« Pour les pays participant à la Coupe du monde de rugby, les réservations aériennes pour une arrivée entre le 4 septembre et le 29 octobre croissent de 19% par rapport aux niveaux de 2019 », selon Olivier Ponti, de chez Forwardkeys, société d’analyses de données touristiques, alors que jusqu’ici ces marchés « restaient 15% en dessous des niveaux d’avant la pandémie ». Et, souligne François Blouin, directeur de la société d’études Food Service, « si des pays de l’hémisphère nord comme l’Angleterre, l’Irlande, le Pays de Galles, l’Ecosse vont jusqu’au bout, l’impact économique sera encore plus favorable ». Il évoque « la culture de convivialité » du rugby. Autrement dit : ils ne sont pas les derniers à l’apéro.
LG