D’ici 2025, plus de 3.000 chambres, essentiellement classées 3, 4 ou 5 étoiles, viendront compléter l’offre hôtelière de la métropole Nice Côte d’Azur. L’idée ? Combler un manque, du moins, redonner des couleurs – donc de la visibilité – à un marqueur luxe qui paraît bien pâle comparé à ses voisines Cannes et Monaco, et ainsi renouer avec cet ancien temps des palaces où Nice apparaissait comme un jardin d’hiver privilégié. Par ailleurs, si le segment du luxe est généralement épargné par la pénurie qui touche le métier, les problématiques de recrutement existent. D’où l’intérêt de l’arrivée prochaine du groupe de formation Vatel, spécialisé dans l’enseignement du management de l’hôtellerie et du tourisme, à Saint-Laurent du Var et à Cannes.
LG