
Il fait partie de ces personnages sur lesquels le temps n’a pas de prise. Éternel sourire aux lèvres, Jacky Cailleau, c’est « Monsieur Hertz France », dont il assure la direction de la distribution et des partenariats. Assister à un congrès professionnel lorsqu’il y est présent, c’est la garantie de passer un bon moment. Il est vrai que l’homme irradie la joie de vivre…
J’aime👍
« J’aime la vie. Le bonheur de se réveiller et de voir le soleil se lever, celui de partager le petit-déjeuner que j’aime préparer, celui d’entendre les oiseaux déjà affairés aux premières heures, celui d’embellir la journée des autres par la bonne humeur, celui de rencontrer les autres, de partager, de découvrir, de voyager ; tout simplement la vie, quand on aime la croquer à pleines dents.
J’aime aussi mon travail, dans ce secteur du voyage où j’évolue depuis si longtemps maintenant, sans jamais ressentir de lassitude, bien au contraire : avide de toutes ses révolutions et innovations. Il me permet d’aller vers les autres et d’apprendre encore et encore ; j’adore.
Et j’aime bien aussi la reconnaissance, certes humble, mais qui récompense tout ce qu’on peut accomplir dans une journée. De ce côté-là, Hertz me comble toujours. Les amis aussi. »
Je n’aime pas👎
« Je n’aime pas l’orientation que prend notre société, ni toutes les manipulations qui l’entourent. Toutes les innovations technologiques apportent certes du bien dans notre quotidien, mais elles semblent aussi transformer certains en abrutis… voire en esclaves.
Je n’aime pas le manque de courage, d’opinion, de clarté ; tout semble devenir mou, aseptisé… ou à l’inverse, sombrer dans une agressivité gratuite. Je n’aime pas la direction des stratégies politiques, qui veulent faire croire que tout ira mieux, alors qu’en réalité, cela ne profite qu’à quelques-uns.
Je n’aime pas l’hypocrisie de certains pays qui soutiennent ou condamnent tel ou tel événement, toujours dans un but économique, sinon lucratif. Les exemples ne manquent pas aujourd’hui.
Et, comme le disait Rémy Arca, je n’aime pas l’assistanat à tout prix, alors qu’on pourrait tant encourager le travail, l’envie de faire mieux et plus… et surtout : récompenser. »
OD