
Ainsi que l’on disait au XVIIe siècle, Jean-François Michel est un « honnête homme » ! Président de Cap Monde, président des Organisateurs de Voyages de Jeunes, administrateur des EdV, l’homme n’hésite jamais à s’exprimer… toujours avec une pointe d’humour !
J’aime👍
– Mon métier, qui consiste à faire voyager des enfants et leur faire vivre ce qui restera bien souvent leurs plus beaux souvenirs tout au long de leur vie
– Les entrepreneurs qui donnent de leur temps pour réfléchir et travailler au bien commun de notre belle profession, notamment au sein du conseil d’administration des EdV, des commissions et de mon conseil des Organisateurs de Voyages de Jeunes ;
– Les sorties à vélo, en forêt ou dans les parcs des châteaux de Saint-Germain ou de Versailles, qui permettent de rester en forme en profitant de la nature ;
– Naviguer. J’aime le monde de la voile et ses skippers, école de courage et d’humilité. Plus largement, j’aime les discours de vérité, ceux qui dérangent, à contre-courant des donneurs de leçons insupportables… J’aime l’aphorisme de Jean Le Cam : « Bien dire fait rire, bien faire fait taire » ;
– La gastronomie, et avoir le temps de faire le marché et de cuisiner pour ma famille et mes amis ;
– Les nouvelles technologies, quand elles sont utiles et simplifient le quotidien ;
– L’humour provocateur, qui prend le contre-pied de la bien-pensance.
Je n’aime pas👎
– Les opérateurs qui exercent dans l’illégalité, qu’ils soient travel planners ou « associations lucratives sans but » (joke), et qui ne respectent pas les règles d’exercice de nos métiers — avec la double peine du laxisme des autorités de tutelle, qui curieusement ne semblent pas concernées, mais imposent toujours plus de contraintes, de normes, de lois et de contrôles aux entreprises qui sont, elles, en règle…
– Le harcèlement textuel…
– La situation géopolitique anxiogène, avec en France un débat politique irrespirable et irresponsable… Bienvenue aux assises de l’immobilisme, pavées de conclaves et de conventions citoyennes…
– La pensée unique de nos gouvernements, dont les seules réponses à la situation économique de la France se résument à deux mots : impôts et taxes ;
– Les préavis et grèves à répétition, qui impactent les transports à chaque période de vacances… Systématique et insupportable lorsqu’il s’agit de faire voyager des mineurs. Coup de chapeau à nos équipes, qui doivent anticiper, modifier des plans de transport, trouver et mettre en œuvre des solutions de substitution – sans l’assistance des compagnies défaillantes.
OD