Dans le Var, un gestionnaire de locations saisonnière s’est rendu compte que l’un de ses appartements loués par le biais d’Airbnb servait de lieu de rencontre pour des passes tarifées. Sur les deux derniers mois, il estime qu’environ 10% des clients qui lui ont été adressés par la plateforme sont des travailleuses du sexe. Il a alors tenté de faire annuler des réservations suspectes. La réponse ne s’est pas fait attendre : « Vous pouvez annuler la réservation mais on ne vous payera pas. Et en plus de cela vous aurez les pénalités financières de refus de location. » Il semble bien que l’on s’éloigne doucement de la devise originelle d’Airbnb : « Partage un logement, économise de l’argent, rencontre des gens sympas. »
LG