Skip to content
Bee Travel News

Bee Travel News

Le tourisme dans le monde vu par la presse, en un clin d'oeil

  • Actualités
    • Destinations
    • Distribution
    • Hébergement
    • Production
    • Transport
    • Assurances
    • Croisières
    • France
    • Environnement
    • Juridique
    • Salons et Evènements
    • Culture
    • Location de voitures
    • Hôtellerie Restauration
    • Voyage d’affaires
    • Vie de la profession
  • Rubriques
    • Drôle d’époque
    • Les dessins de Jean Duverdier
    • J’aime/Je n’aime pas
    • Les pensées peu profondes d’OD
  • Nous contacter
  • S’abonner
  • CGI
  • Toggle search form

Peut-on mettre un terme au surtourisme ?

Posted on 29 janvier 202529 janvier 2025
By Nicolas Barbéry

En 2024, de plus en plus de destinations adoptent des mesures pour lutter contre le surtourisme. Comme l’explique Marina Novelli, directrice du Sustainable Travel and Tourism Advanced Research Center à l’Université de Nottingham : « Nous sommes désormais dans une situation où toutes sortes de mesures sont mises en œuvre, telles que la limitation du nombre de visiteurs et l’instauration de taxes touristiques. » Mais ces initiatives sont-elles réellement efficaces ? Barcelone, par exemple, a introduit une première taxe touristique en 2012, restreint les locations de courte durée dès 2015, et plafonné la construction de nouveaux hôtels en 2017. Pourtant, la ville continue d’attirer un nombre record de visiteurs. En réalité, le principal frein à la lutte contre le surtourisme est l’absence de consensus sur sa gravité. En tant que moteur économique essentiel, générateur de revenus et d’emplois, le tourisme reste difficile à réguler sans impacter les acteurs qui en dépendent. Et la tendance ne semble pas s’inverser : à l’échelle mondiale, les arrivées internationales devraient encore progresser de 12,4% en 2025 par rapport à 2019. Face à cette dynamique, existe-t-il une solution viable ? Marina Novelli est sceptique : « Je ne suis pas sûre qu’il y ait une solution… À moins que les touristes prennent leurs responsabilités et se disent : Vous savez quoi ? Je n’ai pas besoin de voir Venise. Je n’irai pas. » Le touriste peut aussi être un animal intelligent.

NB

En lire davantage sur le site du New York Times

Destinations

Navigation de l’article

Previous Post: Royal Caribbean se lance dans les croisières fluviales avec Celebrity
Next Post: Drôle d’époque
Accédez à nos archives :
janvier 2025
L M M J V S D
 12345
6789101112
13141516171819
20212223242526
2728293031  
« Déc   Fév »
S'abonner à la newsletter

    Copyright © 2025 Bee Travel News.

    Powered by pressbook-enfant WordPress theme