Michel-Yves, MYL Sabords, vous m’avez tiré une grosse larme ce matin. Vite réprimée, car vous étiez plus coutumier du rire, de l’humour que de la tristesse. Tristesse immense en apprenant que mon vieil ami (bien plus de trente ans) a entrepris son dernier voyage vers une destination que je lui souhaite la plus agréable possible. Cher Monsieur Labbé, j’ai tellement de souvenirs qui remontent en écrivant ces quelques lignes… Et que des bons souvenirs. D’ailleurs, vous aviez eu la gentillesse de vous manifester dans nos colonnes le 6 juin dernier, avec toute votre verve et votre humour, parfois redoutable. Et, comme vous le disiez, peut-être maintenant aurez-vous plus de liberté pour œuvrer au « salut de la terre », humaniste féroce que vous resterez éternellement.
Je vous aimais tant !
OD