
Un sourire malicieux qui vous propose un selfie amical ? Frédéric Lorin, ancien patron talentueux d’IFTM Top Résa, fait partie de ces personnages du tourisme avec qui l’on aime discuter. Gastronome, philosophe, il aime la vie, il aime les rencontres. Il a créé un cabinet de conseil, ce qui lui permet, plus que jamais, d’être un personnage marquant du tourisme français. En plus, il est bourré d’humour !
J’aime👍
« C’est peut-être banal mais j’aime la vie, je l’aime passionnément et j’essaie de la rendre belle, car comme disait le regretté Noiret : « Le voyage est court, alors autant essayer de le faire en première classe. »
J’aime les levers de soleil.
J’aime cuisiner pour ma famille et mes amis.
J’aime découvrir les pépites de la bistronomie à Paris et ailleurs.
J’aime le Maroc, mon pays de cœur, et je m’y ressource fréquemment depuis 35 ans dans la maison paternelle à Tanger.
J’aime l’incroyable, formidable, hallucinante et ébouriffante résilience de notre industrie du tourisme. Rien ne tuera jamais, j’en suis convaincu, l’envie de voyager.
J’aime le voyage et aller à la rencontre de l’autre, car voyager sans aller à la rencontre, ce n’est pas voyager, c’est simplement se déplacer.
J’aime la photo, et particulièrement les portraits, pour m’approcher au plus près des beautés intérieures. »
Je n’aime pas👎
« Je n’aime pas la tête de veau !!!
Je n’aime pas le tourism bashing, car encore une fois, le voyage est créateur d’ouverture au monde, de tolérance, d’acceptation des différences et d’intérêt pour l’ailleurs.
Je n’aime pas la montée des populismes partout dans le monde, et le repli sur soi.
Je n’aime pas l’Amérique des oligarques.
Je n’aime pas les donneurs de leçons, les yakafokon, qui n’ont jamais mis les mains dans le moteur de l’opérationnel.
Je n’aime pas la direction que prend le monde.
Je n’aime pas Trump, sa vision binaire d’un monde complexe, et son incompétence. Il emmène son pays sur une pente très dangereuse. Mais il est vrai que l’on a toujours confié le sérail à l’eunuque…
Je n’aime pas quand les compromis deviennent des compromissions.
Je n’aime pas attendre.
Je n’aime pas le bruit des villes et son cortège d’incivilités. »
OD