518 février 2025
By Oncle Dom

Parce que c’est mardi, c’est fantaisie. J’aurais pu dire que c’était ravioli, mais c’est un peu suranné. En revanche, fantaisie, ce n’est pas encore gagné. Parce que, lorsque l’on observe un tant soit peu l’état du monde, on peut opter pour un optimisme viscéral. Aussi, ma gentille factrice a eu la fantaisie, ce matin, de me délivrer l’ouvrage écrit par mon pote Jean-François Rial, intitulé Le chaos climatique n’est pas une fatalité. Fort possible, je veux bien le croire. Mais je n’ai pas encore lu ce livre dont je ne doute pas de la qualité et de la pertinence. J’y reviendrai une fois lecture faite, mais d’ores et déjà, je note que l’ami Rial trouve incongru que l’on veuille interdire l’usage de l’avion… Rial et son co-auteur, Mathieu Belloir, n’ont peut-être pas toutes les solutions, mais ils ont des propositions qui me paraissent très concrètes et encourageantes, notamment pour le secteur du tourisme, particulièrement carbonophage (celle-là, fallait aller la chercher). Peut-être faut-il faire un peu confiance à la nature. Après avoir visité Tchernobyl, on peut constater la force de cette nature ! Et puis, sans transition, on apprenait aussi hier matin « l’accord stratégique » conclu entre Karavel-Fram et Alpitour, dont Patrice Caradec assure la direction en France. Cet « accord » n’est que stratégique, personne ne parle de vente. Perso, ça ne me gêne pas d’être pris pour une quiche (ou un jambon, au choix), mais quand même : les clubs Bravo entrent au portefeuille de Fram et l’équipe Alpitour France rejoint Fram… Bon, et pour la future présidence du Seto… un Breton ?

OD

Les pensées peu profondes d'OD

Chine : un aéroport géant sur une île artificielle

Posted on 17 février 202517 février 2025
By Oncle Dom

La Chine construit un aéroport hors normes, le Dalian Jinzhouwan, sur une île artificielle en mer Jaune, près de Dalian. Cette infrastructure colossale, dotée de quatre pistes et d’un terminal de 900.000 m², ambitionne d’accueillir 80 millions de passagers par an d’ici 2035. Sa réalisation implique le déversement de millions de tonnes de sable et de roches pour stabiliser le site, protégé par une digue de 21 km contre les tempêtes et l’érosion. Ce projet stratégique vise à renforcer Dalian comme hub régional de transport et d’échanges, consolidant ainsi son rôle économique en Asie de l’Est. Cependant, il soulève des interrogations sur son impact écologique. L’île artificielle incarne à la fois l’ingéniosité chinoise et le défi de concilier progrès et préservation de l’environnement. Les mesures compensatoires suffiront-elles ? L’avenir en jugera, mais Dalian Jinzhouwan s’impose déjà comme un cas d’école pour les grands projets d’infrastructure capables de concilier l’expansion des infrastructures et la préservation de l’environnement.

OD

En lire davantage sur le site du Figaro

Transport

AnimaWings ouvre une liaison entre Paris et Bucarest

Posted on 14 février 202514 février 2025
By Oncle Dom

Sandrine de Saint Sauveur, présidente d’APG, Diana Dima, directrice commerciale d’AnimaWings, Marius Pandel, président d’AnimaWings, Antoine Huet, secrétaire général d’APG Network, et Catherine Vaurillon, chef de produit AnimaWings c/o APG France.

À partir du 2 mars 2025, la compagnie roumaine AnimaWings proposera une nouvelle liaison directe entre Bucarest et Paris. Les vols auront lieu quatre fois par semaine : les lundis, mercredis, vendredis et dimanches. AnimaWings a choisi APG pour assurer sa représentation commerciale en France. Ce nouveau trajet répond à une forte demande entre ces deux capitales, aussi bien pour les voyages d’affaires que pour le tourisme. Les horaires sont pensés pour convenir à tous : départ de Paris à 13h55 pour une arrivée à 17h45, et retour de Bucarest à 11h00 pour atterrir à 13h15. Le prix d’appel commence à 39,99 euros l’aller simple, incluant un bagage cabine de 8 kg. Pour assurer ces vols, AnimaWings utilisera un Airbus A220-300, dont la cabine propose 137 sièges, dont 12 en classe affaires, avec un embarquement prioritaire et un service de restauration amélioré. Avec cette nouvelle liaison, voyager entre Paris et Bucarest devient plus simple et accessible. Un atout de plus pour ceux qui souhaitent découvrir la Roumanie ou rejoindre la France sans escale.

OD

En lire davantage sur le site d’APG

Transport

J’aime / Je n’aime pas… par Anne Sophie Lecarpentier

Posted on 13 février 202513 février 2025
By Oncle Dom

Bien que résidant en Normandie, Anne Sophie Lecarpentier n’a pas l’habitude de répondre « p’tet bin que oui – p’tet bin que non » ! Droit au but pour cette jeune femme qui a été élevée au sein de Périer Voyages, l’entreprise familiale dont elle assure la direction générale avec bienveillance et enthousiasme… Sans oublier sa participation particulièrement active à la direction du Cediv !

J’aime👍

« On va commencer par le positif. J’aime la résilience actuelle des clients qui, malgré un contexte difficile à tous les niveaux, continuent d’avoir envie de voyager et de nous faire confiance au quotidien. Grâce à cela, nous continuons à réaliser des ventes. C’est incroyable.

Et si je devais ajouter une deuxième idée, j’aime notre métier tellement enrichissant, qui nous permet d’appréhender et de toucher du doigt la vie ailleurs pour éviter de tomber dans des raisonnements simplistes et caricaturaux comme on en voit trop souvent aujourd’hui. Je comprends tellement tout cela. »

Je n’aime pas👎

« Je n’aime pas voir des entreprises qui ne tiennent pas leurs équipes au courant des éventuelles difficultés financières qu’elles peuvent rencontrer, et qui les mettent ainsi devant le fait accompli du jour au lendemain…

Je pense aux salariés qui doivent non seulement subir le choc quant à la pérennité de leur emploi, mais aussi faire face, seuls, aux clients et à leur mécontentement. C’est une violence psychologique rare pour ces gens. J’estime qu’en tant que dirigeant, il faut également penser à ses salariés.

Je n’ai perdu personne au moment du covid, parce que nous étions là en soutien en permanence. Le rôle d’un patron, c’est aussi de s’occuper de ses collaborateurs. Et je n’aime pas trop ceux qui ne le font pas.

Pour ma part, je suis dans le partage. On partage le positif, mais aussi le négatif. Je crois qu’il faut savoir dire les choses pour que les salariés ne soient pas de simples pions. Ils ont besoin de comprendre pourquoi ils font ce qu’ils font et ce qui se passe. D’ailleurs, ils se révèlent souvent d’une grande aide… »

OD

J'aime/Je n'aime pas

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