
En 2025, la flambée des coûts du voyage en Europe ne tient plus seulement à l’inflation. Taxes de séjour, restrictions sur les locations touristiques et mesures anti-tourisme de masse alourdissent sensiblement la facture. À Paris, Barcelone et dans plusieurs grandes villes, le durcissement des règles visant Airbnb a réduit l’offre de logements bon marché, sous la pression d’habitants confrontés à la hausse des loyers. Dans le même temps, de nouvelles taxes nocturnes ont été instaurées en Espagne, en Islande, en Norvège et au Royaume-Uni, tandis que Venise reconduit sa redevance pour les excursionnistes. Objectif affiché : financer les infrastructures et contenir la surfréquentation. Le tourisme de masse à Bakou, c’est fini.
LG
