
Le Club Med envisage « une accélération » de son développement, notamment en Méditerranée, par crainte de « se retrouver petit », sans renoncer à son positionnement haut de gamme, selon son PDG Stéphane Maquaire. « Il faut maintenant accélérer, car le risque est de se retrouver petit », déclare-t-il. Nommé en juillet après l’éviction d’Henri Giscard d’Estaing, en conflit avec le chinois Fosun, le dirigeant assure : « La montée en gamme n’est pas remise en cause, loin de là ; il faut la poursuivre et la consolider. » Présent dans 25 pays, le groupe veut renforcer sa présence méditerranéenne : « On s’appelle quand même Club Med ! » En parallèle, il regarde vers l’Amérique du Sud et n’exclut pas « des rachats ou reprises de sites existants » pour accélérer son développement. Club Sud, ça sonne pas mal aussi.
LG