
Alors que l’élection du secrétaire général d’Onu Tourisme pour 2026-2029 approche, Harry Theoharis, député grec et candidat au poste, appelle dans une tribune à stopper toute velléité de troisième mandat pour l’actuel dirigeant, Zurab Pololikashvili, qui ne veut pas lâcher l’affaire. Il rappelle qu’en 2005, l’assemblée générale avait limité le mandat à quatre ans, renouvelable une fois, et que toute tentative de contournement serait contraire aux principes de gouvernance démocratique. L’ancien ministre souligne aussi des failles de gestion : absence d’appel d’offres pour un audit controversé, litiges coûteux pour l’organisation, valorisation commerciale discutable du logo, et vacance inquiétante du poste de Secrétaire général adjoint. Harry Theoharis plaide pour un sursaut collectif : « Nous avons le devoir collectif de défendre les principes de transparence et d’équité. » À ce stade, la vraie question pourrait bien être : à quoi sert encore l’Onu Tourisme ?
LG