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Le tourisme dans le monde vu par la presse, en un clin d'oeil

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Auteur/autrice : Oncle Dom

J’aime / Je n’aime pas… Par Jacky Cailleau (Hertz France)

Posted on 15 mai 2025
By Oncle Dom

Il fait partie de ces personnages sur lesquels le temps n’a pas de prise. Éternel sourire aux lèvres, Jacky Cailleau, c’est « Monsieur Hertz France », dont il assure la direction de la distribution et des partenariats. Assister à un congrès professionnel lorsqu’il y est présent, c’est la garantie de passer un bon moment. Il est vrai que l’homme irradie la joie de vivre…

J’aime👍

« J’aime la vie. Le bonheur de se réveiller et de voir le soleil se lever, celui de partager le petit-déjeuner que j’aime préparer, celui d’entendre les oiseaux déjà affairés aux premières heures, celui d’embellir la journée des autres par la bonne humeur, celui de rencontrer les autres, de partager, de découvrir, de voyager ; tout simplement la vie, quand on aime la croquer à pleines dents.

J’aime aussi mon travail, dans ce secteur du voyage où j’évolue depuis si longtemps maintenant, sans jamais ressentir de lassitude, bien au contraire : avide de toutes ses révolutions et innovations. Il me permet d’aller vers les autres et d’apprendre encore et encore ; j’adore.

Et j’aime bien aussi la reconnaissance, certes humble, mais qui récompense tout ce qu’on peut accomplir dans une journée. De ce côté-là, Hertz me comble toujours. Les amis aussi. »

Je n’aime pas👎

« Je n’aime pas l’orientation que prend notre société, ni toutes les manipulations qui l’entourent. Toutes les innovations technologiques apportent certes du bien dans notre quotidien, mais elles semblent aussi transformer certains en abrutis… voire en esclaves.

Je n’aime pas le manque de courage, d’opinion, de clarté ; tout semble devenir mou, aseptisé… ou à l’inverse, sombrer dans une agressivité gratuite. Je n’aime pas la direction des stratégies politiques, qui veulent faire croire que tout ira mieux, alors qu’en réalité, cela ne profite qu’à quelques-uns.

Je n’aime pas l’hypocrisie de certains pays qui soutiennent ou condamnent tel ou tel événement, toujours dans un but économique, sinon lucratif. Les exemples ne manquent pas aujourd’hui.

Et, comme le disait Rémy Arca, je n’aime pas l’assistanat à tout prix, alors qu’on pourrait tant encourager le travail, l’envie de faire mieux et plus… et surtout : récompenser. »

OD

J'aime/Je n'aime pas

Parce que c’est mardi, les pensées peu profondes d’OD

Posted on 13 mai 2025
By Oncle Dom

Le vieux Léon. Non, il ne faut pas se gausser, c’est le titre d’une superbe chanson de ce poète-chanteur qu’était Georges Brassens. C’est aussi le patronyme du pape nouveau, Léon, numéro 14 dans l’ordre d’arrivée. Bien. Espérons que cet homme de bien pourra agir afin d’apporter un peu de quiétude à ce pauvre monde. Ce n’est pas gagné…

En revanche, ce qui risque fort d’être gagné, c’est la tenue du nouveau congrès des EdV, prévu pour cette fin de semaine à Taghazout, la nouvelle station balnéaire « tendance » non loin d’Agadir, au Maroc. Je n’y assisterai pas (pour une fois), mais je sais que Valérie Boned, désormais bien à l’aise dans sa tenue de gala — et surtout de présidente —, a plus que jamais à cœur de donner au syndicat et à ses adhérents un véritable message d’enthousiasme et de confiance… malgré un contexte géopolitique plutôt étrange.

Et, à propos d’étrange – et ce sera ma pensée (peu) profonde de conclusion -, quid, une nouvelle fois, de ces manifestations incongrues des Barcelonais envers les touristes ?

Oui, c’est vrai, la ville est fréquentée. Comme Rome, comme Venise, comme partout dans ces destinations qui ont tout fait pour attirer le visiteur. Faudrait savoir ce que l’on veut, particulièrement mes amis Espagnols qui investissent depuis des années dans le secteur du tourisme. Il faudrait comprendre qu’on ne peut pas avoir à la fois le beurre et l’argent du beurre. Certains, audacieux et farceurs, parlent même de la culotte de la crémière…

OD

Les pensées peu profondes d'OD

Parce que c’est mardi, les pensées peu profondes d’OD

Posted on 6 mai 2025
By Oncle Dom

Le temps passe. Il me souvient qu’à une époque, le climat et le « durable » étaient presque des incongruités pour le secteur du tourisme. Pourtant, certains, dans nos instances professionnelles, commençaient à prendre conscience de cette évolution. Le Znav – ce n’était pas encore EdV – comptait, parmi ses adhérents élus, mon vieux camarade Fino, Oro de son prénom. Il avait tenté une ouverture vers le durable en matière de tourisme. Il avait même réussi à créer une commission verte au sein du syndicat, et à éditer un livre vert du tourisme… Sans grand succès, faut bien l’dire, accueilli plutôt par les sourires sardoniques de ses bons camarades. La commission avait été rapidement enfouie dans les archives du syndicat. Et hop, pliée, oubliée. Comme le temps passe, disais-je donc, en ce début de pensée toujours aussi profonde. Fino jouit aujourd’hui d’une retraite agréable, tandis que ses camarades d’autrefois ont fini par découvrir que le tourisme « durable« , ce n’était pas de la rigolade. Du coup, c’est devenu la course à qui planterait le plus d’arbres, à qui créerait le voyagiste le plus « vert« …

Je caricature, bien sûr. Certains voyagistes ont (et continuent de) participer à de très beaux projets, sincères, concrets… Tandis que quelques opportunistes ont cru qu’en apposant un logo « vert » sur leur marque, ils deviendraient les nouveaux ténors du tourisme durable. Sic transit gloria mundi, comme on dit chez Astérix…

Toutefois, je tiens à souligner – et à saluer – le programme de Setosphère de mise en place de tables de cuissons propres au Kenya. C’est non seulement « durable » (il s’agit de construire des fours alimentaires écolos) mais aussi tourné vers les populations démunies d’Afrique. Enfin un projet concret, innovant, social et respectueux de l’environnement. « Cette action de mutualisation illustre parfaitement l’esprit du Seto, qui privilégie l’efficacité à la communication tous azimuts. C’est pourquoi plusieurs membres du Seto s’inscrivent dans cette démarche de bon sens, mesurable, et aux bénéfices économiques et sociaux incontestables », a expliqué René-Marc Chikli, président du Seto.

Il va quitter le syndicat la tête haute… et c’est bien !

OD

Les pensées peu profondes d'OD

Parce que c’est mardi, les pensées peu profondes d’OD

Posted on 29 avril 202529 avril 2025
By Oncle Dom

Lecteurs, lectrices qui déjà manifestiez votre satisfaction de voir les dingueries d’OD disparaître de ce remarquable média qu’est Bee Travel News, désolé ! Les pensées, de moins en moins profondes, sont néanmoins toujours vivaces. Et, tel le palmipède meurtri, OD est toujours vivant. Aussi vivant que peut l’être Corsair, cette compagnie aérienne 100 % française, à qui Jacques Maillot a ouvert les frontières du ciel.

Durant la période covid, Corsair, comme l’ensemble des transporteurs aériens, a sacrément dégusté. Bon, d’accord, la compagnie n’affichait pas non plus une santé florissante. Mais n’oublions pas que Corsair avait aussi subi l’incompétence notoire de UI, lequel, pour une fois, dans un moment de lucidité, avait revendu la société.

Toujours malin, le Basque Bondissant, Pascal de Izaguirre, avait entamé un plan de restructuration… Bien évidemment, pour restructurer, il faut des fonds, ce qui, visiblement, ne plaît pas du tout à la Commission Européenne de Bruxelles qui réclame, à nouveau, de nouvelles preuves de… conformité financière !

Cela m’irrite, et j’en suis désolé pour Air Caraïbes – French Bee, laquelle se bat sans trop de subventions ; c’est vrai. Mais bon, personne n’est parfait. Air France a souvent vécu grâce à la générosité des pouvoirs publics. Air Austral doit aussi sa vie à la générosité de l’argent public.

Dans ces deux cas, Bruxelles a froncé les sourcils, mais sans plus.

Corsair, ce sont un peu plus de 1.000 salariés qui veulent une compagnie en pleine forme et qui font tout pour ça. Je sais, cette pensée, profonde, n’est absolument pas objective. Mais, pour ma résurrection, tel est mon bon plaisir !

OD

Les pensées peu profondes d'OD

J’aime / Je n’aime pas… par Frédéric Lorin

Posted on 10 avril 202510 avril 2025
By Oncle Dom

Un sourire malicieux qui vous propose un selfie amical ? Frédéric Lorin, ancien patron talentueux d’IFTM Top Résa, fait partie de ces personnages du tourisme avec qui l’on aime discuter. Gastronome, philosophe, il aime la vie, il aime les rencontres. Il a créé un cabinet de conseil, ce qui lui permet, plus que jamais, d’être un personnage marquant du tourisme français. En plus, il est bourré d’humour !

J’aime👍

« C’est peut-être banal mais j’aime la vie, je l’aime passionnément et j’essaie de la rendre belle, car comme disait le regretté Noiret : « Le voyage est court, alors autant essayer de le faire en première classe. »

J’aime les levers de soleil.

J’aime cuisiner pour ma famille et mes amis.

J’aime découvrir les pépites de la bistronomie à Paris et ailleurs.

J’aime le Maroc, mon pays de cœur, et je m’y ressource fréquemment depuis 35 ans dans la maison paternelle à Tanger.

J’aime l’incroyable, formidable, hallucinante et ébouriffante résilience de notre industrie du tourisme. Rien ne tuera jamais, j’en suis convaincu, l’envie de voyager.

J’aime le voyage et aller à la rencontre de l’autre, car voyager sans aller à la rencontre, ce n’est pas voyager, c’est simplement se déplacer.

J’aime la photo, et particulièrement les portraits, pour m’approcher au plus près des beautés intérieures. »

Je n’aime pas👎

« Je n’aime pas la tête de veau !!!

Je n’aime pas le tourism bashing, car encore une fois, le voyage est créateur d’ouverture au monde, de tolérance, d’acceptation des différences et d’intérêt pour l’ailleurs.

Je n’aime pas la montée des populismes partout dans le monde, et le repli sur soi.

Je n’aime pas l’Amérique des oligarques.

Je n’aime pas les donneurs de leçons, les yakafokon, qui n’ont jamais mis les mains dans le moteur de l’opérationnel.

Je n’aime pas la direction que prend le monde.

Je n’aime pas Trump, sa vision binaire d’un monde complexe, et son incompétence. Il emmène son pays sur une pente très dangereuse. Mais il est vrai que l’on a toujours confié le sérail à l’eunuque…

Je n’aime pas quand les compromis deviennent des compromissions.

Je n’aime pas attendre.

Je n’aime pas le bruit des villes et son cortège d’incivilités. »

OD

J'aime/Je n'aime pas

Parce que c’est mardi, les pensées peu profondes d’OD

Posted on 8 avril 20258 avril 2025
By Oncle Dom

C’est toujours un grand moment d’émotion de découvrir, en vaquant de ci, de là, que nos joyeux législateurs ne manquent pas de projets… de lois. Après tout, un législateur, c’est un peu fait pour ça. Et penser à un « projet de loi de simplification », fallait y penser. Simplifier, en voilà une bonne idée… totalement nouvelle. Bon, je rigole, mais il n’empêche que le tourisme est aussi concerné par ce projet, et que le Syndicat des Entreprises du Voyage, dont la présidente ne manque jamais une occasion de marquer son implication, entend attirer l’attention des autorités sur deux choses : la lutte contre l’exercice illégal de l’activité d’opérateur de voyages et l’instauration d’une fiscalité plus compétitive pour les opérateurs français vendant la destination France. Certes. C’est très bien. Mais ces deux sujets, très sérieux au demeurant, me font doucement rigoler.

L’exercice illégal de la profession ? Oui, c’est un vrai et vieux problème qui empoisonne la profession. Peut-être que ladite profession devrait aussi regarder en son sein et faire un peu de ménage parmi certains de ses gentils membres ? J’en connais certains qui ne sont pas forcément très propres…

Quant à la fiscalité « compétitive« , chère présidente, je vous souhaite une joyeuse bonne chance : ça fait, et je n’exagère pas, des décennies que les professionnels réclament une égalité fiscale européenne pour les opérateurs qui vendent la France. Ça fait des années que, de ministre du Tourisme en ministre du Tourisme, on se refile la patate chaude… quand les ministres et leurs conseillers comprennent quelque chose au dossier. Ce qui, entre nous, reste à prouver.

Tiens, je prends le pari qu’on en reparlera encore dans les prochaines années. C’est simple !

OD

Les pensées peu profondes d'OD

Zéro émission nette : l’alerte des compagnies aériennes

Posted on 4 avril 20254 avril 2025
By Oncle Dom

Les compagnies aériennes mondiales tirent la sonnette d’alarme : l’objectif de neutralité carbone d’ici 2050 est en péril. Willie Walsh, directeur général de Iata, accuse les autres acteurs du secteur – pétroliers, aéroports, constructeurs, contrôle aérien – de freiner les efforts, notamment sur le carburant d’aviation durable (SAF). Initialement portées par un « consensus fondamental », les ambitions climatiques du secteur se heurtent à une réalité économique : les compagnies aériennes affirment supporter seules le poids financier de la transition. Walsh évoque même une possible remise en question de l’objectif lors de la prochaine réunion de Iata en juin. Il critique particulièrement les compagnies pétrolières pour leur manque d’action sur le SAF, les retards dans les livraisons d’avions, ainsi que l’immobilisme dans la réforme de l’espace aérien. Les autres parties prenantes, elles, rejettent ces accusations, affirmant faire leur part. Résultat : sans mobilisation collective, la trajectoire vers le zéro carbone paraît de plus en plus compromise.

OD

En lire davantage sur le site de Reuters

Transport

J’aime / Je n’aime pas … par Emilie Dumont

Posted on 3 avril 20253 avril 2025
By Oncle Dom

Elle est toute fine, toute légère, toute discrète, toute souriante. Émilie Dumont est une de ces femmes du tourisme que l’on aime rencontrer. Les deux complices, Carlos Da Silva et Nicolas Brumelot, ne s’y sont pas trompés en confiant la direction générale de MisterFly à cette jeune femme aux yeux clairs…

J’aime👍

« J’aime nos équipes, leur implication, leurs idées. J’admire particulièrement la résilience des équipes du service client, qui sont souvent confrontées à la colère de clients ou doivent chercher des solutions à des problèmes qu’on ne maîtrise pas toujours. Il faut quand même une sacrée résilience.

J’en parlais récemment avec une personne du service client, et c’est vrai que c’est un sacré métier d’être agent de voyage, de devoir gérer, trouver des solutions, et parfois subir une colère que l’on comprend lorsqu’on se met à la place du voyageur, mais qui ne facilite pas toujours les choses. Je trouve que cette résilience est belle et inspirante.

Parmi mes coups de cœur récents, j’aime les managers créatifs, les gens responsables qui viennent te voir avec des solutions et des initiatives concrètes qu’ils mettent en œuvre. C’est agréable, ça fait du bien et c’est vraiment motivant.

J’aime, dans notre secteur, tous ces moments de partage et de joie. Je trouve qu’il existe un véritable sens de l’hospitalité et une volonté de créer des occasions agréables, des moments humains et chaleureux. C’est extrêmement appréciable.

Enfin, pour parler un peu de notre actualité, j’aime particulièrement notre dernière innovation, qui s’appelle « Freeze ». C’est un service que nous venons de lancer et qui permet aux voyageurs de geler le tarif de leurs billets d’avion jusqu’à un an à l’avance. »

Je n’aime pas👎

« Je vais commencer par l’humain et les comportements : je n’aime pas les donneurs de leçons, ces gens moralisateurs et épuisants qui passent leur temps à pointer ce qui ne va pas dans le jardin de leur voisin mais qui se soucient très peu de ce qui se passe dans le leur. Je deviens de moins en moins patiente avec ce type de profil.

Je n’aime pas non plus les grèves et les fermetures d’aéroports. Bien sûr, je comprends totalement le principe du droit à la grève, qui est essentiel, mais lorsqu’une grève est utilisée comme une forme de prise d’otage pour des personnes impuissantes qui subissent la situation, je trouve qu’il y a là un véritable manque d’empathie collective, ce qui est vraiment désolant.

Dans l’actualité, je n’aime pas les allers-retours incessants sur la TSBA ou les pratiques ambiguës vis-à-vis de la licence de certaines compagnies aériennes. Tout cela entraîne encore plus de travail inutile, sans aucune valeur ajoutée, juste des complications supplémentaires et une incompréhension de la part des clients. Parfois, même si je comprends bien la complexité des décisions à prendre dans le monde actuel, je me dis qu’on manque parfois cruellement de pragmatisme.

Enfin, ce que je n’aime pas du tout en ce moment dans les actualités et sur les grands sujets sociétaux, ce sont ces deux phénomènes que je trouve particulièrement irritants : le flight bashing et le greenwashing. »

OD

J'aime/Je n'aime pas

Parce que c’est mardi, les pensées peu profondes d’OD

Posted on 1 avril 20251 avril 2025
By Oncle Dom

Étonnant. Chaque fois, c’est toujours avec un grand étonnement – teinté d’une légère couche d’amusement et d’un soupçon d’agacement – que je découvre le talent dont font preuve ces compagnies aériennes dites « à bas coûts ». Car n’oublions jamais que le terme « bas coûts » signifie essentiellement moindres frais d’exploitation pour… la compagnie. Le passager, au bout du bout, finit toujours par payer quasi un tarif normal. Mais si on peut l’arnaquer en l’amusant, pourquoi se priver ? Je reste très admiratif du talent et de l’imagination dont font preuve les directeurs marketing pour prendre les passagers pour des jambons. Ainsi, c’est au tour de Ryanair de proposer à ses passagers un abonnement Prime, façon Amazon. Pour 79€ par an, le passager aura le choix – encore que je n’aie pas très bien compris – entre un tarif moins cher, une assurance (dont il faudra lire les conditions avec une loupe et un avocat) ou encore le droit de choisir son siège gratuitement ! Damned ! Selon cette prestigieuse compagnie, dirigée non moins prestigieusement par l’Irlandais O’Leary, « si vous aimez voyager régulièrement tout en économisant de l’argent, Ryanair Prime est un choix incontournable ». Le fin du fin : cette proposition est valable « sur toutes les compagnies du groupe Ryanair », dont j’ignorais totalement l’existence. Le groupe, pas la compagnie. Je ne suis pas encore complètement ermite. Mon petit-fils, étudiant à Toulouse, avait été tenté par une autre sorte d’abonnement vendu par Wizz Air, qui promettait de pouvoir consommer autant de vols que souhaité. Pas de bol : il y a tellement de contraintes que ça ne marche pas. Une belle promesse marketing, en somme. Dans la même veine, on a Transavia qui fait payer 30 euros si on dépasse de trois minutes l’heure d’embarquement. De quoi transformer un petit retard en grande colère. Mais la palme revient à cette compagnie qui fait payer les bagages cabine ! Cette jeune étudiante, qui embarquait avec une simple gourde en aluminium, s’est vue taxée pour « port d’un second bagage à main ». Authentique, par le Grand Caramba !

OD

Les pensées peu profondes d'OD

J’aime/Je n’aime pas… par Annick Pellerin

Posted on 27 mars 202527 mars 2025
By Oncle Dom

« Madame Air France ». C’est ainsi que nous l’avions affectueusement surnommée : une femme au regard clair, à l’allure déterminée, mais à la voix incroyablement douce. Directrice des ventes tourisme chez Air France, respectée par l’ensemble de la profession, elle a choisi de prendre une autre voie. Très investie dans les enjeux environnementaux, elle a toujours porté une attention particulière au partenariat entre Air France et l’association A Tree for You. Annick Pellerin est une grande dame, et nous sommes fiers d’avoir croisé son chemin.

Je n’aime pas

« Je n’aime pas que l’intelligence artificielle générative menace certains emplois.

Je n’aime pas qu’une simple recherche sur ChatGPT, Gemini ou d’autres outils consomme deux fois plus d’énergie qu’une requête Google.

Je n’aime pas non plus que de puissants industriels américains envisagent de construire des centrales nucléaires uniquement pour alimenter d’immenses centres de données.

Je n’aime pas que le pouvoir et l’argent soient encore, trop souvent, sources de destruction dans tant de domaines.

Je n’aime pas la direction que prend le monde…

Avons-nous vraiment tiré les leçons de notre histoire ?

Je n’aime pas l’hypocrisie, surtout en politique, ni les éternels râleurs qui ne font que critiquer.

Je rejette cette culture du politiquement correct dans le monde professionnel, le manque de civisme, la malhonnêteté intellectuelle, la fourberie et la cupidité. »

J’aime

« À l’inverse, j’aime quand l’IA permet d’accélérer la recherche, d’assister les humains, de faire gagner un temps précieux — à condition de l’utiliser avec conscience et dans le respect de notre planète.

J’aime quand les périodes anxiogènes deviennent des leviers de réflexion, d’union, et qu’elles rassemblent pour construire un avenir meilleur pour nos enfants.

J’aime la richesse de l’intergénérationnel : transmettre, apprendre des autres, briser les clivages entre jeunes et seniors, et créer de la valeur ensemble, pour le bien commun.

J’aime les personnes structurées mais pleines de fantaisie.

Celles qui osent, testent, sortent des sentiers battus, et nourrissent leur curiosité.

J’aime voyager, découvrir de nouvelles cultures, m’en imprégner — un grand bravo au passage aux professionnels du tourisme qui rendent tout cela possible.

J’aime la bienveillance, l’enthousiasme, l’élan de vie…

J’aime la vie, tout simplement, parce qu’elle est courte — et pleine de surprises. »

OD

J'aime/Je n'aime pas

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