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Le tourisme dans le monde vu par la presse, en un clin d'oeil

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Jour : 11 décembre 2025

Voyager aux États-Unis ? Big Brother veut tout savoir

Posted on 11 décembre 202511 décembre 2025
By Nicolas Barbéry

Les voyageurs se rendant aux États-Unis depuis des pays comme la France, la Grande-Bretagne ou l’Allemagne pourraient bientôt voir leur historique sur les réseaux sociaux examiné sur cinq ans. C’est ce que propose désormais le Customs and Border Protection (CBP), qui souhaite durcir les conditions du programme d’exemption de visa. Les visiteurs éligibles, qui peuvent séjourner 90 jours sur simple Esta, devraient alors fournir une série de données personnelles bien plus détaillées : comptes de réseaux sociaux, adresses électroniques des dix dernières années, mais aussi noms, dates et lieux de naissance, ainsi que lieux de résidence de leurs parents, conjoints, frères, sœurs et enfants. Selon plusieurs observateurs, le gouvernement américain pourrait même interpréter l’absence d’activité sur les réseaux comme un signe de dissimulation, au détriment du demandeur. Autrement dit, même lorsqu’on n’a rien à se reprocher, on devient suspect. Les États-Unis semblent décidément prêts à tout pour décourager les visiteurs.

NB

En lire davantage sur le New York Times

Destinations

Le Seto recrute

Posted on 11 décembre 2025
By Nicolas Barbéry

Le Seto, Syndicat des entreprises du tour operating, regroupe quelque 70 membres parmi les plus importants TO français, soit 75 à 80% des spécialistes de « l’outgoing ». Il représente un volume d’affaires annuel de l’ordre de 5 milliards d’euros et 6,5 millions de clients. Son nouveau président, Patrice Caradec, et son conseil d’administration, souhaitent augmenter le nombre d’adhérents et veulent désormais tendre la main à tous les TO français, notamment ceux qui vendent surtout la France. Il rappelle que « grâce à son réseau relationnel étendu », inlassablement développé par René-Marc-Chikli, son ancien président, le Seto influe pour défendre les intérêts de ses membres. Il est aujourd’hui reconnu « par toutes les instances publiques françaises ainsi que par les autres instances professionnelles, tant françaises qu’européennes ». Le Seto dispose également d’une cellule de crise rodée et très réactive pour accompagner ses membres en cas d’évènement majeur dans une destination. Le dispositif de gestion de crise du Seto est désormais unanimement reconnu, notamment par le Centre de crise du ministère des Affaires étrangères. Pionnier en matière d’informations sécurité sur les destinations, le Seto offre à ses adhérents un accès en exclusivité aux alertes de Scutum Security First – SSF – qui permettent aux entreprises d’être informées des conditions sécuritaires dans 192 pays et de mieux répondre aux obligations d’information. Le syndicat met par ailleurs à la disposition de ses adhérents des informations sur l’environnement de leur entreprise : études thématiques, baromètres d’activité, statistiques… Autant d’outils d’aide à la décision stratégique, quel que soit le mode de distribution. Le Seto propose également un dispositif ponctuel d’accompagnement sur des questions juridiques, sociales et économiques mais aussi sur les questions relatives au transport. Enfin, outre les commissions thématiques, le Seto organise régulièrement un Comité Exécutif réunissant ses membres élus. Un lieu unique d’échanges et de débats, où les dirigeants peuvent travailler en toute confiance, tout comme le Forum annuel, organisé une année en France, l’autre à l’étranger. Deux jours d’études, de réflexion et d’échanges dans une ambiance studieuse et conviviale, rythmés par des interventions extrêmement qualitatives venues de tous horizons. On se demande encore pourquoi tout le monde n’est pas déjà au Seto ? NB

Vie de la profession

J’aime / Je n’aime pas… par Stéphane Fulcrand

Posted on 11 décembre 202511 décembre 2025
By Oncle Dom

On ne l’imagine pas en colère, Stéphane Fulcrand, lui qui a longtemps œuvré chez les cédiciens et qui participe activement à aider de nombreuses associations. Avant de présider aux destinées de Salagou Voyages, il a été cuisinier… d’où sa passion pour la gastronomie !

J’aime👍

« Dans ce que j’aime, il y a d’abord le partage, l’échange et ce sens du devoir qui m’accompagne partout. Cela vaut aussi bien dans le travail que dans la vie personnelle.

Je m’explique : je suis au service des gens. C’est vraiment ce qui me définit. Je l’ai fait pendant plusieurs années avec le CDI, je continue de le faire à travers des associations près de chez moi, et bien sûr je le fais au quotidien avec mes clients.

Cette façon d’être, d’avancer pour et avec les autres, me convient parfaitement. Elle me structure, elle me motive, et franchement… ça me va très bien. C’est parfait comme ça. »

Je n’aime pas👎

« Dans ce que je n’aime pas, il y a deux choses qui me hérissent vraiment : l’injustice et l’autoritarisme.

L’injustice, d’abord. Quand on refuse à certains ce qui leur est dû, quand on ne traite pas tout le monde avec la même équité, quand on garde un peu plus pour soi au lieu de partager… ça, je ne peux pas. Ce manque de générosité, cette façon de distinguer ceux qui auraient droit et ceux qu’on oublie, c’est quelque chose que je n’accepte pas.

Et puis il y a l’autoritarisme, qu’il soit individuel ou collectif. Cette posture trop directive, cette pensée unique qui s’impose sans discussion : « Moi je sais, vous ne savez pas. » Cette manière de fonctionner, fermée et sans nuance, c’est tout ce que je n’aime pas.

Voilà. C’est exactement ce que j’aime… et ce que je n’aime pas. Et, paraît-il, c’est aussi ce que nos lecteurs aiment comprendre des personnalités du secteur. Alors voilà. »

OD

J'aime/Je n'aime pas

L’IA débarque chez Selectour et parle aux clients !

Posted on 11 décembre 202511 décembre 2025
By Oncle Dom

Selectour lance, avec Kleio, une nouvelle IA conversationnelle capable de comprendre le voyageur et de le conseiller. En trois mois à peine, l’outil a été déployé sur l’ensemble de l’écosystème digital : sites grand public, affaires, près de 300 sites d’agences… et surtout dans le quotidien des 4.000 agents de voyages. L’idée est simple mais efficace : on pose une question en langage naturel, l’IA comprend, recommande et accompagne jusqu’à la vente. Elle sait même orienter vers l’agence la plus pertinente, assurant enfin cette fameuse continuité omnicanale que tant promettent et que peu réalisent. Côté coulisses, les vendeurs disposent désormais d’un véritable assistant : recherche accélérée, meilleure compréhension des besoins, recommandations plus justes. De quoi, selon Selectour, « gagner en productivité, en qualité de conseil et, naturellement, en conversion. » Pour Selectour, c’est une étape vers ce commerce agentique dont tout le monde parle : une IA qui ne se contente plus de répondre, mais qui raisonne et agit dans le parcours d’achat. Tant mieux. Mais l’humain, c’est pas mal aussi.

OD

Distribution

Drôle d’époque

Posted on 11 décembre 202511 décembre 2025
By Nicolas Barbéry

Lors d’une manifestation à Troyes, les vignerons champenois s’attendaient à un hommage à leur glorieux passé. Ils ont eu droit, à la place, au discours iconoclaste de Jean-Robert Pitte, président de l’Académie des sciences morales et politiques, affirmant que le champagne aurait été… une invention anglaise du XVIIe siècle. Selon lui, les vins expédiés outre-Manche n’avaient pas de bulles. Première audace britannique : les marchands les ont mis en bouteille. Deuxième innovation : ils y ont ajouté du sucre pour adoucir des vins de Champagne « acides« , voire proches du « jus de citron« . De quoi provoquer une seconde fermentation que les bouchons de liège, autre invention anglaise, ont enfermée. Jean-Robert Pitte rappelle que Dom Pérignon, un moine bénédictin champenois du XVIIe siècle, n’a jamais inventé l’effervescence : il a même tenté de l’empêcher. Tout cela est peut-être vrai, mais j’émets un doute : aux yeux du monde entier, les Français restent les rois de la bulle.

NB

Drôle d'époque
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