
De nouveaux combats ont éclaté cette semaine entre la Thaïlande et le Cambodge, entraînant la fermeture des frontières terrestres et le déplacement de plus de 145.000 personnes cumulées côté thaïlandais et cambodgien. C’est un peu cynique, mais les échanges de tirs, frappes aériennes et bombardements concernent uniquement des zones rurales frontalières, loin des grands pôles touristiques comme Bangkok, Phuket, Chiang Mai, Siem Reap ou Phnom Penh. Les vols entre les deux pays continuent d’opérer normalement, malgré la fermeture partielle de l’espace aérien local. Les autorités britanniques déconseillent les déplacements non essentiels dans les zones touchées mais n’émettent pas d’alerte générale sur l’ensemble des deux pays. Les passages frontaliers terrestres restent en revanche totalement fermés à ce stade. Tout devrait bientôt s’arranger : Donald Trump, impliqué dans un accord de paix qui a volé en éclats, va « passer un appel » ce mercredi pour « arrêter cette guerre ».
LG



