
Il travaillait chez Air France. Un jour, il a été nommé en Tanzanie. Il y est resté et y a créé Tankanyika, l’un des plus beaux réceptifs du pays. Denis Lebouteux participe activement au développement de la région, notamment en soutenant de nombreuses écoles. Denis, c’est aussi un merveilleux conteur… et si l’on a la chance d’être guidé par lui jusqu’au Ngorongoro, par exemple, c’est une vraie découverte.
J’aime👍
« J’aime la nature, la faune sauvage — les grandes comme les petites bêtes — et les grands espaces. Encore plus maintenant, lorsque je redécouvre tout cela à travers le regard de mes petits-enfants.
J’aime la solidarité et la fraternité, qui apportent une belle énergie dans le travail comme dans la vie en général.
J’aime le courage et l’entrain de mes collaborateurs, qu’ils soient tanzaniens ou français.
J’aime m’engager dans des projets un peu fous, relever des défis, comme construire un nouveau lodge dans des conditions compliquées, avec beaucoup d’envie… et les doutes qui accompagnent toujours ce genre d’aventures.
J’aime les soirées et les nuits sous tente dans les parcs nationaux de Tanzanie, admirer les belles lumières de la fin de journée et écouter les bruits de la nuit.
J’aime la montagne l’hiver (davantage les peaux de phoque que les remontées mécaniques) comme l’été, où je retrouve les grandes randonnées et l’alpinisme.
J’aime les auteurs français et russes des XIXᵉ et XXᵉ siècles.
J’aime une invitation de dernière minute chez des amis pour un déjeuner dominical. Cela sauve habituellement le dimanche du naufrage.
Si j’aime la Tanzanie, cela ne m’empêche pas d’aimer la France. Ce sont pour moi les deux plus belles destinations au monde. J’ai beaucoup de chance : je partage mon temps entre les deux. »
Je n’aime pas👎
« Je n’aime pas les “y a qu’à, faut qu’on “. Les grands diseux – petits faiseux… Ceux que le doute n’effleure jamais, mais qui sont incapables de mener quoi que ce soit à bien. Les politiques, mais pas seulement eux, ont aujourd’hui ce travers très déplaisant.
Je n’aime pas le pessimisme ambiant, le catastrophisme répété par les prêcheurs de peur et les libertés qui se réduisent peu à peu.
Je n’aime pas l’idéologie — ou plutôt les idéologies. Elles devraient être réservées à ceux qui ne peuvent penser par eux-mêmes, comme la chaise roulante est réservée à ceux qui ne peuvent marcher.
Je n’aime pas l’idée de la retraite, même si je sais bien qu’elle finira par s’imposer à moi, un jour ou l’autre… »
OD
J’aime
Je n’aime pas
Je n’aime pas les “y a qu’à, faut qu’on “. Les grands diseux – petits faiseux… Ceux que le doute n’effleure jamais, mais qui sont incapables de mener quoi que ce soit à bien. Les politiques, mais pas seulement eux, ont aujourd’hui ce travers très déplaisant.
Je n’aime pas le pessimisme ambiant, le catastrophisme répété par les prêcheurs de peur et les libertés qui se réduisent peu à peu.
Je n’aime pas l’idéologie — ou plutôt les idéologies. Elles devraient être réservées à ceux qui ne peuvent penser par eux-mêmes, comme la chaise roulante est réservée à ceux qui ne peuvent marcher.
Je n’aime pas l’idée de la retraite, même si je sais bien qu’elle finira par s’imposer à moi, un jour ou l’autre…
