
Le Seto, Syndicat des entreprises du tour operating, regroupe quelque 70 membres parmi les plus importants TO français, soit 75 à 80% des spécialistes de « l’outgoing ». Il représente un volume d’affaires annuel de l’ordre de 5 milliards d’euros et 6,5 millions de clients. Son nouveau président, Patrice Caradec, et son conseil d’administration, souhaitent augmenter le nombre d’adhérents et veulent désormais tendre la main à tous les TO français, notamment ceux qui vendent surtout la France. Il rappelle que « grâce à son réseau relationnel étendu », inlassablement développé par René-Marc-Chikli, son ancien président, le Seto influe pour défendre les intérêts de ses membres. Il est aujourd’hui reconnu « par toutes les instances publiques françaises ainsi que par les autres instances professionnelles, tant françaises qu’européennes ». Le Seto dispose également d’une cellule de crise rodée et très réactive pour accompagner ses membres en cas d’évènement majeur dans une destination. Le dispositif de gestion de crise du Seto est désormais unanimement reconnu, notamment par le Centre de crise du ministère des Affaires étrangères. Pionnier en matière d’informations sécurité sur les destinations, le Seto offre à ses adhérents un accès en exclusivité aux alertes de Scutum Security First – SSF – qui permettent aux entreprises d’être informées des conditions sécuritaires dans 192 pays et de mieux répondre aux obligations d’information. Le syndicat met par ailleurs à la disposition de ses adhérents des informations sur l’environnement de leur entreprise : études thématiques, baromètres d’activité, statistiques… Autant d’outils d’aide à la décision stratégique, quel que soit le mode de distribution. Le Seto propose également un dispositif ponctuel d’accompagnement sur des questions juridiques, sociales et économiques mais aussi sur les questions relatives au transport. Enfin, outre les commissions thématiques, le Seto organise régulièrement un Comité Exécutif réunissant ses membres élus. Un lieu unique d’échanges et de débats, où les dirigeants peuvent travailler en toute confiance, tout comme le Forum annuel, organisé une année en France, l’autre à l’étranger. Deux jours d’études, de réflexion et d’échanges dans une ambiance studieuse et conviviale, rythmés par des interventions extrêmement qualitatives venues de tous horizons. On se demande encore pourquoi tout le monde n’est pas déjà au Seto ? NB
