
C’est la dernière pensée de la saison, aussi peu profonde que d’habitude, car mon cerveau étant ce qu’il est – c’est-à-dire aussi vide que le gouffre de Padirac – je vais lâcher la plume quelques semaines avant de reprendre… plus tard. Pour finir en beauté, c’est une grande pensée, affectueuse, que j’envoie aux amis des compagnies aériennes et de leurs passagers. J’ai nommé : les contrôleurs aériens. Bravo, les gars, d’offrir au peuple – celui qui travaille – de joyeux départs en vacances en ce tout début de mois de juillet. Tout ça parce que l’employeur, l’État en l’occurrence, exige de savoir qui est présent durant les périodes de boulot. Je rappelle quand même que le salaire d’un contrôleur se chiffre entre 7.000 et 11.000 euros mensuels (sans les primes), et que le temps de travail est de 150 jours annuel. C’est sûr : les conditions de travail de ces gens relèvent de la pénibilité… et coûtent à la communauté quelques dizaines de millions ! Damned !
OD