Des scientifiques britanniques affirment avoir déterminé l’âge du baiser, qui remonterait à une période comprise entre 16 et 21 millions d’années. Ils en ont profité pour donner une nouvelle définition claire et limpide du baiser. Il s’agit d’une « interaction non agonistique impliquant un contact oral-oral intraspécifique dirigé, avec un léger mouvement des lèvres et des pièces buccales, sans transfert de nourriture ». C’est mieux. Les chercheurs ont aussi découvert que l’échange de baiser n’est pas propre à l’homme, et que même les poissons et les fourmis se bécotent. Pour la fourmi, j’ai un doute : elle n’est pas prêteuse, et quand la bise fut venue, elle n’a certainement pas voulu la partager.
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