Marrakech s’est largement vidé, faisant ressurgir le marasme économique provoqué par le covid et des craintes pour le tourisme. « Des groupes entiers ont annulé, par peur de réplique, explique Dahman Ziani, gérant du hammam éponyme. « La médina c’est l’âme de Marrakech, notre fierté. Le tourisme c’est 99% de nos revenus. S’il meurt, tout s’arrête définitivement. » De son côté, le Seto, même si les infrastructures hôtelières et les aéroports restent ouverts après le séisme, a demandé à ses adhérents « d’adopter la plus grande souplesse commerciale pour les clients ne souhaitant pas partir compte tenu de la situation locale ».
LG