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Bee Travel News

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Le tourisme dans le monde vu par la presse, en un clin d'oeil

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Auteur/autrice : Oncle Dom

Ben Smith s’attaque à ADP et au gouvernement

Posted on 21 janvier 202521 janvier 2025
By Oncle Dom

Ben Smith, directeur général d’Air France–KLM, aborde 2025 avec un ton inhabituellement offensif. Habituellement discret, il sort de son mutisme pour critiquer deux sujets majeurs : la décision du gouvernement Bayrou de doubler la taxe de solidarité sur les billets d’avion – un coût déjà estimé à 140 millions d’euros pour le groupe en 2024 – et la gestion du groupe ADP. Ben Smith dénonce notamment la répartition des postes de stationnement avec passerelles d’embarquement, appelés « taux de contact ». Selon lui, les avions d’Air France bénéficient moins souvent de ces passerelles que les compagnies étrangères : « À Roissy, notre taux varie entre 85 et 90%, tandis qu’au Terminal 1, où opèrent les compagnies américaines, il frôle les 100%. » Il estime qu’Air France est désavantagée par rapport à ses concurrents internationaux. ADP n’a pas tardé à réagir, exprimant sa « surprise » face à ces accusations. L’opérateur rappelle qu’Air France représente près de la moitié du trafic de Paris-CDG, soit environ 600 vols quotidiens, et que ses taux de contact atteignent 90% pour les gros porteurs et 88 % pour les moyens porteurs, des chiffres supérieurs à ceux des autres compagnies (respectivement 87% et 78%). Cette polémique éclate alors qu’ADP s’apprête à changer de direction. Augustin de Romanet, PDG historique, doit céder sa place à Philippe Pascal, actuel directeur général adjoint Finances, récemment nommé par l’Élysée. Ce dernier aura pour mission de rétablir la confiance avec Air France–KLM, un partenaire incontournable du hub parisien.

OD

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Transport

Parce que c’est mardi, les pensées peu profondes d’OD

Posted on 21 janvier 202521 janvier 2025
By Oncle Dom

Pensée toujours aussi peu profonde mais très morose en ce lundi (je sais, on est mardi, mais j’écris le lundi). Normal d’ailleurs, puisque, après un Dry January (un truc qui peut aussi rendre morose), les Yankees ont pondu, outre Trump, le Blue Monday, lequel tombe le 20 janvier ! On peut supposer que l’an prochain sera un Blue Tuesday.

Toujours est-il que, si j’ai bien tout compris, ce Blue Monday est le jour où l’être humain se sent le plus déprimé (authentique, selon les spécialistes et autres charlatans !) Et donc, il pousserait les déprimés et autres perturbés à vouloir absolument partir en voyage, en vacances, en détente, et que sais-je encore !

Voilà, en tout cas, une opération qui devrait rassurer Valérie Boned, présidente des EdV, laquelle, lors de la soirée des vœux, soulignait que « Cette année 2025 se présente sous les meilleurs auspices pour le secteur du tourisme. (…) Toutefois, la prudence reste de mise : le contexte politique, notamment dans les deux semaines à venir, peut influer sur la stabilité du cadre réglementaire. »

Allons, allons, par les grandes oreillettes du Béarnais palois (quel sens de la culture, cet OD). Restons sereins. Les nouveaux ministres du Tourisme et du Transport vont faire le job, bien gérer les transpositions de directives bruxelloises et les taxes aériennes, n’est-ce pas ? Bon, je rigole, histoire de casser le Blue Monday.

Surtout, n’oublions pas la PST. Rassurez-vous, j’ai bien écrit « PST ». J’ai, en effet, demandé à chat (jipiti) qui émet quelques flatulences (je vous laisse chercher) de me résumer le discours du président Teker lors de ces mêmes vœux. Je n’invente rien : « Dans ce contexte, la PST (Prévoyance Sociale du Tourisme) célèbre ses 60 ans… » !

Bon, je vais encore me garder mon intelligence débile, que je vous garantis non artificielle !

OD

Les pensées peu profondes d'OD

Sûreté aérienne : Air New Zealand, championne du monde…

Posted on 17 janvier 202517 janvier 2025
By Oncle Dom

Le site AirlineRatings.com a dévoilé son palmarès 2025 des compagnies aériennes les plus sûres, évaluant 385 entreprises selon des critères tels que les incidents, la formation des pilotes, ou l’âge de la flotte. Air New Zealand décroche à nouveau la première place grâce à sa flotte récente et son bilan impeccable, malgré des conditions de vol exigeantes. Qantas suit de près, avec des normes de sécurité similaires mais des appareils légèrement plus anciens. La troisième position est partagée par Cathay Pacific, Qatar Airways et Emirates. Le Top 10 inclut également Virgin Australia, Etihad, ANA, EVA Air, Korean Air et Turkish Airlines. Autres faits marquants : Japan Airlines reste 19e malgré un incident en 2024. Iberia et Vietnam Airlines rejoignent le classement, tandis que Singapore Airlines et KLM en sortent, pénalisées par des incidents récents.

OD

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Transport

J’aime/Je n’aime pas… par Georges Sans

Posted on 16 janvier 202517 janvier 2025
By Oncle Dom

Il a la convivialité des gens du sud et l’accent qui invite au sourire. Georges Sans, actuel directeur du développement chez Civitatis, a parcouru les chemins du tourisme français dans tous ses aspects. Aérien, tour-operating, distribution, agent de voyages… Georges ne conçoit pas les relations professionnelles sans un minimum d’humanisme. Et, en plus, il est bavard !

J’aime👍

« J’aime découvrir les gens, en fait. Mon métier et mes expériences à l’étranger m’ont permis de beaucoup voyager et de travailler dans différents secteurs : médias, voyage, tech. C’est ce que j’apprécie aujourd’hui : rencontrer des personnes d’horizons variés et de niveaux différents, et apprendre d’elles.

Mon métier me permet de découvrir de nombreux talents. Quand nous nous sommes rencontrés lors de l’expérience avec François Arpels sur Fairlines, j’ai découvert quelqu’un issue du luxe qui souhaitait lancer un nouveau concept dans la RIA ; ce genre de trajectoire est très intéressant.

Depuis plus de dix ans, j’accompagne de nombreuses entreprises, et je constate aujourd’hui que la plupart des nouveaux opérateurs du voyage ne viennent pas de ce secteur.

Par exemple, François Levesque, qui vient de racheter des réseaux d’agences, ne vient pas du voyage. De plus en plus d’entrepreneurs créent dans ce secteur sans en être issu ; je trouve cela positif, car ils ont une vision sans tabou ni barrière. Ne connaissant pas encore les freins habituels, ils osent des choses que nous aurions tendance à juger irréalisables. Bien sûr, certains échouent, mais beaucoup apprennent vite et réussissent. »

Je n’aime pas👎

« Ce que je n’aime pas, dans la vie de tous les jours ou dans le secteur du voyage, ce sont les gens qui ne répondent pas. Cela m’étonne toujours, surtout parce que, dans mon expérience, j’ai eu la chance de côtoyer des dirigeants d’entreprises, des managers ou même des employés à des niveaux plus modestes. Ce que je remarque, c’est que même des présidents de grandes entreprises, parfois cotés en bourse, prennent le temps de répondre, qu’il s’agisse d’un oui ou d’un non.

Pour ma part, je m’efforce toujours de répondre, même quand je suis très sollicité. Certes, il y a des exceptions : sur les réseaux sociaux comme LinkedIn, par exemple, je ne réponds pas aux personnes qui envoient une demande de connexion sans se présenter, sans dire bonjour ou expliquer pourquoi elles veulent me contacter. Dans ce cas, je les ignore systématiquement, sauf si un intérêt particulier se dessine.

Je comprends que certains soient débordés, mais quand je vois que des figures importantes prennent le temps de répondre, je trouve cela inspirant. Ce silence ou ce manque de retour, que la réponse soit positive ou négative, c’est quelque chose que je n’aime pas.

Dans le monde des affaires, on dit souvent qu’il faut laisser ses émotions de côté. C’est vrai, jusqu’à un certain point. Cependant, je crois fermement que l’humain reste central. Dans un environnement commercial – ou même en dehors – l’aspect humain facilite et permet d’accomplir beaucoup de choses.

Cela m’amène à un autre point : les jugements hâtifs. Beaucoup de gens émettent des opinions tranchées sur une entreprise ou une personne, parfois même avant de les connaître réellement. Pour ma part, je m’efforce toujours de ne pas avoir d’a priori, qu’ils soient positifs ou négatifs. Je préfère me faire ma propre opinion, en laissant les idées préconçues de côté. »

OD

J'aime/Je n'aime pas

Parce que c’est mardi, les pensées peu profondes d’OD

Posted on 14 janvier 202514 janvier 2025
By Oncle Dom

Pauvre Augustin de Romanet. Cette fois, ça sent le pâté pour le chef d’Aéroports de Paris, nommé il y a douze ans déjà. Et pourtant, si j’en crois mes bonnes informations (que j’ai, évidemment), il n’en voulait pas trop de ce poste. En tout cas, cette fois, il va falloir partir.

Faut dire que les hauts fonctionnaires, compétents ou pas, n’ont pas trop le choix. Quand une place se libère, c’est le premier sur la liste qui prend la fonction. C’est d’ailleurs comme ça que certaines institutions liées au tourisme français n’ont pas forcément eu droit à des pointures en termes de managers. C’est la vie !

Augustin de Romanet, afin d’assurer son pouvoir, avait bien fait le ménage, évinçant notamment Franck Goldnadel, lequel avait réussi non seulement à redresser l’aéroport de Roissy, mais aussi à en faire un des premiers aéroports mondiaux.

Augustin de Romanet, atteint par la limite d’âge, devait donc partir… mais il aura été « prolongé » de quelques mois, le Président Macron ayant décidé de dissoudre. Le gouvernement Barnier, nommé après deux mois de réflexion, ayant duré ce que durent les roses, c’est-à-dire l’espace d’un matin, on peut espérer que maintenant, pour peu que François Bayrou franchisse le cap de la motion de censure, un nouveau patron soit nommé chez ADP.

Du côté du ministère des Transports – dont, soyons honnêtes, le nom du ministre m’est totalement inconnu (et j’ai la flemme de vérifier) –, on cherche un remplaçant. Eh bien, les gars, pour une fois, soyez professionnels : Goldnadel, actuel patron de l’aéroport de Nice, serait non seulement idéal, mais indispensable !

Un peu d’audace, que diable… et bonne retraite pour Augustin !

OD

Les pensées peu profondes d'OD

J’aime/Je n’aime pas… par Frédéric Despreaux

Posted on 9 janvier 20259 janvier 2025
By Oncle Dom

Il a le sourire des personnages qui aiment la vie, le sourire malicieux de ceux qui aiment les autres et la verve des bons communicants. Il aurait aimé devenir chroniqueur sportif. Sportif, il l’est resté, chroniqueur, il préside la communication et le marketing d’APG Group avec talent… En plus, c’est un inconditionnel du western… Que du bonheur !

J’aime👍

« J’aime la façon dont les gens s’aiment sans jamais vraiment pouvoir expliquer pourquoi. Il est facile de préciser pourquoi on n’aime pas quelqu’un, mais décrire ce qui nous fait aimer une personne est bien plus complexe. Je ne parle pas seulement d’amour romantique. Cela inclut aussi l’amitié, les relations professionnelles ou simplement le bien-être que l’on ressent en présence de certaines personnes. Parfois, c’est une voix, un coup de gueule, une silhouette ou une attitude qui nous touche, sans que l’on sache pourquoi. J’apprécie cette part d’incertitude. Elle permet de vivre de très bons moments sans avoir à tout analyser. En avançant dans la vie, on réalise parfois qu’on peut se rapprocher de gens auxquels on n’aurait jamais pensé, et c’est toujours une belle surprise.

Moi, je suis toujours ébloui par cette capacité à se sentir bien avec quelqu’un sans pouvoir vraiment expliquer ce qui se passe. Cette magie, ce mystère, c’est quelque chose que j’aime profondément.

Mon deuxième grand plaisir, solidement ancré dans la terre et dans la mer, c’est d’aller nager en Grèce. Je nage dans la mer Égée, dans la mer Ionienne, autour des nombreuses îles grecques. J’y vais depuis plus de douze ans, et chaque fois, l’émotion est la même : me lever le matin, à la fin de l’été — fin août, début septembre, quand il n’y a presque plus de touristes — et retrouver une eau à 26 ou 27 degrés. Sur une plage déserte, la mer est d’huile, j’enfile alors mes palmes d’entraînement, mes lunettes, mes bouchons d’oreilles (indispensables), puis je m’élance pour une heure de nage, en crawl ou en brasse, dans cette mer salée, iodée, sensuelle. Ces moments sont pour moi extrêmement précieux, et cette année, ils m’ont mené sur l’île d’Andros, au nord des Cyclades, à un peu plus d’une heure de ferry d’Athènes. Un matin, j’ai même nagé aux côtés d’une famille de cygnes blancs — le père, la mère et leur petit — en restant cependant à distance, car les cygnes peuvent avoir des réactions imprévisibles. Quand je nage, je me retrouve dans un état de méditation, d’intériorisation, et aussi de contemplation. Dans une société qui nous presse sans cesse, on oublie à quel point la contemplation peut être aussi bénéfique que l’action. Relire les grands auteurs qui en parlent (par exemple Rousseau) nous le rappelle. Pour moi, ces deux semaines annuelles sont des moments d’émotion forte et d’une qualité inestimable.

Enfin, j’éprouve une passion particulière pour le western, un genre que j’ai découvert grâce à ma mère qui m’emmenait tous les dimanches au Studio Bertrand, où l’on pouvait voir deux westerns pour le prix d’un. C’est ainsi que je me suis construit une culture du cinéma américain, notamment à travers les films de John Ford : Les Cheyennes (1964) et La Prisonnière du désert (1956) m’ont marqué, en partie grâce à l’hommage flamboyant rendu à Monument Valley. J’apprécie également Rio Bravo (1959) d’Howard Hawks, souvent cité comme le seul western où John Wayne ne monte pas à cheval. Enfin, des œuvres comme Le train sifflera trois fois (1952) et 3h10 pour Yuma (1957) avec le remarquable Glenn Ford, représentant la figure de l’homme seul face à la société, un thème qui n’est pas sans rappeler les tragédies grecques. »

Je n’aime pas👎

« Il n’y a pas beaucoup de choses que je n’aime pas, mais s’il y en a une que je déteste par-dessus tout, c’est l’avarice. Les avares, les « grippe-sous« , les « pinces« , comme on dit, c’est insupportable. Quand on a des revenus modestes, je comprends qu’on fasse attention. Mais quand des gens blindés, et on en connaît, refusent de payer un centime, là, c’est incompréhensible. Ils n’ont pas compris que les coffres-forts ne suivent pas les cercueils ! Ces calculs pour profiter sans payer, cette panique à l’idée d’ouvrir leur portefeuille, c’est d’une laideur crasse !

Autre chose qui m’exaspère, c’est cette ambiance d’influence omniprésente. On te dit où aller en vacances, quoi manger, quoi boire… C’est insupportable ! Où est passé le libre arbitre ? Ajoutons à cela le marché du bien-être, qui envahit tout avec sa bienveillance galvaudée. Trop de gens se disent experts, et ça dénature des notions qui étaient pourtant justes. C’est comme ces touristes sur des sites culturels, qui préfèrent se prendre en selfie !

Enfin, il y a le bashing contre le transport aérien. Oui, l’environnement est important, mais faire de l’avion le bouc émissaire, c’est ridicule. Surtout quand ces mêmes personnes prennent des vols low-cost à 50 euros pour partir de Barcelone. Ce que je trouve tout aussi agaçant, c’est le silence des compagnies aériennes. Elles devraient unir leurs forces — aéroports, agences, constructeurs — pour montrer tout ce que l’avion apporte, humainement, politiquement, économiquement. Beaucoup de choses se font pour réduire l’impact écologique, mais personne n’en parle. »

OD

J'aime/Je n'aime pas

Parce que c’est mardi, les pensées peu profondes d’OD

Posted on 7 janvier 20257 janvier 2025
By Oncle Dom

Puisque nous sommes le premier mardi de cette nouvelle année, je vais me permettre une petite digression. Une bonne fois pour toutes !

Bonne année à vous tous, chers lecteurs qui tomberez sur ces lignes : joie, santé, prospérité et toute cette sorte de choses. Voilà, c’est dit. On se souhaite à nouveau la bonne année en 2026, promis.

Bien, passons aux informations qui risquent de faire bondir mon vieux camarade RMC, chef du Seto (bonne année, au passage), ainsi que son homologue cheffe des EdV, maître Boned (bonne année à elle aussi).

Vous n’avez probablement pas manqué cette nouvelle capitale parue dans Le Parisien et reprise hier par notre excellent média (si je ne le dis pas, qui le fera ?). Air France, notre amie des petits déjeuners et des professionnels du tourisme français, a « sacrilégié » (oui, j’invente des mots cette saison) ! La compagnie aérienne a lancé hier sa propre agence de voyages, joliment nommée Air France Holidays. Le service marketing ne s’est pas trop fatigué pour trouver un nom, vous en conviendrez. Peut-être qu’une compagnie française aurait pu choisir un patronyme plus… français ? Mais bon, il s’agit d’une agence opérant en marque blanche sous un nom anglo-saxon. Curieux, n’est-ce pas ?

Pourtant, selon un expert si brillant que je n’ose le nommer, « l’intérêt de proposer d’autres services que le simple billet d’avion revient, en premier lieu, à répondre aux besoins des clients ». En clair : mieux vaut que les voyageurs achètent leurs packages chez Air France plutôt que sur des plateformes comme Kayak, Expedia ou Opodo.

Caramba ! Si je puis m’exprimer ainsi…

Pour les détails de cette nouveauté, je vous renvoie à l’excellent article de NB publié hier. Tout y est expliqué. Ce qui me rappelle un vieux dicton : « À chacun son métier et les vaches seront bien gardées. » Mais ici, on peut se poser des questions. Entre avions et vaches, il y a au moins un point commun : ça émet des gaz nauséabonds. Et côté relations entre Air France et les professionnels du tourisme, c’est tout aussi odorant.

Joyeux mardi !

OD

Les pensées peu profondes d'OD

J’aime/Je n’aime pas… par Gilles Tallec

Posted on 19 décembre 202419 décembre 2024
By Oncle Dom

Il vole – au sens aérien du terme, bien sûr ! De TAT en passant par British Airways et actuellement Air Austral, Gilles Tallec, ce Breton qui aime la tempête, a toujours œuvré dans et pour le transport aérien. Avec une autre passion à découvrir…

J’aime👍

Qu’est-ce que j’aime dans la vie ? En fait, ce que j’aime profondément, c’est l’industrie dans laquelle je travaille. D’abord parce que j’aime travailler, certes, mais aussi parce que je suis passionné par ce que je fais.

J’ai atterri dans le voyage par hasard. Un copain de promo de mon école de commerce m’a dit : Mais pourquoi tu ne viendrais pas postuler dans une compagnie aérienne ? C’était chez TAT à l’époque. Et c’est ainsi que je suis entré dans l’aérien… par hasard !

J’ai eu de la chance dans ma carrière, et encore aujourd’hui, chez Air Austral, de faire des rencontres incroyables aux quatre coins du monde, de travailler avec des personnes extraordinaires, d’origines et de cultures complètement différentes.

On est dans une industrie foncièrement humaine, qui a pour objectif de rapprocher les peuples et d’aller à la rencontre de l’autre et de la beauté de notre monde. Et comme je crois profondément en l’humain, c’est certainement pour ça que j’aime cette industrie.

Pour moi, on fabrique de l’échange, de la découverte, de l’émotion. Mais j’ai aussi pas mal travaillé dans la techno, le numérique, etc. J’aime aussi la techno. Alors on peut dire : Mais c’est bizarre, il aime l’humain, il aime la techno !  

Opposer l’humain et la technologie, c’est vraiment nier que l’une a été façonnée par l’autre. La techno a été inventée pour répondre aux besoins humains : communiquer, se déplacer, se soigner. Pour moi, tout ça, c’est positif.

Et même si certains font des prophéties apocalyptiques sur le développement de l’intelligence artificielle, moi, je reste foncièrement optimiste. J’aime la techno au service de l’humanité. »

Je n’aime pas👎

« Je n’aime pas le goût d’inachevé. Je n’aime pas l’à-peu-près. J’ai beaucoup de mal avec l’injustice en général.

Surtout quand elle touche les autres. J’ai tendance à l’accepter pour moi, mais pas pour les autres. Je n’aime pas le manque de modestie.

Je n’aime pas trop les problèmes parce que je préfère les solutions. C’est comme ça que je vis au quotidien. Alors, je n’aime pas cuisiner, mais j’adore manger.

Je suis breton. Je suis presque né sur la mer. Quand les voiles claquent et que l’on ne sait plus si l’on avance ou si l’on recule, je n’aime pas ça. Je crois que c’est parce que dans la vie, je n’aime pas la monotonie, surtout dans le travail. »

OD

J'aime/Je n'aime pas

Parce que c’est mardi, voici les pensées peu profondes d’OD

Posted on 17 décembre 202417 décembre 2024
By Oncle Dom

C’est absolument sans aucun supplément : pour cette dernière édition 2024 des pensées de moindre profondeur (jusqu’où ira ce fripon ?), voici deux sujets de méditation. Ce week-end se tenait, dans la bonne ville de Poitiers, l’élection de Mademoiselle France. Rien à voir avec le tourisme ? Eh bien si, car tel est mon bon plaisir. C’est Mademoiselle Martinique qui a été brillamment élue, et c’est déjà une excellente promotion pour le tourisme français en général et ultramarin en particulier. Même si la demoiselle en question réside à temps complet en métropole et ne se rend sur l’île de la Martinique que de temps en temps afin d’aller saluer sa grand-mère (c’est authentique) !

En outre, comme on l’écrit savamment dans les bonnes gazettes d’information, Mademoiselle France exerce la sympathique profession d’hôtesse de l’air. C’est pas du tourisme, tout ça ? D’autant que cette jeune femme (enfin, plus si jeune que ça) a débuté sa carrière chez Air France, puis a tenté l’aventure avec Air Caraïbes, avant de succomber au charme de Corsair ! Sacrée publicité pour la compagnie que dirige mon camarade Basque Bondissant, entouré, d’ailleurs, de Laurent Abitbol qui officie au sein de la Commission Stratégique. Tiens, je remarque au passage que l’intelligence artificielle, qui avait pronostiqué l’élection de Mademoiselle Guadeloupe, s’est remarquablement plantée !

Et puis, tandis que j’élucubre en rigolant, du côté de Mayotte, c’est l’horreur absolue. En tant que Français de métropole, je ne suis pas très fier de notre État qui a laissé sans vergogne ce département à l’abandon le plus complet. Tout ce que nous pouvons faire, c’est envoyer ce qu’il est possible de donner. Je crois que la Fondation de France recueille tout cela. En revanche, les morts ne ressusciteront pas !

Néanmoins, je vous souhaite, parce que le monde continue à tourner, de joyeuses fêtes et on se retrouve en 2025 !

OD

Les pensées peu profondes d'OD

Corsair se tourne vers l’Afrique

Posted on 16 décembre 202416 décembre 2024
By Oncle Dom

Corsair, toujours en pleine restructuration, vient d’annoncer l’arrêt de sa liaison entre Paris – Orly et Montréal à compter de son programme été 2025. Il est vrai que son éternel concurrent, French Bee, a bien l’intention d’assurer la desserte de cette route dès le début de la saison estivale 2025. Toutefois, dans le cadre de son plan de « changement stratégique », la compagnie dirigée par Pascal de Izaguirre entend poursuivre son implantation en Afrique. Corsair envisage d’ouvrir une nouvelle route dans le courant de l’année 2025 vers Brazzaville (Congo) au départ de Paris Orly. Comme le souligne le communiqué de Corsair, ces nouvelles dispositions sont le résultat d’une « analyse stratégique basée sur la rentabilité et l’optimisation du réseau ». Rentabilité ? Optimisation ? Le contraire aurait été étonnant, n’est-il pas ?

OD

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