
On ne l’imagine pas en colère, Stéphane Fulcrand, lui qui a longtemps œuvré chez les cédiciens et qui participe activement à aider de nombreuses associations. Avant de présider aux destinées de Salagou Voyages, il a été cuisinier… d’où sa passion pour la gastronomie !
J’aime👍
« Dans ce que j’aime, il y a d’abord le partage, l’échange et ce sens du devoir qui m’accompagne partout. Cela vaut aussi bien dans le travail que dans la vie personnelle.
Je m’explique : je suis au service des gens. C’est vraiment ce qui me définit. Je l’ai fait pendant plusieurs années avec le CDI, je continue de le faire à travers des associations près de chez moi, et bien sûr je le fais au quotidien avec mes clients.
Cette façon d’être, d’avancer pour et avec les autres, me convient parfaitement. Elle me structure, elle me motive, et franchement… ça me va très bien. C’est parfait comme ça. »
Je n’aime pas👎
« Dans ce que je n’aime pas, il y a deux choses qui me hérissent vraiment : l’injustice et l’autoritarisme.
L’injustice, d’abord. Quand on refuse à certains ce qui leur est dû, quand on ne traite pas tout le monde avec la même équité, quand on garde un peu plus pour soi au lieu de partager… ça, je ne peux pas. Ce manque de générosité, cette façon de distinguer ceux qui auraient droit et ceux qu’on oublie, c’est quelque chose que je n’accepte pas.
Et puis il y a l’autoritarisme, qu’il soit individuel ou collectif. Cette posture trop directive, cette pensée unique qui s’impose sans discussion : « Moi je sais, vous ne savez pas. » Cette manière de fonctionner, fermée et sans nuance, c’est tout ce que je n’aime pas.
Voilà. C’est exactement ce que j’aime… et ce que je n’aime pas. Et, paraît-il, c’est aussi ce que nos lecteurs aiment comprendre des personnalités du secteur. Alors voilà. »
OD
