Auteur/autrice : Nicolas Barbéry

D’après Radio Free Asia (RFA), le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a émis un décret qualifiant le suicide « d’acte de trahison contre le socialisme ». Selon des sources citées par RFA, les suicides auraient augmenté d’environ 40% en Corée du Nord depuis le début de l’année par rapport à la même période en 2022. Selon un témoin proche du gouvernement cité par RFA, « malgré la politique de prévention du suicide ratifiée par le secrétaire général, les responsables du pays n’ont pas été en mesure de proposer une solution appropriée ». Sans doute la peine encourue n’est-elle pas suffisamment dissuasive. Pour faire réfléchir les contrevenants, Kim Jong Un devrait envisager la punition ultime : la peine de mort.

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Deux passagers d’un vol Ryanair en partance des Baléares se sont récemment vu exiger par la compagnie à bas coût 45 euros chacun de frais supplémentaires pour pouvoir transporter, en plus de leur bagage à main, une ensaïmada, sorte de brioche traditionnelle aux Baléares. Les deux passagers ont préféré abandonner leurs gâteaux plutôt que de payer le supplément. Mais l’affaire n’en est pas restée là. L’épisode est remonté aux oreilles des autorités locales qui ont été vexées que ce gâteau, emblématique de la gastronomie locale, soit considéré comme un vulgaire bagage supplémentaire. Ce n’est pas pour minimiser la pingrerie de Ryanair, mais de plus en plus de compagnies aériennes envisagent sérieusement de taxer les passagers qui ont de la brioche.

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Dans Le Monde, ce matin, le Syndicat national des pilotes de lignes s’inquiète qu’à terme, on ne les remplace des logiciels d’intelligence artificielle. C’est le projet DragonFly d’Airbus qui inquiète tout particulièrement les pilotes. Celui-ci serait capable de gérer non seulement le décollage et l’atterrissage, mais aussi de prendre les commandes si les pilotes perdent connaissance. Il pourrait même déterminer, seul, une nouvelle route. Bah ! tant que l’IA n’aura pas l’intelligence de se mettre en grève, les pilotes auront toujours un coup d’avance…

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En Australie, les passagers en fort surpoids sont obligés d’acheter deux sièges pour voler sur certaines compagnies aériennes. C’est notamment le cas sur la compagnie low cost Scoot. Elle annonce ainsi la couleur sur son site : « If you are a guest of size who requires 2 seats… fares and fees for 2 guests apply », que l’on pourrait traduire par : « Si vous êtes un invité de taille qui a besoin de 2 sièges… les tarifs et les frais pour 2 sièges s’appliquent. » Scoot ajoute : « Et si vous ne le faites pas, vous risquez de vous voir refuser l’embarquement. » Mais la compagnie ne précise pas ce qu’est un « invité de taille« . Sans doute, pense-t-elle à une personnalité de poids ! La côtoyer est pourtant flatteur, mais la déception est grande si elle n’est pas de taille…

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