
L’aéroport de Nice a indiqué mercredi au Figaro son intention de déposer plainte contre une actrice X qui a tourné un film à caractère pornographique dans ses toilettes…

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Même si tout le monde répète à l’envi que l’avion est le moyen de transport le plus sûr avec seulement 1,01 accident pour un million de vols, en cas de crash y a-t-il des places mieux que d’autres pour avoir une infime chance de survie ? D’après Doug Drury, chercheur à la Central Queensland University, en Australie, « nous réservons rarement l’un des sièges du milieu, au niveau de la dernière rangée. Eh bien devinez quoi ? Ces sièges sont statistiquement les plus sûrs dans un avion. » Son étude a révélé que les sièges situés dans le tiers arrière des avions avaient un taux de mortalité de 32% en cas d’accident, contre 39% pour le tiers central et 38% pour le tiers avant. Et que les sièges du milieu situés dans les rangées arrière avaient le taux de mortalité le moins élevé (28%), les autres passagers pouvant servir – à leurs dépens – d’airbag. Les compagnies devraient en profiter pour vendre ces places avec un supplément.
NB
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Les vacances de ski à la montagne n’ont jamais été bon marché. Mais avec la hausse des prix de l’énergie, les tarifs des remontées mécaniques ont augmenté à peu près partout, alourdissant encore davantage le budget du séjour. Selon une enquête Yougov menée en Allemagne, la majorité des vacanciers au ski (62%) affirment être prêts à faire des sacrifices pour réduire le coût de leurs vacances. 22% d’entre eux se disent prêts à aller dans des domaines skiables plus petits et moins connus. 27% déclarent vouloir supprimer les soirées après-ski. Et près de 19% accepteraient d’opter pour un logement plus éloigné des pistes. Seulement 13% se passeraient d’une pause déjeuner dans un restaurant d’altitude. Enfin, 13% accepteraient de réduire le nombre de jours de ski. Moins cher peut-être, mais le ski – sous quelque forme que ce soit – a encore de beaux jours devant lui.
NB
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La Commission d’enrichissement de la langue française a publié au Journal officiel une liste de mots anglais utilisés abusivement en France. Comme dans le milieu de la mode. Par exemple, « it girl » et « it boy » doivent désormais être remplacés par « icône de la mode » qui, pour la commission, est une « personne, le plus souvent jeune, dont l’allure et le style vestimentaire fait référence ». La commission a également renvoyé au vestiaire « it bag » au profit de « sac iconique », un « accessoire que l’on se doit de posséder pour être à la mode ». La commission veut également que « must-have » soit abandonné au profit « d’incontournable ». « Lifestyle » est aussi dans le collimateur de la commission qui lui préfère « style de vie ». Enfin, les « fashion addict » s’appelleront désormais « modeux », tandis que « fashion victim » devra être remplacé par « victime de la mode ». C’est fun, le job de cette commission. Il ne leur reste plus qu’à trouver des traductions pour jean, boots, T-shirt, short, pull, sweat… Un beau challenge, n’est-il pas ?
NB

Le puissant syndicat allemand Verdi étend le conflit qui frappe actuellement les services publics allemands à plusieurs aéroports. Vendredi, ceux de Munich, Francfort, Hambourg, Stuttgart, Dortmund, Hanovre et Brême, seront paralysés toute la journée. Les passagers doivent se préparer à des retards et des annulations de vols. Le syndicat, ainsi que les associations de fonctionnaires, exigent une hausse de salaires de 10,5% pour les quelque 2,5 millions d’employés du secteur public fédéral et local. Les employeurs ont jusqu’à présent rejeté les revendications. On n’est pas surpris : pour les caisses de l’Etat et des Länder, l’argent à trouver se compterait en milliards.
NB
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Plus de 3.000 agents de sécurité, techniciens et pompiers de l’aéroport d’Heathrow, membres du syndicat Unite, envisagent de faire grève le 17 février prochain, jour de départ en vacances outre-Manche. Ils ont jusqu’à présent rejeté une augmentation de 10% « qui est (selon eux) en fait une réduction de salaire, le taux d’inflation se situant actuellement à 13,4% ». Sharon Graham, secrétaire générale de Unite, estime que la direction de l’aéroport d’Heathrow « est coupable d’hypocrisie flagrante : il paie des salaires mirobolants à son directeur général et à ses cadres supérieurs, mais les travailleurs qui font le succès de l’entreprise touchent des salaires de misère ». De son côté, la direction d’Heathrow se dit « extrêmement déçue » par l’attitude de Unite et assure que « si la grève a lieu, l’offre salariale sera retirée ». On se croirait chez nous.
NB
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Airbnb a enregistré un bénéfice de 1,9 milliard de dollars (1,77 milliards d’euros) en 2022, après avoir perdu 352 millions de dollars en 2021. La plateforme de réservation de logements a réalisé 8,4 milliards de dollars (7,82 milliards d’euros) de chiffre d’affaires (+ 40 % sur un an) en 2022. Airbnb a expliqué avoir profité d’une forte demande de voyages, malgré une inflation élevée et des craintes de récession. Les Américains ont bénéficié d’un dollar fort pour partir à l’étranger, notamment en Europe. Brian Chesky, le patron de l’entreprise, s’est montré optimiste pour le trimestre en cours, avec des clients qui « réservent toujours plus tôt et qui retournent à l’étranger ». Airbnb comptait 6,6 millions de logements à la fin de décembre 2022, soit 16% de plus qu’il y a un an. Brian Chesky explique cette hausse par le fait que de plus en plus de particuliers cherchent à générer des revenus supplémentaires. Il l’explique aussi par la qualité de la plateforme…
NB
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Antonio Osuna-Mascaró et Alice Auersperg, tous deux biologistes à l’Université de médecine vétérinaire de Vienne, ont observé des cacatoès façonner trois outils (un coin, un couteau et une cuillère) avec leur bec pour ouvrir les fruits tropicaux Wawai. « Ils s’en servent comme des couverts », a expliqué Alice Auersperg. Fort de ce constat, ils en ont déduit que les oiseaux étaient intelligents. Ils ont publié le fruit de leur travail dans la revue Current Biology, et démontré, en utilisant l’exemple des cacatoès, que les oiseaux étaient le troisième animal sur terre, après l’humain et le chimpanzé, à savoir se servir d’outils. Si l’on vous affuble d’un nom d’oiseaux, comme « bécasse« , « butor« , « buse« , « dinde« , « poule mouillée« , ou si l’on vous traite de « tête de linotte » ou de « cervelle d’oiseau« , voyez-y désormais un compliment.
NB

Au premier trimestre de son exercice 2022/23 (octobre à décembre 2022), le groupe TUI a vu augmenter considérablement son chiffre d’affaires à 3,8 milliards d’euros (contre 2,4 milliards, un an plus tôt) grâce à une forte demande (3,3 millions de clients). Dans le même temps, TUI a affiché une perte de 231,8 millions d’euros, contre 386,5 millions il y a un an. L’année s’annonce bien. Le groupe a déjà enregistré 8,7 millions de réservations pour l’hiver en cours et la saison d’été à venir, et la demande des quatre dernières semaines a dépassé le niveau d’avant la crise. Sebastian Ebel, son PDG, est satisfait : « Nouveaux produits, clients supplémentaires, ainsi qu’une croissance supérieure à la moyenne, sont à la base des augmentations futures de nos ventes et de nos bénéfices. » Bref, chez TUI, la vie Ebel !
NB
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Michel Messager, un grand professionnel du tourisme, vient de publier Voyages dans ma vie, un texte qu’il avait initialement destiné à sa famille et à ses amis. Mais comme il l’explique lui-même, « après avoir donné à lire mon manuscrit à quelques connaissances, les réactions furent unanimes : il fallait publier ce livre ». Michel Messager, qui a travaillé dans les entreprises du tourisme ayant façonné notre secteur (Le Tourisme Français, Touropa, Verney, APS…), l’admet lui-même : « Ma vie n’est certes pas extraordinaire, mais vous en conviendrez, après lecture, elle n’est tout de même pas ordinaire. » Par sa profession et sa passion de voyage, Michel Messager nous emmène « aux quatre coins du monde », et nous replonge « dans les débuts du tourisme », à travers le regard un peu espiègle d’un « baby boomer ». Un livre qui, comme il le dit lui-même, « se lit comme un roman et vous montre les multiples facettes d’un homme qui a vécu intensément cette deuxième moitié du XXe siècle ». Michel, vous êtes notre messager.
NB
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