
Discrète mais déterminée, Céline Moracchini fait partie des grandes professionnelles du transport aérien français. Après avoir œuvré pendant de nombreuses années au sein d’Air Austral, elle participe aujourd’hui, avec enthousiasme, au développement de Corsair, en tant que Directrice des ventes agences France. Une femme à découvrir… sans modération.
J’aime
« J’aime l’ouverture au monde, évidemment. Ce qu’on découvre en voyageant — les autres cultures, les paysages, la richesse des échanges — est inestimable. La chance que j’aie, c’est d’appartenir au monde du transport aérien : ça rend tout plus accessible. Et ça, je le considère vraiment comme une super opportunité.
J’aime aussi profondément la Côte basque. Saint-Jean-de-Luz, notamment, est mon refuge. C’est là que je vais me ressourcer régulièrement.
Et puis… j’adore Paris. Je suis parisienne dans l’âme. C’est la ville lumière, la ville magique.
Enfin, j’ai la chance d’évoluer aujourd’hui dans une super compagnie. Bon, je ne vais pas dire « terminer ma carrière », ce n’est pas très engageant — il me reste encore quelques belles années à vivre professionnellement. Chez Corsair, mes collaborateurs, l’ambiance au siège, tout cela forme un cocktail de professionnalisme et de bienveillance. C’est un vrai bonheur de travailler dans cet environnement.
Ah ! et j’aime aussi la peinture du XXe siècle. Miró, notamment. J’adore Miró. »
Je n’aime pas
« Ce que je n’aime pas… c’est parfois le manque de recul et de reconnaissance qu’on observe en France. Côté valeurs, je trouve qu’on râle beaucoup. Et quand on échange avec des étrangers, on se rend compte à quel point on a de la chance. Dernièrement, j’ai lu un article dans le New York Times qui soulignait cela, et franchement, ça fait réfléchir.
Je n’aime pas non plus la pluie. C’est un peu paradoxal : j’adore le Pays basque, mais je n’aime pas son climat pluvieux. J’aime le soleil, tout simplement.
Et puis, je n’aime pas les mouvements de foule. Les cohues urbaines, très peu pour moi. Pourtant, habitant le 14e arrondissement de Paris, je suis bien obligée de prendre… la ligne 13 ! La galère, quoi ! »
OD