Si les bateliers de la Seine ont conscience de « participer à un moment historique » avec les JO de Paris, ils s’impatientent et voudraient en savoir plus sur leurs conditions de travail estivales. Fin janvier, explique Olivier Jamey, président de la Communauté portuaire de Paris (CPP), « les organisateurs nous ont annoncé qu’il y aurait quatre après-midi supplémentaires » bloqués au titre des jours de report. Pour parer à l’aléa qualité de l’eau, il faut prévoir plus de jours de décalage pour les épreuves. Cela signifie, pour les bateaux promenades et touristiques qui travaillent beaucoup l’après-midi, qu’ils ne pourront pas caler de réservations ces jours-là.
LG