Auteur/autrice : Nicolas Barbéry

D’ici le 2 avril, l’agence spatiale américaine veut recruter quatre volontaires pour une simulation d’un an de la vie sur Mars. À partir du printemps 2025, ils passeront douze mois sur Mars Dune Alpha, un site d’environ 160 mètres carrés situé à Houston au Texas, où la Nasa a recréé l’univers de la planète rouge. Tout le monde peut postuler, assure la Nasa. Les candidats doivent « juste » avoir entre 30 et 55 ans, être titulaires d’un diplôme universitaire en sciences naturelles, avoir au moins 1.000 heures de vol, être en bonne santé et être américains. Cela dit, on se demande bien à quoi peut servir une telle simulation. Rappelons que sur Mars la température moyenne est de -80°C, qu’il n’y a ni atmosphère, ni air, ni eau, ni même un champ magnétique qui permettrait de se protéger des rayonnements solaires et cosmiques. Les difficultés pour résoudre nos problèmes climatiques sur Terre ne sont qu’une goutte d’eau dans l’océan comparées aux difficultés que nous allons avoir pour faire de Mars un refuge pour l’humanité. C’est dire.

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Un couple de touristes bretons est parti deux semaines profiter du soleil des Antilles. Le mari pensait avoir bien préparé ses vacances en Guadeloupe en compagnie de sa femme : Il avait réservé un hôtel à Marie-Galante et un autre aux Saintes, pour 89 euros. De Marie-Galante, le couple a pris le bateau et mis le cap sur les Saintes. « Mais, une fois sur place, aucun hôtel ne correspondait à celui de la photo. Nous nous sommes rendus à l’office de tourisme où la responsable a consulté notre réservation et là, elle a éclaté de rire : l’hôtel en question ne se trouvait pas aux Saintes, en Guadeloupe, mais à Saintes, en Charente-Maritime. » Il y a deux ans, ce couple avait déjà vécu une expérience similaire : « Pour nos vacances en Grèce, j’avais réservé un hôtel à Chora (Chora Sfakion) en Crète au lieu de Chora à Armogos, une autre île grecque. » A l’avenir, ils ont peut-être intérêt à passer par une agence de voyage.

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Des sismologues – qui devaient avoir du temps libre – se sont amusés à classer les concerts ayant produit des tremblements de terre, à proximité. La palme revient à Taylor Swift quand 72.171 spectateurs rassemblés au Lumen Field de Seattle le 22 juillet 2023 ont fait trembler les murs et le sol, provoquant une activité sismique équivalente à un tremblement de terre de magnitude 2,3 sur l’échelle de Richter. La chanteuse américaine est talonnée par Travis Scott, un rappeur texan qui, avec 60.000 spectateurs, est parvenu à provoquer lors d’un concert un mini séisme d’une magnitude de 1,3. Arrivent ensuite le chanteur de country Garth Brooks, le rocker Bruce Springsteen et le groupe australiens AC/DC. Beaucoup de bruit pour rien, aurait dit Shakespeare qui devait avoir bon goût.

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