
Easyjet a creusé ses pertes au premier semestre (– 297 millions de livres), mais annonce un « été record » en ligne de mire. La demande repart et les prix tiennent bon. Le groupe mise désormais sur sa branche Easyjet Holidays, qui pèse déjà 11% du chiffre d’affaires (400 millions de livres) et affiche une croissance de +42% sur la période. Avec 44 millions de bénéfices générés, la filiale séjours s’impose comme une pépite stratégique. D’autant plus qu’à moyen terme, la volatilité du kérosène et les tensions commerciales menées par Donald Trump pourraient peser sur les marges.
LG