
Entre ciel et rail, le Maroc redessine sa carte des distances. Royal Air Maroc multiplie les lignes intérieures (Rabat–Oujda, Rabat–Dakhla), tandis que Ryanair, désormais présente dans 13 aéroports du royaume, opère onze routes domestiques à partir de 25€. Objectif : désenclaver les régions et réduire la dépendance au hub de Casablanca. En parallèle, la grande vitesse s’étend : après Tanger–Casablanca, la LGV Kénitra–Marrakech doit relier d’ici 2030 Tanger à la Ville ocre en trois heures, contre plus de cinq aujourd’hui. L’ONCF veut faire du rail « l’épine dorsale de la mobilité durable ». À défaut d’améliorer l’expérience des patients dans les hôpitaux, réclamée par la Gen Z 212, on soigne l’expérience passager…
LG